Histoire de la littérature française depuis le XVIIe siècle jusqu'à nos joursPlon-Nourrit et cie, 1900 - French literature |
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... presque toujours , et , donnant ainsi un exemple excellent , il s'en affranchit à ses risques et périls quand il croit qu'il y a un effet à faire qui ne se peut obtenir qu'avec une irrégularité . Il ne veut pas d'inversions , non sans ...
... presque toujours , et , donnant ainsi un exemple excellent , il s'en affranchit à ses risques et périls quand il croit qu'il y a un effet à faire qui ne se peut obtenir qu'avec une irrégularité . Il ne veut pas d'inversions , non sans ...
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... presque rare- ment et là où la prose pro- prement dite , pourvu qu'elle fût oratoire , l'admettrait . Au fond il est orateur avec quelques - unes des qualités d'imagination et de « vision » qui font le poète . Ce qu'il a surtout , c'est ...
... presque rare- ment et là où la prose pro- prement dite , pourvu qu'elle fût oratoire , l'admettrait . Au fond il est orateur avec quelques - unes des qualités d'imagination et de « vision » qui font le poète . Ce qu'il a surtout , c'est ...
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... ayant quelque tare , Au même temps qu'on les répare , L'eau s'enfuit d'un autre côté ? Il n'a eu presque aucune sensibilité et presque aucun sentiment de la nature . Quatre strophes de la Consolation IO HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE.
... ayant quelque tare , Au même temps qu'on les répare , L'eau s'enfuit d'un autre côté ? Il n'a eu presque aucune sensibilité et presque aucun sentiment de la nature . Quatre strophes de la Consolation IO HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE.
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... presque tous les poètes du XVIIe siècle , un peintre de la nature attentif , passionné et souvent très heureux . La Solitude n'est pas autre chose qu'une grande « marine » , d'une ampleur souvent magnifique et d'un étonnant coloris ...
... presque tous les poètes du XVIIe siècle , un peintre de la nature attentif , passionné et souvent très heureux . La Solitude n'est pas autre chose qu'une grande « marine » , d'une ampleur souvent magnifique et d'un étonnant coloris ...
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... presque toujours charmant . Il ne faut pas se tromper sur l'Astrée . Ce n'est ni une œuvre profonde comme le Don Quichotte ou le Panta- gruel , ni une œuvre d'exquise sensibilité comme la Prin- cesse de Clèves ; mais c'est une œuvre d ...
... presque toujours charmant . Il ne faut pas se tromper sur l'Astrée . Ce n'est ni une œuvre profonde comme le Don Quichotte ou le Panta- gruel , ni une œuvre d'exquise sensibilité comme la Prin- cesse de Clèves ; mais c'est une œuvre d ...
Contents
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 8 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 63 - Job, de mille tourments atteint, Vous rendra sa douleur connue, Et raisonnablement il craint Que vous n'en soyez point émue. Vous verrez sa misère nue : II s'est lui-même ici dépeint. Accoutumez-vous à la vue D'un homme qui souffre et se plaint. Bien qu'il eût d'extrêmes souffrances, On vit aller des patiences Plus loin que la sienne n'alla. S'il souffrit des maux incroyables, II s'en plaignit, il en parla; J'en connais de plus misérables.
Page 318 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 434 - Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Fatigués de porter leurs misères hautaines, De Palos, de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. Ils allaient conquérir le fabuleux métal...
Page 10 - En la paix naissent les plaisirs ; Elle met les pompes aux villes, Donne aux champs les moissons fertiles, Et, de la majesté des lois Appuyant les pouvoirs suprêmes, Fait demeurer les diadèmes Fermes sur la tête des rois.
Page 237 - ... ai-je goûté les charmes : non pas de cette amitié vaine qui naît dans les vains plaisirs, qui s'envole avec eux, et dont on a toujours à se plaindre, mais de cette amitié solide et courageuse, la plus rare des vertus.
Page 62 - Dès longtemps je connais sa rigueur infinie; Mais pensant aux beautés, pour qui je dois périr, Je bénis mon martyre, et content de mourir, Je n'ose murmurer contre sa tyrannie. Quelquefois ma raison par de faibles discours...
Page 144 - ... avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pouvait oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fois.
Page 432 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure Je me souviens Des jours anciens Et je pleure. Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Page 2 - On voit par ta rigueur tant de blondes jeunesses, Tant de riches grandeurs, tant d'heureuses vieillesses, En fuyant le trépas au trépas arriver ; Et celui qui chétif aux misères succombe, Sans vouloir autre bien que le bien de la tombe, N'ayant qu'un jour à vivre, il ne peut l'achever.