Oeuvres complètes de P.-L. Courier, Volume 1Paulin, 1834 - France |
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Page 25
... marché . Ceux dont se charge ma tète ne me coûtent guère , je vous assure . J'en prends maintenant à mon aise , et je laisse fuir les Napolitains , qui sont , à l'heure où je vous écris , de l'autre côté de Garigliano je ne fais pas ...
... marché . Ceux dont se charge ma tète ne me coûtent guère , je vous assure . J'en prends maintenant à mon aise , et je laisse fuir les Napolitains , qui sont , à l'heure où je vous écris , de l'autre côté de Garigliano je ne fais pas ...
Page 71
... sont embarquées à Bari sur d'assez mauvais bâtimens : le diable sait ce qu'elles vont devenir . J'ai fait rester votre Julie en qualité de vivandière . Elle marche avec noùs . Je vois qu'on rôde au- tour ÉCRITES DE FRANCE ET D'ITALIE . 71.
... sont embarquées à Bari sur d'assez mauvais bâtimens : le diable sait ce qu'elles vont devenir . J'ai fait rester votre Julie en qualité de vivandière . Elle marche avec noùs . Je vois qu'on rôde au- tour ÉCRITES DE FRANCE ET D'ITALIE . 71.
Page 72
Paul-Louis Courier, Armand Carrel, Herodotus. marche avec noùs . Je vois qu'on rôde au- tour d'elle , mais ma foi elle ne se laisse pas fer- rer à tout le monde ; elle vous aime et aussi toutes les femines ne sont pas p ...... , quoi qu ...
Paul-Louis Courier, Armand Carrel, Herodotus. marche avec noùs . Je vois qu'on rôde au- tour d'elle , mais ma foi elle ne se laisse pas fer- rer à tout le monde ; elle vous aime et aussi toutes les femines ne sont pas p ...... , quoi qu ...
Page 88
... marche à l'aventure , on n'a souci de rien . Prendre des précautions , se garder , à quoi bon ? Depuis plus de huit jours il n'y a point eu de troupes massacrées dans ce canton . Au pied de la hauteur coule un torrent rapide qu'il faut ...
... marche à l'aventure , on n'a souci de rien . Prendre des précautions , se garder , à quoi bon ? Depuis plus de huit jours il n'y a point eu de troupes massacrées dans ce canton . Au pied de la hauteur coule un torrent rapide qu'il faut ...
Page 91
... marche à présent . Je fai- sais quelque chose des Tarentins , et pendant huit jours j'en obtins tout ce que j'en voulus : on allait au - devant de mes demandes . On travaillait comme des forçats , sur le port et à l'arsenal . Mais sitôt ...
... marche à présent . Je fai- sais quelque chose des Tarentins , et pendant huit jours j'en obtins tout ce que j'en voulus : on allait au - devant de mes demandes . On travaillait comme des forçats , sur le port et à l'arsenal . Mais sitôt ...
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Common terms and phrases
Adieu affaire aide-de-camp aise Akerblad amis arriva assez aura avez beau belle bientôt brigands c'était Calabre Castrovillari cavalerie cavalier cher cheval chose Clavier commandant conte Coraï Corigliano coup cousine crois d'artillerie demande Dieu Dionigi dire donner écrit enfin êtes eût fais femme Florence Foggia Furia garde général Reynier général Saint-Cyr gens grace grec guère guerre homme imprimer Isocrate j'ai j'aurais j'avais j'en j'étais j'eusse jamais jolie jours juge l'armée l'autre laisse lettre Livourne livres long-temps Longus m'en madame Clavier MADAME COURIER main maire manuscrit manuscrits Marcellinara Masséna ment messieurs mieux Milan Mileto mille mois monde monsieur n'ai n'en Naples officier parler passer Pausanias pays pense personne pied plaisir plaît Plutarque Pouille pourrait pouvait prendre présent quitte raison Renouard reste rien Rome s'en s'il Sainte-Croix Sainte-Euphémie sais savez savoir Scigliano sera seul Tarente troupes trouve vais Véretz Vérone veux voilà vois voudrais voulait vrai Xénophon
Popular passages
Page 177 - Nos hôtes avaient bien mine de charbonniers ; mais la maison, vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'étaient que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut , et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon...
Page 178 - Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre- n'était guère haute , mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...
Page 359 - Surtout gardez-vous bien de croire que quelqu'un ait écrit en français depuis le règne de Louis XIV ; la moindre femmelette de ce tempslà vaut mieux pour le langage que les Jean-Jacques, Diderot, d'Alembert, contemporains et postérieurs; ceux-ci sont tous ânes bâtés, sous le rapport de la langue , pour user d'une de leurs phrases ; vous ne devez pas seulement savoir qu'ils aient existé.
Page 7 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence.
Page 176 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon; mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme ne se fit pas prier : nous voilà mangeant et buvant, lui du moins; car pour moi, j'examinai le lieu et la mine de nos hôtes.
Page 128 - Comment oserait-on coucher dans une maison des champs? On y serait égorgé dès la première nuit. Les moissons coûtent peu de soins; à ces terres soufrées il faut peu d'engrais; nous ne trouvons pas à vendre le fumier de nos chevaux.
Page 179 - ... de la porte je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui; moi derrière la porte: il ouvrit; mais avant d'entrer, il posa la lampe, que sa femme vint prendre; puis il entre pieds nus, et elle, de dehors, lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de la lampe: ,,Doucement, va doucement.
Page 54 - Voilà le propos du lieutenant, que je ne trouve point tant sot. En effet, que signifie, dis-moi. . . . , un homme comme lui, Bonaparte, soldat, chef d'armée, le premier capitaine du monde, vouloir qu'on l'appelle Majesté! être Bonaparte et se faire sire ! -il aspire à descendre ; mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom.
Page 33 - Dites à ceux qui veulent voir Rome qu'ils se hâtent; car chaque jour le fer du soldat et la serre des agents français flétrissent ses beautés naturelles et la dépouillent de sa parure. Permis à vous, Monsieur, qui êtes accoutumé au langage naturel et noble de l'antiquité, de trouver ces expressions trop fleuries...
Page 171 - On l'accueille, on lui rit, partout il s'insinue; Et s'il est par la brigue un rang à disputer, Sur le plus honnête homme on le voit l'emporter.