Mémoires de Marmontel |
From inside the book
Results 1-5 of 71
Page
Jean-François Marmontel. VNIVERSITATISC CALIFO EX LIBRIS BIBLIOTHÈQUE DES FAMILLES CHRÉTIENNES ET DES MAISONS D'ÉDUCATION , PUBLIÉE.
Jean-François Marmontel. VNIVERSITATISC CALIFO EX LIBRIS BIBLIOTHÈQUE DES FAMILLES CHRÉTIENNES ET DES MAISONS D'ÉDUCATION , PUBLIÉE.
Page
Jean-François Marmontel. 1 1 . BIBLIOTHÈQUE DES FAMILLES CHRÉTIENNES ET DES MAISONS D'ÉDUCATION , PUBLIÉE.
Jean-François Marmontel. 1 1 . BIBLIOTHÈQUE DES FAMILLES CHRÉTIENNES ET DES MAISONS D'ÉDUCATION , PUBLIÉE.
Page
Jean-François Marmontel. BIBLIOTHÈQUE DES FAMILLES CHRÉTIENNES ET DES MAISONS D'ÉDUCATION , PUBLIÉE SOUS LE PATRONAGE DE L'ÉPISCOPAT . PARIS . IMPRIMÉ PAR PLON FRÈRES RUE DE VAUGIRARD ,
Jean-François Marmontel. BIBLIOTHÈQUE DES FAMILLES CHRÉTIENNES ET DES MAISONS D'ÉDUCATION , PUBLIÉE SOUS LE PATRONAGE DE L'ÉPISCOPAT . PARIS . IMPRIMÉ PAR PLON FRÈRES RUE DE VAUGIRARD ,
Page 19
... maison , elle présidait au ménage , et nous donnait à tous l'exemple de la tendresse filiale ; car elle avait aussi sa mère et la mère de son mari , dont elle avait le plus grand soin . Je date d'un peu loin en parlant de mes bisaïeules ...
... maison , elle présidait au ménage , et nous donnait à tous l'exemple de la tendresse filiale ; car elle avait aussi sa mère et la mère de son mari , dont elle avait le plus grand soin . Je date d'un peu loin en parlant de mes bisaïeules ...
Page 19
... maison , elle présidait au ménage , et nous donnait à tous l'exemple de la tendresse filiale ; car elle avait aussi sa mère et la mère de son mari , dont elle avait le plus grand soin . Je date d'un peu loin en parlant de mes bisaïeules ...
... maison , elle présidait au ménage , et nous donnait à tous l'exemple de la tendresse filiale ; car elle avait aussi sa mère et la mère de son mari , dont elle avait le plus grand soin . Je date d'un peu loin en parlant de mes bisaïeules ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aimable allait âme amis assez aurait avaient avais Bastille Bélisaire bonté c'était caractère charmes cœur collége croyais d'Alembert demander députés Diderot dîner dire dis-je dit-il donner duc d'Aumont enfants esprit état eût faisait fallait femme fortune fût gens de lettres goût Helvétius heureux homme j'ai j'allais j'avais j'en j'étais jamais jeune joie jour l'abbé l'Académie française l'Assemblée l'autre l'avait l'esprit l'Hôtel-de-Ville l'un laisser livres Louis Louis XVI lui-même m'avait m'en m'était madame de Pompadour madame de Tencin madame Geoffrin madame Harenc madame Necker maison malheureux maréchal Marmontel marquis de Launay Maurepas ment Mercure mère ministre mœurs moi-même monsieur mort mourut n'avait n'en n'était naturel Necker Orri parler passer pensée père peuple philosophie plaisir poëme poëtes quelquefois rien Rousseau s'était sais savait semblait sensible sentiment serait seul société soin succès talent tête tiers état tion trouvai venait Versailles vint Voltaire voulait voulut yeux
Popular passages
Page 231 - J'étais ( c'est Diderot qui parle), j'étais prisonnier à Vincennes ; Rousseau venait m'y voir. Il avait fait de moi son Aristarque , comme' il l'a dit lui-même. Un jour , nous promenant ensemble , il me dit que l'Académie de Dijon venait de proposer une question intéressante, et qu'il avait envie de la traiter. Cette question était : Le rétablissement des sciences et des arts at-il contribué à épurer les mœurs?
Page 370 - Ce fut un jeu de paume, rendu célèbre par le serment qu'elles y prononcèrent de ne jamais être séparées , et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeraient , jusqu'à ce que la constitution du royaume , et la régénération de l'ordre fût rétablie et affermie sur des bases solides.
Page 371 - C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.
Page 64 - Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 230 - Si jamais quelque chose a ressemblé à une inspiration subite, c'est le mouvement qui se fit en moi à cette lecture: tout à coup je me sens l'esprit ébloui de mille lumières...
Page 230 - ... l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse, soulève ma poitrine ; ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber sous un des arbres de l'avenue, et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation, qu'en me relevant j'aperçus tout' le devant de ma veste mouillé de mes larmes, sans avoir senti que j'en répandais.
Page 15 - Mes enfants ont besoin de recueillir les leçons que le temps, l'occasion, l'exemple, les situations diverses par où j'ai passé, m'ont données. Je veux qu'ils apprennent de moi à ne jamais désespérer d'eux-mêmes, mais à s'en défier toujours ; à craindre les écueils de la bonne fortune, et à passer avec courage les détroits de l'adversité.
Page 231 - C'est le pont aux ânes, lui dis-je, tous les talents médiocres prendront ce chemin-là, et vous n'y trouverez que des idées communes, au lieu que le parti contraire présente à la philosophie et à l'éloquence un champ nouveau, riche et fécond. — Vous avez raison, me dit-il, après y avoir réfléchi un moment, et je suivrai votre conseil.
Page 360 - La nation est un grand troupeau qui ne songe qu'à paître, et qu'avec de bons chiens les bergers mènent à leur gré.
Page 179 - ... comme un écolier échappé du collège, ne demandant qu'à se réjouir; et, par le tour vif et plaisant que prenait alors cet esprit si lumineux , si profond, si solide , il faisait oublier en lui le philosophe et le savant, pour n'y plus voir que l'homme aimable. La source de cet enjouement si...