La France littéraire: morceaux choisis de littérature française : prosateurs et poètes |
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... doute fait pressentir au lecteur que l'élément cel- 1 Ces nouvelles langues furent appelées romanes , parce qu'elles étaient l'idiome propre des vaincus , à qui f'on donnait le nom de Romains par opposition aux conquérants issus de la ...
... doute fait pressentir au lecteur que l'élément cel- 1 Ces nouvelles langues furent appelées romanes , parce qu'elles étaient l'idiome propre des vaincus , à qui f'on donnait le nom de Romains par opposition aux conquérants issus de la ...
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... doute rien fourni au vocabulaire français primitif . D'ailleurs , abs- traction faite des mots grecs qui se trouvent déjà dans le latin , il s'en rencontre fort peu dans la langue française , et le plus grand nombre y a passé à l'époque ...
... doute rien fourni au vocabulaire français primitif . D'ailleurs , abs- traction faite des mots grecs qui se trouvent déjà dans le latin , il s'en rencontre fort peu dans la langue française , et le plus grand nombre y a passé à l'époque ...
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... doute pas compris l'immensité de ses plans , la vaste portée de son génie ; mais il en était resté dans l'ima- gination des peuples un souvenir profond , impérissable , quoique confus , et pour ainsi dire un long ébranlement d ...
... doute pas compris l'immensité de ses plans , la vaste portée de son génie ; mais il en était resté dans l'ima- gination des peuples un souvenir profond , impérissable , quoique confus , et pour ainsi dire un long ébranlement d ...
Page 34
... doute continué , si tout à coup le jeune courtisan n'était devenu sourd . Cette surdité , que les contemporains ont proclamée bien heureuse , valut Ronsard à la France . Il avait connu chez Lazare de Baïf le savant Dorat , précepteur du ...
... doute continué , si tout à coup le jeune courtisan n'était devenu sourd . Cette surdité , que les contemporains ont proclamée bien heureuse , valut Ronsard à la France . Il avait connu chez Lazare de Baïf le savant Dorat , précepteur du ...
Page 38
... doute à un cœur de poète . Jo- delle , escorté de ses amis est ramené à Arcueil après la représentation pour fêter le succès de la pièce par un splendide ban- quet ; le joyeux cortége fait la rencontre d'un bouc , s'en empare , le ...
... doute à un cœur de poète . Jo- delle , escorté de ses amis est ramené à Arcueil après la représentation pour fêter le succès de la pièce par un splendide ban- quet ; le joyeux cortége fait la rencontre d'un bouc , s'en empare , le ...
Contents
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Common terms and phrases
Abner Alceste âme assez Athalie avez beau Bossuet Brontin Camille César chants charme cher chœur chose Cicéron ciel Cinna Cléante cœur Corneille courage Curiace Démosthène dessein Dieu dieux dire donner Égisthe Elise enfants enfin ennemis esprit Fénelon fille fils Flèche frère Frosine génie gloire goût guerre Harpagon hommes Isménie j'ai Jacques jamais Jézabel Joad Joas Josabeth jour l'esprit l'histoire l'homme laisse langue langue d'oïl latin Lévites littérature lois Louis Louis XIV Madame main maître malheur Mariane Mathan ment Mérope mille Molière monde monsieur mort noble Ochozias parler passer passions pensée père peuple Philinte philosophie pleurs poème poésie poète Polyphonte prélat prince puissance qu'un raison reste rien rois Romains Rome Ronsard Sabine saint sais sang SCÈNE seigneur sentiments sera seul sœur sort style temple tragédie trouve Valère vérité vertu veux vieil Horace voilà vois voix Voyez XVIe siècle yeux Zacharie Zadig
Popular passages
Page 121 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 219 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes...
Page 321 - Le flux et le reflux de cette eau, son- bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser.
Page 294 - La liberté politique, dans un citoyen, est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 86 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 91 - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité; mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée je le comprends.
Page 85 - Ainsi voit-on que les bâtiments qu'un seul architecte a entrepris et achevés ont coutume d'être plus beaux et mieux ordonnés que ceux que plusieurs ont tâché de raccommoder en faisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d'autres fins.
Page 219 - La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place, et on ne voit là que les tombeaux qui fassent quelque figure.
Page 76 - Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.
Page 86 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle...