LV I. EPIGR A M M E. QUAND les Français à tête folle, Ils gagnèrent à l'étourdie Et Gène et Naple et la v.... par-tout, Car la v. ... leur refta, LVII. A MADAME DE FONTAINE-MARTEL, En lui envoyant le Temple de l'amitié. POUR VOUS, vive et douce Martel, Pour vous, folide et tendre amie, Où rarement on facrifie. C'est vous que j'y veux encenfer ; Les jours les plus beaux de ma vie.' LVIII. Vers envoyés à M. Sylva, premier médecin de la reine, avec le portrait de l'auteur. Au temple d'Epidaure on offrait les images Efculape nouveau, mes jours font tes bienfaits, LIX. A MADAME D'ARGENTAL, Le jour de fainte Jeanne fa patronne. JEAN fut un faint (fi l'on en croit l'hiftoire Sans opulence avait bonne maison, Or vous, grand faint, mangeur de fauterelle, Prêchez, jeûnez, priez; mais vous, la belle, A M. L X. CLEMENT, De Montpellier, qui avait adreffé des vers à l'auteur, en l'exhortant à ne pas abandonner la poëfie pour la phyfique. UN certain chantre abandonnait fa lyre ; LX I. AU ROI STANISLAS, Sur fa feconde élection au trône de Pologne. 1734. Il fallait un monarque aux fiers enfans du Nord; G % Contes, Satires, &c. LXII. A MAD, A ME LA DUCHESSE DE RICHELIEU. 1734. PLUS mon œil étonné vous fuit et vous observe, Et plus vous raviffez mes efprits éperdus ; Avec les yeux noirs de Vénus Vous avez l'efprit de Minerve. Mais Minerve et Vénus ont reçu des avis ; LXIII. SUR M. DE LA CONDAMINE, Qui était occupé de la mesure d'un degré du méridien au Pérou, lorfque M. de Voltaire fefait Alzire. MA muse et fon compas font tous deux au Pérou. |