La France littéraire: morceaux choisis de littérature française : prosateurs et poètes |
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... Rome . 221 Jean de La Fontaine . Le rat de ville et le rat des champs Lamothe Fénelon . 201 La mort et le malheureux 201 Démosthène et Cicéron 229 La mort et le bûcheron 201 Le loup et le chien 201 Le chêne et le roseau • 202 Le ...
... Rome . 221 Jean de La Fontaine . Le rat de ville et le rat des champs Lamothe Fénelon . 201 La mort et le malheureux 201 Démosthène et Cicéron 229 La mort et le bûcheron 201 Le loup et le chien 201 Le chêne et le roseau • 202 Le ...
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... Rome savait si habile- ment se servir pour imposer sa langue aux nations . Avant la fin du IVe siècle , le latin était , du moins dans les villes , la langue usuelle des hautes classes de la société . Le peuple , et particulièrement ...
... Rome savait si habile- ment se servir pour imposer sa langue aux nations . Avant la fin du IVe siècle , le latin était , du moins dans les villes , la langue usuelle des hautes classes de la société . Le peuple , et particulièrement ...
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... Rome et son règne devait du- rer aussi longtemps que Rome commande- rait . L'idiome vulgaire était la langue du peuple proprement dit , et par conséquent de la majorité de la nation . L'une se trans- plantait d'elle - même , se ...
... Rome et son règne devait du- rer aussi longtemps que Rome commande- rait . L'idiome vulgaire était la langue du peuple proprement dit , et par conséquent de la majorité de la nation . L'une se trans- plantait d'elle - même , se ...
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... Rome , ne firent qu'en Il est à croire néanmoins que si nous possédions un vocabulaire complet des idiomes celtiques , nous acquerrions bientôt la certitude qu'un certain nombre de mots qui , faute de preuves , sont rapportés à l'alle ...
... Rome , ne firent qu'en Il est à croire néanmoins que si nous possédions un vocabulaire complet des idiomes celtiques , nous acquerrions bientôt la certitude qu'un certain nombre de mots qui , faute de preuves , sont rapportés à l'alle ...
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... Rome . La renommée intellectuelle de ses habitants ne commence qu'après la disparition de leur indépendance politique . C'est aux écrivains grecs et la- tins que nous devons les notions qui nous restent sur les Gaulois . Ils nous les ...
... Rome . La renommée intellectuelle de ses habitants ne commence qu'après la disparition de leur indépendance politique . C'est aux écrivains grecs et la- tins que nous devons les notions qui nous restent sur les Gaulois . Ils nous les ...
Contents
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Common terms and phrases
Abner Alceste âme assez Athalie avez beau Bossuet Brontin Camille César chants charme cher chœur chose Cicéron ciel Cinna Cléante cœur Corneille courage Curiace Démosthène dessein Dieu dieux dire donner Égisthe Elise enfants enfin ennemis esprit Fénelon fille fils Flèche frère Frosine génie gloire goût guerre Harpagon hommes Isménie j'ai Jacques jamais Jézabel Joad Joas Josabeth jour l'esprit l'histoire l'homme laisse langue langue d'oïl latin Lévites littérature lois Louis Louis XIV Madame main maître malheur Mariane Mathan ment Mérope mille Molière monde monsieur mort noble Ochozias parler passer passions pensée père peuple Philinte philosophie pleurs poème poésie poète Polyphonte prélat prince puissance qu'un raison reste rien rois Romains Rome Ronsard Sabine saint sais sang SCÈNE seigneur sentiments sera seul sœur sort style temple tragédie trouve Valère vérité vertu veux vieil Horace voilà vois voix Voyez XVIe siècle yeux Zacharie Zadig
Popular passages
Page 121 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 219 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes...
Page 321 - Le flux et le reflux de cette eau, son- bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser.
Page 294 - La liberté politique, dans un citoyen, est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 86 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 91 - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité; mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée je le comprends.
Page 85 - Ainsi voit-on que les bâtiments qu'un seul architecte a entrepris et achevés ont coutume d'être plus beaux et mieux ordonnés que ceux que plusieurs ont tâché de raccommoder en faisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d'autres fins.
Page 219 - La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place, et on ne voit là que les tombeaux qui fassent quelque figure.
Page 76 - Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.
Page 86 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle...