...anglais, a affranchi le capital des exigences du travail ; elle lui a donné les moyens de se passer de manouvriers. » Bien plus , l'homme est devenu un...capital. L'ouvrier ne s'appartient plus, il a perdu toute indépendance en perdant toute sécurité; il est à la merci du capitaliste, il en dépend; il n'est...

...le capital des exigences du travail ; elle lui a donné les moyens de se passer de manouvricrs. » Bien plus , l'homme est devenu un simple accessoire...capital. L'ouvrier ne s'appartient plus, il a perdu toute indépendance en perdant toute sécurité ; il est à la merci du capitaliste , il en dépend ; il...

...désormais attaché à l'usine; et le moment est » proche, peut-être, où l'on pourra s'en passer.... Bien » plus, l'homme est devenu un simple accessoire...la » machine, une annexe de la chose; il lui est subor» donné; il est en quelque sorte dominé, possédé par » le capital L'ouvrier ne s'appartient...

...pourra s'en passer. Bien plus, l'homme est devenu un simple accessoire de la machine, une annexe à la chose ; il lui est subordonné, il est en quelque sorte dominé, possédé par le capital, et à la merci du capital. « La fortune, dit-on, s'acquiert par le travail. Oui, mais surtout par...

...corporations, est désormais attaché à l'usine, et le moment est proche où l'on pourra s'en passer. Bien plus, l'homme est devenu un simple accessoire de la machine, une annexe à la chose ; il lui est subordonné, il est en quelque sorte dominé, possédé .par le capital, et...

...moment est proche, peut-être, où « l'on pourra s'en passer.... Bien plus, l'homme est devenu « r accessoire de la machine, une annexe de la chose;...L'ouvrier ne s'appartient plus, il a perdu « toute indépendance en perdant toute sécurité ; il est à la •i merci du capitaliste, il en dépend,...