| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 290 pages
...L'Esfrit des Lait. de lumière, n'est que l'aurore du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejeterois rie mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...pour jamais. Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fut préjudiciable à ma familie , je le rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque...et qui ne le fût pas à ma patrie , je chercherais a l'oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie , et qui fût préjudiciable à l'Europe... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1818 - 538 pages
...fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille , je le rejetterois de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille, et qui ne le fût pas à ma 1 L'Esprit des Lois. patrie, je chercherois à l'oublier. Si je savois quelque chose utile à ma patrie,... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 484 pages
...reste encore de lumière n'est que l'aurore du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejelterois de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 580 pages
...reste encore de lumière n'est que l'aurore du jour où ils Se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille , je le rejetterois de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1831 - 534 pages
...qui fût préjudiciable à ma famille, je-le rejette! de mon esprit. Si je savois quelque chose qui utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma pat je chercherois à l'oublier. Si je savois quel< chose utile à ma patrie, et qui fût préjudiciab... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1834 - 522 pages
...fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterois de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherois à l'oublier. Si je savois quelque chose utile à ma patrie, et qui fût préjudiciable... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1834 - 512 pages
...reste encore de lumière n'est que l'aurore du jour où ils se fermeront pour jamais. Si je savois quelque chose qui .me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille , je le rejetterois de mon esprit. Si je savois quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût... | |
| Prosper Poitevin - 1843 - 534 pages
...qu'il eût fait, e au préjudice des lois, le sénat se déclara toujours pour lui. (Montesquieu.) Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille , je le, la rejetterais loin de mon esprit. (Le même.) On m'offrit quelque chose, et je le, la refusai; on... | |
| French literature - 1843 - 972 pages
...exclusion , pourrait-elle, en prédominant , ne pas nous pousser vers le bien ? Un homme a dit : < Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille , je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le... | |
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