| Alphonse de Lamartine - 1823 - 290 pages
...jusqu'à toi? Sur la terre d'exil pourquoi reste-je encore? II n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir se lève et l'arrache aux vallons ; Et moi , je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-movcomme elle,... | |
| Alphonse de Lamartine - French poetry - 1823 - 294 pages
...Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir se lève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons! MÉDITATION SECONDE. MÉDITATION SECONDE. A LORD BYRON. Toi, dont le monde encore ignore le vrai nom,... | |
| Marin J. George de La Voye - 1832 - 208 pages
...jusqu'a toi, Sur la terre d'exil pourquoi rest^-je encore? II n'est rien de common entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir se leve et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable a la feuille fl^trie : Emportez moi comme... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 354 pages
...toi! Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie , Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille ftétrie : Emportez-moi... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 378 pages
...loi ! Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore? Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi... | |
| Fleurs - 1834 - 264 pages
...l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute ame désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1836 - 344 pages
...nombre. Quand il s'écrie à la fin de l'Isolement, dans la première des premières Méditations : Et moi je suis semblable à la feuille flétrie Emportez-moi comme elle , orageux aquilons ! il n'est que l'écho un peu affaibli de cette autre voix impétueuse: Levez-vous, orages désirés... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 pages
...loi ! Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille Hétrie : Emportez-moi... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1841 - 544 pages
...Quand il s'écrie à la fin de t Isolement, dans la première des premières Méditations : Et mol je suis semblable à la feuille flétrie..... Emportez-moi comme elle , orageux aquilons ! il n'est que l'écho un peu affaibli de cette autre voix impétueuse : Levez-vous, orages désirés,... | |
| Louis de Loménie - France - 1841 - 610 pages
...pas trop mal; vous avez continué ; vous êtes arrivé à la dernière stance : (fuand la feuille de* bois tombe dans la prairie, le vent du soir se lève et l'arrache aux vallons; il moi je suis semblable à la feuille flétrie ; Emportez-moi comme elle, orageux... | |
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