La France littéraire: morceaux choisis de littérature française : prosateurs et poètes |
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... dernier ré- sultat , aucun dérangement essentiel dans l'organisme de la langue romane , elle a été au contraire très considérable sur la pro- nonciation et sur la forme des mots . La prononciation allemande et la prononciation celtique ...
... dernier ré- sultat , aucun dérangement essentiel dans l'organisme de la langue romane , elle a été au contraire très considérable sur la pro- nonciation et sur la forme des mots . La prononciation allemande et la prononciation celtique ...
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... dernier soupir ; mais son sang coule : il va . mourir . Vaine- ment il essaie de briser son épée , la bonne Durandal , qui fait voler en éclats les rochers les plus durs . Il se couche enfin à terre le visage tourné du côté de l'Espagne ...
... dernier soupir ; mais son sang coule : il va . mourir . Vaine- ment il essaie de briser son épée , la bonne Durandal , qui fait voler en éclats les rochers les plus durs . Il se couche enfin à terre le visage tourné du côté de l'Espagne ...
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... dernier genre prit au XVe siècle une extension rapide . On vit successive- ment apparaître les Soties , les Mora- lités et les Farces . Les Enfants sans souci , jeunes gens de famille , spirituels et dérangés , confrérie joyeuse qui s ...
... dernier genre prit au XVe siècle une extension rapide . On vit successive- ment apparaître les Soties , les Mora- lités et les Farces . Les Enfants sans souci , jeunes gens de famille , spirituels et dérangés , confrérie joyeuse qui s ...
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... dernier de tous était consacré à l'enfer . de dragon qui s'ouvrait et se fermait à vo- lonté pour donner entrée aux diables sur la scène ou les recevoir à leur sortie . L'in- térieur de cette gueule était muni de four- naises ardentes ...
... dernier de tous était consacré à l'enfer . de dragon qui s'ouvrait et se fermait à vo- lonté pour donner entrée aux diables sur la scène ou les recevoir à leur sortie . L'in- térieur de cette gueule était muni de four- naises ardentes ...
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... dernier surtout en tira un grand parti . En résumé , si l'on compare la langue du XVIe siècle vers son issue avec celle du temps de Richelieu , on trouve que les dif- férences sont surtout lexicologiques , et il ne reste plus que des ...
... dernier surtout en tira un grand parti . En résumé , si l'on compare la langue du XVIe siècle vers son issue avec celle du temps de Richelieu , on trouve que les dif- férences sont surtout lexicologiques , et il ne reste plus que des ...
Contents
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Common terms and phrases
Abner Alceste âme assez Athalie avez beau Bossuet Brontin Camille César chants charme cher chœur chose Cicéron ciel Cinna Cléante cœur Corneille courage Curiace Démosthène dessein Dieu dieux dire donner Égisthe Elise enfants enfin ennemis esprit Fénelon fille fils Flèche frère Frosine génie gloire goût guerre Harpagon hommes Isménie j'ai Jacques jamais Jézabel Joad Joas Josabeth jour l'esprit l'histoire l'homme laisse langue langue d'oïl latin Lévites littérature lois Louis Louis XIV Madame main maître malheur Mariane Mathan ment Mérope mille Molière monde monsieur mort noble Ochozias parler passer passions pensée père peuple Philinte philosophie pleurs poème poésie poète Polyphonte prélat prince puissance qu'un raison reste rien rois Romains Rome Ronsard Sabine saint sais sang SCÈNE seigneur sentiments sera seul sœur sort style temple tragédie trouve Valère vérité vertu veux vieil Horace voilà vois voix Voyez XVIe siècle yeux Zacharie Zadig
Popular passages
Page 121 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 219 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes...
Page 321 - Le flux et le reflux de cette eau, son- bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser.
Page 294 - La liberté politique, dans un citoyen, est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 86 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 91 - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité; mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée je le comprends.
Page 85 - Ainsi voit-on que les bâtiments qu'un seul architecte a entrepris et achevés ont coutume d'être plus beaux et mieux ordonnés que ceux que plusieurs ont tâché de raccommoder en faisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d'autres fins.
Page 219 - La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place, et on ne voit là que les tombeaux qui fassent quelque figure.
Page 76 - Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.
Page 86 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle...