Histoire de la littérature française depuis le XVIIe siècle jusqu'à nos joursPlon-Nourrit et cie, 1900 - French literature |
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... pensée française . CHAPITRE V PHILOSOPHES DU XVII SIÈCLE Au même temps où la philosophie religieuse était portée par les hommes de Port - Royal à un si haut degré de pénétration et aussi de subtilité , la philosophie laïque , si l'on ...
... pensée française . CHAPITRE V PHILOSOPHES DU XVII SIÈCLE Au même temps où la philosophie religieuse était portée par les hommes de Port - Royal à un si haut degré de pénétration et aussi de subtilité , la philosophie laïque , si l'on ...
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... Pensées . C'est un des plus grands philosophes français et c'est peut - être le plus grand écrivain français . Moraliste pro- fond , dialecticien subtil et vigoureux , grand orateur , soit dans les Provinciales , soit dans les morceaux ...
... Pensées . C'est un des plus grands philosophes français et c'est peut - être le plus grand écrivain français . Moraliste pro- fond , dialecticien subtil et vigoureux , grand orateur , soit dans les Provinciales , soit dans les morceaux ...
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... динам ve may за ординя пилил резерде дай Ja Jay ку grain Je ден , Кот года ar рар з терасов трират , ди wing parts & бiз пари суппова FRAGMENT DU MANUSCRIT DES « PENSÉES » DE PASCAL gré son nom italien , et qui du reste s'appelait давя.
... динам ve may за ординя пилил резерде дай Ja Jay ку grain Je ден , Кот года ar рар з терасов трират , ди wing parts & бiз пари суппова FRAGMENT DU MANUSCRIT DES « PENSÉES » DE PASCAL gré son nom italien , et qui du reste s'appelait давя.
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... pensée , soit comme grâce . Cousin a dit très heureusement et dans un style qui se sent d'une récente lecture de Malebranche : « C'est Descartes qui s'égare parce qu'il a trouvé des ailes . » La Recherche de la vérité , ne fût - ce que ...
... pensée , soit comme grâce . Cousin a dit très heureusement et dans un style qui se sent d'une récente lecture de Malebranche : « C'est Descartes qui s'égare parce qu'il a trouvé des ailes . » La Recherche de la vérité , ne fût - ce que ...
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... pensée géné- rale , le tour d'esprit commun n'était pas celui - ci au temps de Corneille ; mais il était absolument contraire . Ce qui était l'idéal du temps , c'était « une belle passion » , et la doctrine courante était que rien ne ...
... pensée géné- rale , le tour d'esprit commun n'était pas celui - ci au temps de Corneille ; mais il était absolument contraire . Ce qui était l'idéal du temps , c'était « une belle passion » , et la doctrine courante était que rien ne ...
Contents
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 8 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 63 - Job, de mille tourments atteint, Vous rendra sa douleur connue, Et raisonnablement il craint Que vous n'en soyez point émue. Vous verrez sa misère nue : II s'est lui-même ici dépeint. Accoutumez-vous à la vue D'un homme qui souffre et se plaint. Bien qu'il eût d'extrêmes souffrances, On vit aller des patiences Plus loin que la sienne n'alla. S'il souffrit des maux incroyables, II s'en plaignit, il en parla; J'en connais de plus misérables.
Page 318 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 434 - Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Fatigués de porter leurs misères hautaines, De Palos, de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. Ils allaient conquérir le fabuleux métal...
Page 10 - En la paix naissent les plaisirs ; Elle met les pompes aux villes, Donne aux champs les moissons fertiles, Et, de la majesté des lois Appuyant les pouvoirs suprêmes, Fait demeurer les diadèmes Fermes sur la tête des rois.
Page 237 - ... ai-je goûté les charmes : non pas de cette amitié vaine qui naît dans les vains plaisirs, qui s'envole avec eux, et dont on a toujours à se plaindre, mais de cette amitié solide et courageuse, la plus rare des vertus.
Page 62 - Dès longtemps je connais sa rigueur infinie; Mais pensant aux beautés, pour qui je dois périr, Je bénis mon martyre, et content de mourir, Je n'ose murmurer contre sa tyrannie. Quelquefois ma raison par de faibles discours...
Page 144 - ... avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pouvait oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fois.
Page 432 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure Je me souviens Des jours anciens Et je pleure. Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Page 2 - On voit par ta rigueur tant de blondes jeunesses, Tant de riches grandeurs, tant d'heureuses vieillesses, En fuyant le trépas au trépas arriver ; Et celui qui chétif aux misères succombe, Sans vouloir autre bien que le bien de la tombe, N'ayant qu'un jour à vivre, il ne peut l'achever.