CLXXXVIII. A UNE JEUNE DA ME, Qui avait chanté dans un repas. QUE j'ai goûté le plaifir de l'entendre! Dans tous fes traits l'amour mit fon pouvoir; CLXXXIX. A M. GUENEAU DE MONTBEILLARD. DANS le féjour d'Euclide, un compagnon d'Horace, Tu cherches fur la terre un vrai héros, un fage CXCI. A MADAME DE *** Qui avait fait préfent d'un rofier à l'auteur. Vous embelliffez la retraite Où, loin des fots et de leur bruit, Dans le fein d'une étude abstraite, C'eft par vos bienfaits qu'il arrive Ainfi dans l'âge heureux d'Aftrée, La main brillante des talens, Sema les rofes du printemps. CXCII. A L'IMPERATRICE DE RUSSIE, CATHERINE II, Qui invitait l'auteur à faire un voyage dans fes Etats. DIEUX! qui m'ôtez les yeux et les oreilles, CXCIII. CXCIII. SUR LA ME ME. SES bontés font ma gloire, et causent mon regret; CX CIV. A MADEMOISELLE CLAIRON. LES talens, l'efprit, le génie, Les plus beaux momens de ma vie Sont donc ceux que je n'ai point vus ! (17) L'inauguration de la statue de M. de Voltaire, fête célébrée chez mademoiselle Clairon, en octobre 1772. Cette actrice, habillée en prêtreffe d'Apollon, pofa une cou ronne de laurier fur le bufte de l'auteur de Zaïre, et récita une ode de M. Marmontel en fon honneur. Contes, Satires, &c. O o Vous avez orné mon image Des lauriers qui croiffent chez vous: CXCV. A MADAME LA MARQUISE DE MONTFERAT, Affife à table entre un jésuite et un ministre proteftant. LES malins qu'Ignace engendra, Les raisonneurs de janfénistes, Et leurs coufins les calviniftes Se difputent à qui l'aura. Les Grâces, dont elle eft l'ouvrage, Ont dit: Elle eft notre partage, |