... vous-même et, s'il est possible, pour l'amour de moi. Je ne vous le demande point comme un mari, mais comme un homme dont vous faites tout le bonheur, et qui a pour vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. Le roman réaliste au XVIIe siècle - Page 366by Gustave Reynier - 1914 - 393 pagesFull view - About this book
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - Literature - 1812 - 238 pages
...tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. M. de Clèves s'attendrit en prononcant ces dernières paroles, et eut peine à les achever....larmes , elle l'embrassa avec une tendresse et une douleurqui lemirentdans un état peu différent du sien. Ils demeurèrent quelque temps sans se rien... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1818 - 328 pages
...vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. M. de C lèves s'attendrit en prononçant ces dernières paroles...qui le mirent dans un état peu différent du sien. Ils demeurèrent quelque temps sans se rien dire, ef se séparèrent sans avoir la force de se parler.... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1825 - 438 pages
...et qui a pour vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. M. de Clèves s'attendrit en prononçant ces dernières...qui le mirent dans un état peu différent du sien. Ils demeurèrent quelque temps sans se rien dire , et se séparèrent sans avoir la force de se parler.... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - French literature - 1832 - 1012 pages
...ri qui a pour vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. M. de Clèves s'attendrit en prononçant ces dernières...Sa femme en fut pénétrée, et, fondant en larmes, c1 le l'embrassa avec une tendresse et une douleur qui le mirent dans un état peu différent du sien.... | |
| Periodicals - 1860 - 652 pages
...votre cœur lui préfère. » M. de Clèves s'attendrit en prononçant ces dernières paroles ; il eut peine à les achever. Sa femme en fut pénétrée,...une tendresse et une douleur qui le mirent dans un étal peu différent du sien. » (Troisième partie.) qu'il en trouvât les moyens, faisant l'amant,... | |
| Saint Marc Girardin - Emotions - 1860 - 498 pages
...votre cœur lui préfère. » M. de Clèves s'attendrit en prononçant ces dernières paroles ; il eut peine à les achever. Sa femme en fut pénétrée, et, fondant en larmes, elle l'embrassa arec une tendresse et une douleur qui le mirent dans un etat pou durèrent du sien. » (Troisième... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1877 - 266 pages
...vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. » Monsieur de Clèves s'attendrit en prononçant ces dernières...qui le mirent dans un état peu différent du sien. Ils Les préparatifs pour le mariage de Madame étoient achevés. Le duc d'Albe arriva pour l'épouser.... | |
| Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1878 - 328 pages
...qui a pour vous une passion plus tendre et plus violente que celui que votre cœur lui préfère. » M. de Clèves s'attendrit, en prononçant ces dernières...qui le mirent dans un état peu différent du sien. Ils demeurèrent quelque temps sans se rien dire, et se séparèrent sans avoir la force de se parler.... | |
| Max Freiherr von Waldberg - French fiction - 1906 - 538 pages
...et plus violente que celui que votre cœur lui préfère." „M. de Clèves", heisst es dann weiter, „s'attendrit en prononçant ces dernières paroles,...qui le mirent dans un état peu différent du sien. Ils demeurèrent quelque temps sans se rien dire, et se séparèrent sans avoir la force de se parler"... | |
| Max Freiherr von Waldberg - French fiction - 1906 - 538 pages
...„s'attendrit en prononcant ces dernieres paroles, et eut peine ä les achever. Sa femme en fut penetree, et, fondant en larmes, elle l'embrassa avec une tendresse et une douleur qui le mirent dans un etat peu different du sien. Ils demeurerent quelque temps sans se rien dire, et se separerent sans... | |
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