Fables choisies accompagnées de notes par A. de Closset1867 - 607 pages |
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... chose que la partie anecdotique de l'œuvre . Arrivé au terme des études humanitaires , l'élève nous paraît être dans les meilleures conditions pour recueillir le plus grand avantage de la lecture des classiques : c'est le moment où l ...
... chose que la partie anecdotique de l'œuvre . Arrivé au terme des études humanitaires , l'élève nous paraît être dans les meilleures conditions pour recueillir le plus grand avantage de la lecture des classiques : c'est le moment où l ...
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... de mieux en mieux toutes les faces d'une chose qui , vue sous un certain angle , ne lui aurait donné qu'une lumière imparfaite . Ce travail de com- paraison entre La Fontaine et ses devanciers , nous l'avons PRÉFACE . VII.
... de mieux en mieux toutes les faces d'une chose qui , vue sous un certain angle , ne lui aurait donné qu'une lumière imparfaite . Ce travail de com- paraison entre La Fontaine et ses devanciers , nous l'avons PRÉFACE . VII.
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... Droit est , par saint Amant ! 3 Pourchasser ; chercher , aller à la quête de telle ou telle chose . 4 Danser . 5 Chercher , demander , quærere , quérir . 1 Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue FABLES DE LA FONTAINE . 3.
... Droit est , par saint Amant ! 3 Pourchasser ; chercher , aller à la quête de telle ou telle chose . 4 Danser . 5 Chercher , demander , quærere , quérir . 1 Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue FABLES DE LA FONTAINE . 3.
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... ) pour un moisson- neur . s Intérêt et principal . Principal représente la chose prêtée ; intérêt , le bénéfice que l'on retire du prêt consenti . C'est là son moindre défaut 1 : Que faisiez - FABLES DE LA FONTAINE .
... ) pour un moisson- neur . s Intérêt et principal . Principal représente la chose prêtée ; intérêt , le bénéfice que l'on retire du prêt consenti . C'est là son moindre défaut 1 : Que faisiez - FABLES DE LA FONTAINE .
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... chose . Qu'est - ce là ! lui dit - il .-- Rien . - Quoi ! rien ! -Peu de Mais encor ? -Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut - être la cause . Attaché ! dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez - Pas ...
... chose . Qu'est - ce là ! lui dit - il .-- Rien . - Quoi ! rien ! -Peu de Mais encor ? -Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut - être la cause . Attaché ! dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez - Pas ...
Contents
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Common terms and phrases
ABSTEMIUS æthere alloit Allusion animaux Apollon apologue assez avoit beau belette bête BOILEAU c'est-à-dire C'étoit cerf Chamfort chat cheval chien chose conte corbeau dérive désigner Dieu dieux dire dit-il donne éditions modernes Ellipse enfants ÉSOPE étoit eût Expression familière FABLE VII FABLE XIV faisoit Fontaine fortune gens Geruzez Grecs Grenouilles hémistiche homme J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'âne l'apologue l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse langue romane latin lièvre lion LOUANDRE Louis XIV loup maint maître manger MAROT mieux Molière morale mort mouche moutons mythologie grecque n'en oiseaux Pantagruel passé pauvre pensée peuple PHÈDRE pieds Pilpay plaisir poëte poétique prince proverbe qu'un queue RABELAIS Racan raison REGNIER renard rien rime romane s'en sage seigneur semble sens seul signifie singe sorte souris style familier suivant sujet suprà suranné tête tour trouve verbe vieillard vient vieux VIRGILE Voilà YSOPET
Popular passages
Page 4 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 58 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 7 - Hé, bonjour, monsieur du Corbeau Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 519 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 291 - L'attelage suait, soufflait, était rendu. Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine. S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
Page 272 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur; Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 57 - Vous avez bien sujet d'accuser la nature; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil , Brave l'effort de la tempête.
Page 15 - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 272 - Ainsi dit le renard ; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 25 - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.