Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers, je m'y suis attaché comme au mien propre : j'ai pris part à leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fussent dans un état florissant. Oeuvres - Page 229by Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1834Full view - About this book
| France - 1788 - 352 pages
...appelle la gloire; j'ai toujours fenti une joie fecrete lorfqu'on a fait quelque réglement qui allât au bien commun. „ „ Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers je m'y fuis attaché comme au mien propre , j'ai pris part à leur fortune , & j'aurois fouhaité qu'ils fu... | |
| 1788 - 330 pages
...appelle la gloire; j'ai toujours fenti une joie fecrete lorfqu'on a fait quelque réglement qui allât au bien commun. „ „ Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers je m'y fuis attaché comme au mien propre, j'ai pris part à leur fortune, & j'aurois fouhaité qu'ils fuflent... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 584 pages
...accompagna Montesquieu dans ses voyages. Il s'en rend à lui-même le témoignage en ces termes : « Quand j'ai voyagé dans les » pays étrangers , je...propre ; j'ai pris part à leur fortune , et j'aurois sou» haité qu'ils fussent dans un état plus florissant.» Cette disposition d'âme, qui ne pouvoit... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1821 - 324 pages
...gloire; j'ai toujours senti uiie joie secrèle lorsqu'on a fait quelqup rèr gSenient qui alloit au Lien commun. Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers , je m'y suis attaché comme au mie;* propre , j'ai pris part à leur fortune j et j'aurois souhaité qu'ils fussent dans un état... | |
| 1853
...cœur, il n'était rien moins qu'exclusif: «Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers, dit-il , je m'y suis attaché comme au mien propre, j'ai pris part à leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fassent dans un état florissant. » En tous cas, il n'était pas homme à... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Rome - 1843 - 574 pages
...appelle la gloire ; j'ai toujours senti une joie secrète lorsqu'on a fait quelque règlement qui allait au bien commun. Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers,...au mien propre ; j'ai pris part à leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fussent dans un étatflorissant. J'ai cru trouver de l'esprit à des gens... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Rome - 1846 - 602 pages
...appelle lagloire ; j'ai toujours senti une joie secrète lorsqu'on a fait quelque règlement qui allait au bien commun. Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers...au mien propre ; j'ai pris part à leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fussent dans un étatflorissant. J'ai cru trouver de l'esprit à des gens... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Civilization, Classical - 1851 - 580 pages
...appelle lagloire ; j'ai toujours senti une joie secrète lorsqu'on a fait quelque règlement qui allait au bien commun. Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers...au mien propre ; j'ai pris part à leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fussent dans un étatflorissant. J'ai cru trouver de l'esprit à des gens... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1853 - 810 pages
...feiuéei Mttrm : PortrmU. :*) 1*4. que tant d'autres ont dans l'esprit , il l'avait dans le cœur : « Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers , je m'y...mien propre ; j'ai pris part à « leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fussent dans « un état florissant (1). » — « Si je savais quelque chose... | |
| Jules Romain Barni - 1865 - 384 pages
...non pas seulement comme un voyageur curieux, mais par l'effet d'une véritable et large sympathie. « Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers, je m'y...au mien propre ; j'ai pris part à leur fortune, et j'aurais souhaité qu'ils fussent dans un état florissant. » II savait d'ailleurs s'accommoder aux... | |
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