Magasin pittoresque, Volume 30Aux Bureaux d'Abonnement et de Vente, 1862 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 7
... mort . Et , chose plus terrible ! ajouta Arthur en s'essuyant le front que baignait une sueur froide , c'est qu'Isabelle , si grave , si sensée , a fini par partager cette terrible conviction . Dans son désir de tranquilliser sa sœur ...
... mort . Et , chose plus terrible ! ajouta Arthur en s'essuyant le front que baignait une sueur froide , c'est qu'Isabelle , si grave , si sensée , a fini par partager cette terrible conviction . Dans son désir de tranquilliser sa sœur ...
Page 10
... mort en 1506 ) , et posséda Hermé du chef d'un frère mort sans enfants ; 2 ° Jean Balue le jeune , maître d'hôtel du roi et de la reine de Navarre , écuyer tranchant du Dauphin , seigneur de Gouaix en 1528 , après la mort de son frère ...
... mort en 1506 ) , et posséda Hermé du chef d'un frère mort sans enfants ; 2 ° Jean Balue le jeune , maître d'hôtel du roi et de la reine de Navarre , écuyer tranchant du Dauphin , seigneur de Gouaix en 1528 , après la mort de son frère ...
Page 11
... mort sans postérité . Il avait d'ailleurs vendu sa sei- gneurie ; sa fille Charlotte fut mariée à Charles Berthier , seigneur de Bizy en Normandie ; avec lui finit la descen- dance mâle de Balue , dans le courant ou vers la fin du ...
... mort sans postérité . Il avait d'ailleurs vendu sa sei- gneurie ; sa fille Charlotte fut mariée à Charles Berthier , seigneur de Bizy en Normandie ; avec lui finit la descen- dance mâle de Balue , dans le courant ou vers la fin du ...
Page 14
... mort de son père et le prochain mariage de son frère aîné , devenu sir Robert Eglinton . On ajournait les détails à son retour en Angle- terre , qui ne pouvait tarder , puisqu'il sollicitait un congé . En effet , l'organisateur du Bahar ...
... mort de son père et le prochain mariage de son frère aîné , devenu sir Robert Eglinton . On ajournait les détails à son retour en Angle- terre , qui ne pouvait tarder , puisqu'il sollicitait un congé . En effet , l'organisateur du Bahar ...
Page 15
... mort semblaient poursuivre et dénoncer l'assassin . Cette impression fut si forte que mon père en parla au médecin . Mais l'examen le plus minutieux ne fit découvrir aucune trace de violence . Le major Eglinton avait succombé , pendant ...
... mort semblaient poursuivre et dénoncer l'assassin . Cette impression fut si forte que mon père en parla au médecin . Mais l'examen le plus minutieux ne fit découvrir aucune trace de violence . Le major Eglinton avait succombé , pendant ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
affranchies Arie assez astronomes avaient bas-relief beau belle bleu bois Brême c'était Campana château château de Chantilly chose ciel cœur côté couche couleur coup cristal David d'Angers Dessin devant Dieu donner Dulmenn enfants enveloppes EXPOSITION UNIVERSELLE femme figure fleurs fourmilion François Ier gauche glaciers gravure gros d'argent habitants Hanneke haut Henri heures homme j'ai Jacques Balmat jamais jardin Jean Balue jeune jour jusqu'à kreutzers l'eau l'église laisser Lampy lettres Louis XIV lune main maison mari Marie Coutet ment mère mètres Mexico mont Blanc montagne monuments mort moyen Musée Napoléon Ier neige noir sur papier nuit Ottmann papier blanc passer pauvre peinture pendant pensée père petite pieds pierre pont porte premier Provins qu'un Receswinth reste rien rocher rose saint schilling semble sent sera seul siècle soleil sorte souvent suite terre tête Thémistocle timbres timbres-poste tion tombe tour trouve vent vert vieille voyageur yeux
Popular passages
Page 39 - Ce qui, dans tous les temps, lui a attaché si fortement le cœur de certains hommes, ce sont ses attraits mêmes, son charme propre, indépendant de ses bienfaits; c'est le plaisir de pouvoir parler, agir, respirer sans contrainte, sous le seul gouvernement de Dieu et des lois. Qui cherche dans la liberté autre chose qu'ellemême est fait pour servir.
Page 82 - Le courtisan autrefois avait ses cheveux, était en chausses et en pourpoint , portait de larges canons , et il était libertin : cela ne sied plus ; il porte une perruque, l'habit serré , le bas uni, et il est dévot : tout se règle par la mode.
Page 39 - Ce que haïssent les peuples faits pour être libres, c'est le mal même de la dépendance. Je ne crois pas non plus que le véritable amour de la liberté soit jamais né de la seule vue des biens matériels qu'elle procure; car cette vue vient souvent à s'obscurcir. Il est bien vrai qu'à la longue la liberté amène toujours, à ceux qui savent la retenir, l'aisance, le bien-être, et souvent la richesse; mais il y a des temps où elle trouble momentanément l'usage de pareils biens; il y en...
Page 220 - J'ai jeté les débris au vent... et j'ai pleuré! Pourtant je te pardonne, ô ma Voulzie ! et même, Triste, j'ai tant besoin d'un confident qui m'aime, Me parle avec douceur et me trompe, qu'avant De clore au jour mes yeux battus d'un si long vent, Je veux faire à tes bords un saint pèlerinage, Revoir tous les buissons si chers à mon jeune âge, Dormir encore au bruit de tes roseaux chanteurs, Et causer d'avenir avec tes flots menteurs. LA FERMIÈRE ROMANCE Ëtrenneâ à Madame G**' Amour à...
Page 82 - Jugez en cet état si je pouvais me plaire , Moi qui ne compte rien ni le vin ni la chère, Si l'on n'est plus au large assis en un festin, Qu'aux sermons de Cassagne ou de l'abbé Cotin 3.
Page 39 - Que manque-t-il à ceux-là pour rester libres? Quoi? le goût même de l'être. Ne me demandez pas d'analyser ce goût sublime, il faut l'éprouver. Il entre de luimême dans les grands cœurs que Dieu a préparés pour le recevoir; il les remplit, il les enflamme. On doit renoncer à le faire comprendre aux âmes médiocres qui ne l'ont jamais ressenti.
Page 316 - J'ai vu cent fois dans le cours de ma vie des hommes faibles montrer de véritables vertus publiques, parce qu'il s'était rencontré à côté d'eux une femme qui les avait soutenus dans cette voie, non en leur conseillant tels ou tels actes en particulier, mais en exerçant une influence fortifiante sur la manière dont ils devaient considérer en général le devoir ou même l'ambition. Bien plus souvent encore...
Page 231 - ... à l'expression artificielle imprimée à nos traits. M. Burke assure avoir souvent éprouvé que la passion de la colère s'allumait en lui à mesure qu'il contrefaisait les signes extérieurs de cette passion, et je ne doute pas que chez la plupart des individus la même expérience ne donne le même résultat.
Page 203 - Impôt qui était levé sur les roturiers en proportion de leurs biens et de leurs revenus. C'était à la fois un impôt personnel et un impôt territorial.
Page 318 - En l'amitié, c'est une chaleur générale et universelle, tempérée au demeurant et égale, une chaleur constante et rassise, toute douceur et polissure, qui n'a rien d'âpre et de poignant.