La grève de Samarez: poème philosophique, Volume 2E. Dentu, 1863 |
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Page 36
... lieu , je pourrais bien , moi aussi , tomber en extase . C'est un état que je n'ai jamais cherché , que j'ai , au contraire , toujours évité autant que je l'ai pu . Je le crois susceptible d'illusions de tout genre . Dès ma jeunesse ...
... lieu , je pourrais bien , moi aussi , tomber en extase . C'est un état que je n'ai jamais cherché , que j'ai , au contraire , toujours évité autant que je l'ai pu . Je le crois susceptible d'illusions de tout genre . Dès ma jeunesse ...
Page 47
... lieu que tu ap- pelais ton cher Plaisance , parce qu'on y voit un peu de verdure , et qu'on peut y respirer quelques fleurs entre les fumées de l'orgie et la fumée du chemin de fer ; -sur cette butte qu'on nomme Mont - Parnasse , où ...
... lieu que tu ap- pelais ton cher Plaisance , parce qu'on y voit un peu de verdure , et qu'on peut y respirer quelques fleurs entre les fumées de l'orgie et la fumée du chemin de fer ; -sur cette butte qu'on nomme Mont - Parnasse , où ...
Page 63
... lieu d'agréables murmures , émettent des gémissements . « Dans cette Vallée se dresse un Temple fameux , aussi vieux que le monde lui - même , auquel il dicte la loi . Ronde est sa figure , et quatre portes de fer se partagent le Genre ...
... lieu d'agréables murmures , émettent des gémissements . « Dans cette Vallée se dresse un Temple fameux , aussi vieux que le monde lui - même , auquel il dicte la loi . Ronde est sa figure , et quatre portes de fer se partagent le Genre ...
Page 72
... lieu habité me fit du bien ; une pensée salu- taire traversa mon esprit . « Qu'y a - t - il , me demandai - je , au - delà de ce rivage qui tourne ? Si je suivais son contour , où arriverais - je ? » Je le savais bien , mais je me ...
... lieu habité me fit du bien ; une pensée salu- taire traversa mon esprit . « Qu'y a - t - il , me demandai - je , au - delà de ce rivage qui tourne ? Si je suivais son contour , où arriverais - je ? » Je le savais bien , mais je me ...
Page 74
... lieu , le flot qui bat sans cesse , les écueils à fleur d'eau , lui fournissaient un rem- part naturel dont il s'est contenté . O génie de l'homme , que tu es habile pour t'emparer de la Nature ! Mais voyez le singulier effet ! si vous ...
... lieu , le flot qui bat sans cesse , les écueils à fleur d'eau , lui fournissaient un rem- part naturel dont il s'est contenté . O génie de l'homme , que tu es habile pour t'emparer de la Nature ! Mais voyez le singulier effet ! si vous ...
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Achille aimé amour André Chénier artistes athée beau Byron C'était Caïn chants CHAPITRE VII Château de Mont-Orgueil Chénier chose ciel cœur continuai-je d'Achille Déjacques Dieu Dieux dire dis-je dit-il divin douleur Écoute enfants Érostrate esprit Est-ce Fantômes Faust femme flots foudre gloire Goethe Grecs Hélas Homère homme Horace Hugo interrompit la Voix j'ai j'entendis jamais Jésus Jupiter l'Amitié l'amour l'Art l'autre l'esprit humain l'homme l'Humanité l'Iliade l'ombre du Rocher Lamartine Lazare Lune m'écriai-je Maddalo Medwin ment Milton moi-même monde Mont-Orgueil Moore mort Mythe n'avait Nature Noces de Cana parle paroles passe Patrocle pensée père PHILIPPE FAURE Philoctète Philosophie poème Poésie poètes pourtant Prynne qu'un regarde répondit rien rire s'écria sais Satan Science Seigneuret sent serait seul Shelley siècle soleil sortir SUITE Temple terre Thomas Moore tombe tombeau triste trouve Ulysse veux Vieux Savant Virgile voilà vois Voix dans l'ombre Voix derrière moi Voltaire vrai yeux