La France littéraire: morceaux choisis de littérature française : prosateurs et poètes |
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... malheurs et des ténèbres du Xe siècle , la France avait conservé le souvenir d'une époque merveilleuse où la puissance de ses chefs s'était élevée à une incomparable grandeur . Charlemagne avait étendu ses conquêtes de l'Oder à l'Ebre ...
... malheurs et des ténèbres du Xe siècle , la France avait conservé le souvenir d'une époque merveilleuse où la puissance de ses chefs s'était élevée à une incomparable grandeur . Charlemagne avait étendu ses conquêtes de l'Oder à l'Ebre ...
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... malheur , les réformés y répondirent par l'incendie des églises . Bientôt les dis- sensions devinrent des guerres plus que civiles " . Tandis que la politique des Borgia et tous les délires de la débauche floren- tine déshonoraient la ...
... malheur , les réformés y répondirent par l'incendie des églises . Bientôt les dis- sensions devinrent des guerres plus que civiles " . Tandis que la politique des Borgia et tous les délires de la débauche floren- tine déshonoraient la ...
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... malheur , Du Bellay force ensuite les conséquences de son principe , il trahit le plus injuste dédain pour ce que la France avait produit jusque - là d'indigène . Il re- commande de créer des mots d'après le grec et le latin , de ...
... malheur , Du Bellay force ensuite les conséquences de son principe , il trahit le plus injuste dédain pour ce que la France avait produit jusque - là d'indigène . Il re- commande de créer des mots d'après le grec et le latin , de ...
Page 57
... malheur : Si près de voir sur soi fondre de tels orages , L'ébranlement sied bien aux plus fermes courages ; Et l'esprit le plus mâle et le moins abattu Ne saurait sans désordre exercer sa vertu . Quoique le mien s'étonne à ces rudes ...
... malheur : Si près de voir sur soi fondre de tels orages , L'ébranlement sied bien aux plus fermes courages ; Et l'esprit le plus mâle et le moins abattu Ne saurait sans désordre exercer sa vertu . Quoique le mien s'étonne à ces rudes ...
Page 58
... malheur des vaincus donnait toujours ses pleurs , Et nourrissait ainsi d'éternelles douleurs . Mais hier , quand elle sut qu'on avait pris journée , Et , qu'enfin la bataille allait être donnée , Une soudaine joie éclatant sur son front ...
... malheur des vaincus donnait toujours ses pleurs , Et nourrissait ainsi d'éternelles douleurs . Mais hier , quand elle sut qu'on avait pris journée , Et , qu'enfin la bataille allait être donnée , Une soudaine joie éclatant sur son front ...
Contents
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Common terms and phrases
Abner Alceste âme assez Athalie avez beau Bossuet Brontin Camille César chants charme cher chœur chose Cicéron ciel Cinna Cléante cœur Corneille courage Curiace Démosthène dessein Dieu dieux dire donner Égisthe Elise enfants enfin ennemis esprit Fénelon fille fils Flèche frère Frosine génie gloire goût guerre Harpagon hommes Isménie j'ai Jacques jamais Jézabel Joad Joas Josabeth jour l'esprit l'histoire l'homme laisse langue langue d'oïl latin Lévites littérature lois Louis Louis XIV Madame main maître malheur Mariane Mathan ment Mérope mille Molière monde monsieur mort noble Ochozias parler passer passions pensée père peuple Philinte philosophie pleurs poème poésie poète Polyphonte prélat prince puissance qu'un raison reste rien rois Romains Rome Ronsard Sabine saint sais sang SCÈNE seigneur sentiments sera seul sœur sort style temple tragédie trouve Valère vérité vertu veux vieil Horace voilà vois voix Voyez XVIe siècle yeux Zacharie Zadig
Popular passages
Page 121 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 219 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes...
Page 321 - Le flux et le reflux de cette eau, son- bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser.
Page 294 - La liberté politique, dans un citoyen, est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 86 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 91 - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité; mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée je le comprends.
Page 85 - Ainsi voit-on que les bâtiments qu'un seul architecte a entrepris et achevés ont coutume d'être plus beaux et mieux ordonnés que ceux que plusieurs ont tâché de raccommoder en faisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d'autres fins.
Page 219 - La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place, et on ne voit là que les tombeaux qui fassent quelque figure.
Page 76 - Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.
Page 86 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle...