La grève de Samarez: poème philosophique, Volume 2E. Dentu, 1863 |
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... voyais réunis dans un des rayons de ma bibliothèque . CHAPITRE III . JE ME DÉCIDE A FAIRE UN TOUR DE PROMENADE . Que pouvais - je de plus ? je me le demande . Et pourtant ... je ne me trouvai pas satisfait . Je jetai un triste regard ...
... voyais réunis dans un des rayons de ma bibliothèque . CHAPITRE III . JE ME DÉCIDE A FAIRE UN TOUR DE PROMENADE . Que pouvais - je de plus ? je me le demande . Et pourtant ... je ne me trouvai pas satisfait . Je jetai un triste regard ...
Page 37
... voyais Cauvet et ses intimes s'entretenir sous ce berceau , je pen- sais à l'ode d'Horace : Lorsque Teucer fuyait Salamine et son père .... Il y avait en effet de la similitude . La scène , dans Horace , est de même sur un rivage , et ...
... voyais Cauvet et ses intimes s'entretenir sous ce berceau , je pen- sais à l'ode d'Horace : Lorsque Teucer fuyait Salamine et son père .... Il y avait en effet de la similitude . La scène , dans Horace , est de même sur un rivage , et ...
Page 44
... voyais les arbres suspendre leurs fruits au - dessus de sa tète ... c'est là que je retrouvai Louise se reposant avec Julien . Ils s'entretenaient amicalement . Ils riaient . Oui , elle riait encore . - < « < Eh bien , me dit - elle ...
... voyais les arbres suspendre leurs fruits au - dessus de sa tète ... c'est là que je retrouvai Louise se reposant avec Julien . Ils s'entretenaient amicalement . Ils riaient . Oui , elle riait encore . - < « < Eh bien , me dit - elle ...
Page 53
... voyais la cabane où , il y a si peu de temps , moururent dans la même nuit , à la même heure , à la même minute , deux de mes petits - enfants qu'un autre avait précédés de quelques jours dans la terre . Je me rap- pelais les sanglots ...
... voyais la cabane où , il y a si peu de temps , moururent dans la même nuit , à la même heure , à la même minute , deux de mes petits - enfants qu'un autre avait précédés de quelques jours dans la terre . Je me rap- pelais les sanglots ...
Page 67
... voyais , à quelque distance de cette cabane , le champ où mon frère Jules , ses sept enfants , et les miens , obéissent à ce précepte : « Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage , jusqu'à ce que « tu retournes en la terre d'où tu ...
... voyais , à quelque distance de cette cabane , le champ où mon frère Jules , ses sept enfants , et les miens , obéissent à ce précepte : « Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage , jusqu'à ce que « tu retournes en la terre d'où tu ...
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Achille aimé amour André Chénier artistes athée beau Byron C'était Caïn chants CHAPITRE VII Château de Mont-Orgueil Chénier chose ciel cœur continuai-je d'Achille Déjacques Dieu Dieux dire dis-je dit-il divin douleur Écoute enfants Érostrate esprit Est-ce Fantômes Faust femme flots foudre gloire Goethe Grecs Hélas Homère homme Horace Hugo interrompit la Voix j'ai j'entendis jamais Jésus Jupiter l'Amitié l'amour l'Art l'autre l'esprit humain l'homme l'Humanité l'Iliade l'ombre du Rocher Lamartine Lazare Lune m'écriai-je Maddalo Medwin ment Milton moi-même monde Mont-Orgueil Moore mort Mythe n'avait Nature Noces de Cana parle paroles passe Patrocle pensée père PHILIPPE FAURE Philoctète Philosophie poème Poésie poètes pourtant Prynne qu'un regarde répondit rien rire s'écria sais Satan Science Seigneuret sent serait seul Shelley siècle soleil sortir SUITE Temple terre Thomas Moore tombe tombeau triste trouve Ulysse veux Vieux Savant Virgile voilà vois Voix dans l'ombre Voix derrière moi Voltaire vrai yeux