Oeuvres complètes de P.-L. Courier, Volume 1Paulin, 1834 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 51
Page 196
... cavalerie , je prends le parti , sauf votre meilleur avis , de la publier telle qu'elle est , avec le texte revu sur tous les manuscrits de France et d'Italie , et des notes que je n'ai pas eu le temps de faire plus courtes : le tout ...
... cavalerie , je prends le parti , sauf votre meilleur avis , de la publier telle qu'elle est , avec le texte revu sur tous les manuscrits de France et d'Italie , et des notes que je n'ai pas eu le temps de faire plus courtes : le tout ...
Page 197
... de Xénophon , j'ai remis à leur place , ' Lettre qui se trouve en tête de la traduction des deux livres de Xé- nophon sur la cavalerie . dans le texte , celles qui s'y sont pu ajuster ÉCRITES DE FRANCE ET D'Italie . 197.
... de Xénophon , j'ai remis à leur place , ' Lettre qui se trouve en tête de la traduction des deux livres de Xé- nophon sur la cavalerie . dans le texte , celles qui s'y sont pu ajuster ÉCRITES DE FRANCE ET D'Italie . 197.
Page 223
... , mais je n'ai jamais un sou ; et puis , ne se moquerait - on pas avec Les deux livres sur la cavalerie , traduits à Naples . quelque raison d'un officier qui emploierait sa solde à se ÉCRITES DE FRANCE ET D'Italie . 223.
... , mais je n'ai jamais un sou ; et puis , ne se moquerait - on pas avec Les deux livres sur la cavalerie , traduits à Naples . quelque raison d'un officier qui emploierait sa solde à se ÉCRITES DE FRANCE ET D'Italie . 223.
Page 241
... l'issue fâcheuse de la maladie de Les deux livres de Xénophon sur la cavalerie , imprimés depuis chez Eberhart à la fin de 1809 . 111 . 16 notre respectable ami ; mais si nous avons le malheur ÉCRITES DE FRANCE ET D'ITALIE . 241.
... l'issue fâcheuse de la maladie de Les deux livres de Xénophon sur la cavalerie , imprimés depuis chez Eberhart à la fin de 1809 . 111 . 16 notre respectable ami ; mais si nous avons le malheur ÉCRITES DE FRANCE ET D'ITALIE . 241.
Page 269
... pour certains soins qu'il avait donnés à votre Cavalerie de Xénophon . L'Anabasis est , selon lui , un marché à part , et d'une tout autre im- portance . En effet j'ai vu son travail , et ÉCRITES DE FRANCE ET D'ITALIE . 269.
... pour certains soins qu'il avait donnés à votre Cavalerie de Xénophon . L'Anabasis est , selon lui , un marché à part , et d'une tout autre im- portance . En effet j'ai vu son travail , et ÉCRITES DE FRANCE ET D'ITALIE . 269.
Other editions - View all
Common terms and phrases
Adieu affaire aide-de-camp aise Akerblad amis arriva assez aura avez beau belle bientôt brigands c'était Calabre Castrovillari cavalerie cavalier cher cheval chose Clavier commandant conte Coraï Corigliano coup cousine crois d'artillerie demande Dieu Dionigi dire donner écrit enfin êtes eût fais femme Florence Foggia Furia garde général Reynier général Saint-Cyr gens grace grec guère guerre homme imprimer Isocrate j'ai j'aurais j'avais j'en j'étais j'eusse jamais jolie jours juge l'armée l'autre laisse lettre Livourne livres long-temps Longus m'en madame Clavier MADAME COURIER main maire manuscrit manuscrits Marcellinara Masséna ment messieurs mieux Milan Mileto mille mois monde monsieur n'ai n'en Naples officier parler passer Pausanias pays pense personne pied plaisir plaît Plutarque Pouille pourrait pouvait prendre présent quitte raison Renouard reste rien Rome s'en s'il Sainte-Croix Sainte-Euphémie sais savez savoir Scigliano sera seul Tarente troupes trouve vais Véretz Vérone veux voilà vois voudrais voulait vrai Xénophon
Popular passages
Page 177 - Nos hôtes avaient bien mine de charbonniers ; mais la maison, vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'étaient que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut , et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon...
Page 178 - Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre- n'était guère haute , mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...
Page 359 - Surtout gardez-vous bien de croire que quelqu'un ait écrit en français depuis le règne de Louis XIV ; la moindre femmelette de ce tempslà vaut mieux pour le langage que les Jean-Jacques, Diderot, d'Alembert, contemporains et postérieurs; ceux-ci sont tous ânes bâtés, sous le rapport de la langue , pour user d'une de leurs phrases ; vous ne devez pas seulement savoir qu'ils aient existé.
Page 7 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence.
Page 176 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon; mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme ne se fit pas prier : nous voilà mangeant et buvant, lui du moins; car pour moi, j'examinai le lieu et la mine de nos hôtes.
Page 128 - Comment oserait-on coucher dans une maison des champs? On y serait égorgé dès la première nuit. Les moissons coûtent peu de soins; à ces terres soufrées il faut peu d'engrais; nous ne trouvons pas à vendre le fumier de nos chevaux.
Page 179 - ... de la porte je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui; moi derrière la porte: il ouvrit; mais avant d'entrer, il posa la lampe, que sa femme vint prendre; puis il entre pieds nus, et elle, de dehors, lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de la lampe: ,,Doucement, va doucement.
Page 54 - Voilà le propos du lieutenant, que je ne trouve point tant sot. En effet, que signifie, dis-moi. . . . , un homme comme lui, Bonaparte, soldat, chef d'armée, le premier capitaine du monde, vouloir qu'on l'appelle Majesté! être Bonaparte et se faire sire ! -il aspire à descendre ; mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom.
Page 33 - Dites à ceux qui veulent voir Rome qu'ils se hâtent; car chaque jour le fer du soldat et la serre des agents français flétrissent ses beautés naturelles et la dépouillent de sa parure. Permis à vous, Monsieur, qui êtes accoutumé au langage naturel et noble de l'antiquité, de trouver ces expressions trop fleuries...
Page 171 - On l'accueille, on lui rit, partout il s'insinue; Et s'il est par la brigue un rang à disputer, Sur le plus honnête homme on le voit l'emporter.