Le Parnasse français: A book of French poetry, from A. D. 1550 to the present timeJames Parton |
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... fils soyeux des trames Que mon caprice aime à tisser . Voix de l'âme et de la nature , J'écouterai vos purs sanglots , Sans que les couplets de facture M'étourdissent de leurs grelots . Et portant , dans mon verre à côtes , La santé du ...
... fils soyeux des trames Que mon caprice aime à tisser . Voix de l'âme et de la nature , J'écouterai vos purs sanglots , Sans que les couplets de facture M'étourdissent de leurs grelots . Et portant , dans mon verre à côtes , La santé du ...
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... fils les climats qu'habitaient leurs aïeux . D'excellens citoyens fréquentaient peu nos temples ; Et sans aller bien loin te chercher des exemples , 1 De ton prédécesseur Maurice 1 fut l'ap- pui : On peut servir son roi sans penser ...
... fils les climats qu'habitaient leurs aïeux . D'excellens citoyens fréquentaient peu nos temples ; Et sans aller bien loin te chercher des exemples , 1 De ton prédécesseur Maurice 1 fut l'ap- pui : On peut servir son roi sans penser ...
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... fils du soleil , Qui vient , fertile amant d'une heureuse culture , Varier du printemps l'uniforme ver- Vois l'abricot naissant , sous les yeux d'un dure ; beau ciel , Arrondir son fruit doux et blond comme Vois la pourpre des fleurs ...
... fils du soleil , Qui vient , fertile amant d'une heureuse culture , Varier du printemps l'uniforme ver- Vois l'abricot naissant , sous les yeux d'un dure ; beau ciel , Arrondir son fruit doux et blond comme Vois la pourpre des fleurs ...
Page 45
... fils des Alpes glacées , La Seine au flot royal , la Loire dans son sein enfin Qui nourrissent partout , sur tes nobles rivages , Fleurs , moissons et vergers , et bois et pâturages ; Rampent au pied des murs d'opulentes cités , Sous ...
... fils des Alpes glacées , La Seine au flot royal , la Loire dans son sein enfin Qui nourrissent partout , sur tes nobles rivages , Fleurs , moissons et vergers , et bois et pâturages ; Rampent au pied des murs d'opulentes cités , Sous ...
Page 46
... fils malheureux comme toi ; Tu vois sous les soldats les villes gémis- santes ; Corvée , impôts rongeurs , tributs , taxes pesantes , Le sel , fils de la terre , ou même l'eau des mers , Source d'oppression et de fléaux divers ; Vingt ...
... fils malheureux comme toi ; Tu vois sous les soldats les villes gémis- santes ; Corvée , impôts rongeurs , tributs , taxes pesantes , Le sel , fils de la terre , ou même l'eau des mers , Source d'oppression et de fléaux divers ; Vingt ...
Contents
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Common terms and phrases
ailes aime ALCESTE ALEXIS PIRON ALFRED DE MUSSET ALFRED DE VIGNY âme amour ANDRE CHÉNIER ange AUGUSTE BARBIER beau belle berceau blanc bois bonheur bords bras brille brise bruit chants CHARLES BAUDELAIRE charmant cher ciel cieux cœur d'or Dieu dieux divin douce douleur doux encens enfants esprit éternel femme fille fils flamme fleurs flots FRANÇOIS COPPÉE front gloire Hélas héros heureux homme j'ai j'aime jamais Jean Chouan JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU jeune JOSEPH AUTRAN jour l'âme l'amour l'enfant l'homme l'ombre l'onde l'univers laisse LAMARTINE larmes loin main ment mère monde monts mort mortels mourir murs noir nuage nuit ombre ORONTE pâle passé pauvre pensée père peuple pieds plaine pleurs poëte qu'un rayon regard rêve rien rois rose sacré saint sang Seigneur seul soir soleil sombre sort souffle sourire temple terre tombe tombeau tremble TRISSOTIN triste VADIUS vent VICTOR HUGO vieux voilà voile vois voix VOLTAIRE yeux
Popular passages
Page 418 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 404 - Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien ; Et leurs livres, un dé, du fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d'à présent sont bien loin de ces mœurs : Elles veulent écrire, et devenir auteurs...
Page 425 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Page 219 - Toi que j'ai recueilli sur sa bouche expirante Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois saint', don d'une main mourante, Image de mon Dieu ; Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j'adore, Depuis l'heure sacrée où, du sein d'un martyr, Dans mes tremblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir...
Page 206 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs, Salut, champs que j'aimais ! et vous, douce verdure ! Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux...
Page 56 - L'épi naissant mûrit, de la faux respecté; Sans crainte du pressoir, le pampre, tout l'été, Boit les doux présents de l'aurore; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux pas mourir encore.
Page 475 - La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur...
Page 443 - Il est si beau , l'enfant, avec son doux sourire , Sa douce bonne foi , sa voix qui veut tout dire , Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie , Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers ! Seigneur!
Page 418 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi : Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien; vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Page 73 - Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter c'est mourir.