Un théoricien anglais du droit public au XVIIe siècle: Th. Hobbes et ses théories du contrat social et de la souverainetéImpr. Ch. Marqués, 1907 - 272 pages |
Common terms and phrases
aboutir absolue absolutisme actes Althusius assemblée Bodin Bossuet c'est-à-dire choses citoyens Cive conception conséquent conservation considérer contrat social Corpore politico Corps politique crainte créé d'ailleurs déclare démocratie Dieu dire dit-il doctrine doit donner Duguit effet essen Etat formes de l'Etat Gierke gouvernement Hauriou hobbisme hommes humaine idées implique individus juridique l'absolutisme l'Eglise l'état de nature l'homme l'idée laisser Léviathan liberté limiter logique loi civile loi de nature lois loppe lui-même Marsile de Padoue ment méthode monarchie Monarchomaques monarque morale multitude naturel nécessaire Nicolas de Cues organisme pacte paix particuliers passions personnalité de l'Etat personne peuple Phil philosophie pouvoir principe public puissance suprême puisse raineté raison réalité réfuter religion représentation Rousseau s'il science politique sera société civile sorte souve souveraineté Spencer Spinoza suiv sujets surtout théoriciens théorie de Hobbes théorie du contrat tiel tion tisme transfert trat volonté de l'Etat volonté du souverain volonté générale volonté unique XIXe siècle XVIIIe siècle
Popular passages
Page 247 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 214 - Que si quelqu'un après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort; il a commis le plus grand des crimes, il a menti devant les lois.
Page 214 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 131 - République est un droit gouvernement de plusieurs mesnages et de ce qui leur est commun avec puissance souveraine.
Page 247 - Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de cité, et prend maintenant celui de république ou de corps politique, lequel est appelé par ses membres État quand il est passif, souverain quand il est actif, puissance en le comparant à ses semblables.
Page 101 - Quand donc l'avis contraire au mien l'emporte, cela ne prouve autre chose sinon que je m'étais trompé, et que ce que j'estimais être la volonté générale ne l'était pas. Si mon avis particulier l'eût emporté, j'aurais fait autre chose que ce que j'avais voulu; c'est alors que je n'aurais pas été libre.
Page 101 - Quand on propose une loi dans l'assemblée du peuple, ce qu'on leur demande n'est pas précisément s'ils approuvent la proposition ou s'ils la rejettent, mais si elle est conforme ou non à la volonté générale qui est la leur...
Page 250 - S'il y avait un peuple de Dieux, il se gouvernerait Démocratiquement. Un Gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes H.
Page 191 - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social, de sa puissance, de ses biens, de sa liberté, c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.
Page 32 - D'où il s'ensuivrait que par la raison nous ne concluons rien du tout touchant la nature des choses, mais seulement touchant leurs appellations ; c'est-à-dire que par elle nous voyons simplement si nous assemblons bien ou mal les noms des choses, selon les conventions que nous avons faites à notre fantaisie touchant leurs significations.