Bibliothèque universelle des sciences, belles-lettres, et arts: Sciences et arts, Volume 106la Bibliothèque universelle, 1831 - Science |
From inside the book
Results 1-5 of 25
Page 14
... entière , une évaluation normale qui puisse on qui doive servir de règle pour tous les hommes . Nous disons qui puisse ou qui doive , parce que la démonstra- tion de Mr. Beneke fùt - elle aussi complète qu'elle l'est peu , il y auroit ...
... entière , une évaluation normale qui puisse on qui doive servir de règle pour tous les hommes . Nous disons qui puisse ou qui doive , parce que la démonstra- tion de Mr. Beneke fùt - elle aussi complète qu'elle l'est peu , il y auroit ...
Page 19
... entière . Le plus grand tort qu'il ait à mes yeux , ne consiste guères que dans la partialité , quelquefois offensante , avec laquelle il proscrit sans exa- men certaines opinions philosophiques , auxquelles il n'a manqué que d'être ...
... entière . Le plus grand tort qu'il ait à mes yeux , ne consiste guères que dans la partialité , quelquefois offensante , avec laquelle il proscrit sans exa- men certaines opinions philosophiques , auxquelles il n'a manqué que d'être ...
Page 35
... entière dans la résis- tance à cette oppression extérieure ; cette résistance est l'essence de la vertu . Celle - ci repose sur l'activité indivi- duelle , sur l'énergie interne , sur la science de prendre soi - même un parti . Il n'y a ...
... entière dans la résis- tance à cette oppression extérieure ; cette résistance est l'essence de la vertu . Celle - ci repose sur l'activité indivi- duelle , sur l'énergie interne , sur la science de prendre soi - même un parti . Il n'y a ...
Page 113
... entière à l'étude de l'antiquité , déclaroit à la fin de sa vie que le temps qu'il avoit employé à ce genre de travaux , avoit été presque entièrement perdu , et pré- disoit la décadence prochaine de la science philologique en Allemagne ...
... entière à l'étude de l'antiquité , déclaroit à la fin de sa vie que le temps qu'il avoit employé à ce genre de travaux , avoit été presque entièrement perdu , et pré- disoit la décadence prochaine de la science philologique en Allemagne ...
Page 147
... de nos jours ; tels sont les sujets d'étude que nous offre la Grèce , et sur les- quels des siècles pourront diriger leur critique , sans que la carrière tout entière soit parcourue . S'il est vrai 10 * DES ÉTUDES Philologiques . 147.
... de nos jours ; tels sont les sujets d'étude que nous offre la Grèce , et sur les- quels des siècles pourront diriger leur critique , sans que la carrière tout entière soit parcourue . S'il est vrai 10 * DES ÉTUDES Philologiques . 147.
Other editions - View all
Common terms and phrases
allemands anciens Ardée assez auroit avoient avoit baronnet beau Beneke Bentham bientôt Bignan c'étoit carac Castillans Castille cavalier Célébes chant cher cheval choses cœur Confucius connoissance connoître considérable critique Cromwell Dieu enfans époque esprit états malais étoient étoit faisoit femme fille foible force forme général genre gens Grèce habitans Hélène Henri de Trastamara Homère hommes idées influences sociales j'ai jamais jeune John Hampden jour Kant kosaque l'antiquité l'éducation l'esprit l'histoire l'Iliade laisser langue Latium littérature long-temps main maison maître manière Maso Finiguerra Maures Mennonites ment mœurs moral moyen n'avoit nation nature ouvrage parapluie paroît patrie pays pensée père peuple philologie philosophie poëmes poésie poète porte pourroit pouvoir premier principe qu'un reconnoître reste rien Rodrigue Rome Russie science sent sentimens seroit seul Shakers siècle Sir Edouard Sir Hargreave société sorte souvent sujet système Tatares Nogay terre Tetuan tion trouve venoit vérité vrai Wolf yeux Zaporogues
Popular passages
Page 69 - Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.
Page 68 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 263 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Page 84 - DES MORTS. Voilà les feuilles sans sève Qui tombent sur le gazon, Voilà le vent qui s'élève Et gémit dans le vallon , Voilà l'errante hirondelle Qui rase du bout de l'aile L'eau dormante des marais, Voilà l'enfant des chaumières Qui glane sur les bruyères Le bois tombé des forêts. L'onde n'a plus le murmure Dont elle enchantait les bois; Sous...
Page 76 - Déroule ses flots bleus, au pied de l'oranger, ll est près du sentier, sous la haie odorante, Une pierre petite, étroite, indifférente Aux pas distraits de l'étranger. La giroflée y cache un seul nom sous ses gerbes, Un nom que nul écho n'a jamais répété! Quelquefois...
Page 133 - Le romanticisme est l'art de présenter aux [peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 70 - SALUT, bois couronnés d'un reste de verdure. Feuillages jaunissants sur les gazons épars! Salut! derniers beaux jours! le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards. Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire; J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois. Oui, dans ces jours d'Automne où la nature expire, A ses regards voilés...
Page 70 - ... sauvages Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 82 - Il est si agréable de faire preuve du facile talent de peser des syllabes, de disséquer des mots, de souligner une épithète hasardée ou une rime défectueuse Joies puériles de la médiocrité, qui rappellent les insulteurs publics que les Romains plaçaient sur le chemin des triomphateurs, et qui ne les empêchaient pas de s'élever, entourés d'exclamations et couronnés de laurier, aux pompes du Capitule.
Page 73 - Eclaire tous les humains. Environné de lumière, Cet astre ouvre sa carrière Comme un époux glorieux, Qui, dès l'aube matinale, De sa couche nuptiale Sort brillant et radieux. L'univers, à sa présence, Semble sortir du néant.