Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre- n'était... Oeuvres complètes de P.-L. Courier - Page 178by Paul-Louis Courier, Armand Carrel, Herodotus - 1834Full view - About this book
| French authors - 1839 - 512 pages
..." Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ?" à quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!. . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en... | |
| Felix Biscarrat - 1841 - 378 pages
...mari : Eh bien enfin , voyons , faut-il les tuer tous deux ? à quoi la femme répondit : Oui ; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai...armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! El mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osJSs; m'échapper... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...du mari : Eh bien! enfin voyons, faut-ii les tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai...du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...bien ! enfin , voyons, faut-il les tuer tous deux ? » A quoi la femme répondit : « Oui , » et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai...contre eux douze ou quinze qui en avaient tant. Et n:on camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...bre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais B mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense en» core!.... Nous deux presque sans armes, » contre eux douze...sommeil et » de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre n'était guère haute , mais en bas... | |
| Casimir Ladreyt - French literature - 1846 - 378 pages
...mari : Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui, et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant Ah ! quand j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
| F T - 1848 - 410 pages
...: " Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ?" A quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai...en avaient tant. Et mon camarade mort de sommeil et dq fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...du mari : Eh bien enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel ! quand j'y pense encore ! Nous deux presque sans armes, contre eux, douze ou quinze, qui en avaient... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - French language - 1850 - 418 pages
...du mari : Eh tien, enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel ! quand j'y pense encore !. . . Nous deux presque sans armes, contre eux, douze ou quinze, qui... | |
| Jean Roemer - French language - 1851 - 490 pages
...mari : Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui, et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ah ! quand j'y pense encore ! . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
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