Histoire de la vie et des ouvrages de P. CorneilleMesnier, 1829 - 418 pages |
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Page 8
... Mairet , dans sa préface des 1. Histoire du Théâtre Français ( par les frères Parfait ) , t . iv , p . 461 et 462 , note . Galanteries du duc d'Ossonne , après avoir cité Rotrou , 8 [ 1606-29 ] HISTOIRE DE CORNEILLE .
... Mairet , dans sa préface des 1. Histoire du Théâtre Français ( par les frères Parfait ) , t . iv , p . 461 et 462 , note . Galanteries du duc d'Ossonne , après avoir cité Rotrou , 8 [ 1606-29 ] HISTOIRE DE CORNEILLE .
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... Mairet , on voyait une femme recevoir son amant dans son lit , en lui recommandant toutefois d'être sage ; et la toile se baissant après cette condition empêchait le spectateur de savoir si elle était tenue . Il n'en faut pas douter ...
... Mairet , on voyait une femme recevoir son amant dans son lit , en lui recommandant toutefois d'être sage ; et la toile se baissant après cette condition empêchait le spectateur de savoir si elle était tenue . Il n'en faut pas douter ...
Page 33
... Mairet , au- quel le succès constant de sa Sophonisbe assi- gnait alors le premier rang : son madrigal est adressé à M. Corneille , poète comique , sur sa VEUVE : Rare écrivain de notre France , Qui , le premier des beaux - esprits , As ...
... Mairet , au- quel le succès constant de sa Sophonisbe assi- gnait alors le premier rang : son madrigal est adressé à M. Corneille , poète comique , sur sa VEUVE : Rare écrivain de notre France , Qui , le premier des beaux - esprits , As ...
Page 54
... Mairet , et qu'il me « fera voir des vers d'une excellente pièce de << théâtre qu'il a commencée . » Enfin se jetant peu après sur le discours des auteurs du temps et de leurs ouvrages , ils révèleront tous les des- seins des poètes ...
... Mairet , et qu'il me « fera voir des vers d'une excellente pièce de << théâtre qu'il a commencée . » Enfin se jetant peu après sur le discours des auteurs du temps et de leurs ouvrages , ils révèleront tous les des- seins des poètes ...
Page 55
... Mairet avait adressé les vers que nous avons rapportés ; c'était le poète comique qu'avait plus d'une fois accueilli la faveur encore peu éclairée du par- terre . Médée révéla à Corneille un genre plus noble , au public un talent plus ...
... Mairet avait adressé les vers que nous avons rapportés ; c'était le poète comique qu'avait plus d'une fois accueilli la faveur encore peu éclairée du par- terre . Médée révéla à Corneille un genre plus noble , au public un talent plus ...
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Common terms and phrases
adressé Anecdotes dramatiques assez auteur avaient avons beau Benserade Bérénice Boileau Boisrobert cardinal Chapelain chose Cinna Colletet comédie comédiens d'Aubignac dédicatoire dire Don Sanche doute édit éloges enfans épître eût faisait fille Fontenelle frères Parfait génie gloire grace Histoire de l'Académie Histoire du Théâtre homme imprimer j'ai jour jugement l'abbé Brigalier l'Académie Française l'auteur l'Hôtel de Bourgogne laisser Lettre livres long-temps Louis Racine Louis XIV M. P. A. Corneille madame madame de Sévigné mademoiselle Mairet Marie Médée Mélite Mémoires ment Molière Mondory mort n'avait n'était neille Niceron Note fournie OEuvres ouvrages parler parterre Pelisson pension père peut-être pièce Pierre Corneille poëme dramatique poésie poète pouvait premier publié Pulchérie Quatrième Dissertation Racine représentation reste Richelieu ridicule rien Rodogune Rotrou Rouen scène Scudéry sentimens sentiment Sertorius seul sieur Claveret sonnet Sophonisbe sorte succès suiv sujet teur Thomas Corneille Tite et Bérénice tragédie trouve Victorin Fabre Voltaire
Popular passages
Page 75 - Qu'il fasse mieux, ce jeune jouvencel, A qui Le Cid donne tant de martel, Que d'entasser injure sur injure, Rimer de rage une lourde imposture ", Et se cacher ainsi qu'un criminel.
Page 72 - Je sais ce que je vaux et crois ce qu'on m'en dit. Pour me faire admirer je ne fais point de ligue, J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue, Et mon ambition, pour faire plus de bruit...
Page 38 - ... des événements que je décris. Savoir les règles, et entendre le secret de les apprivoiser adroitement avec notre théâtre, ce sont deux sciences bien différentes...
Page 172 - Ce n'étaient que de bonnes mères, Des femmes à leurs maris chères, Qui les aimaient jusqu'au trépas ; Deux tendres sœurs qui, sans débats, Veillaient au bonheur des deux frères, Filant beaucoup, n'écrivant pas. Les deux maisons n'en faisaient qu'une, Les clefs, la bourse était commune, Les femmes n'étaient jamais deux. Tous les vœux étaient unanimes ; Les enfants confondaient leurs jeux, Les pères se prêtaient leurs rimes, Le même vin coulait pour eux.
Page 62 - De quoi se délasser d'un si pesant fardeau. Même notre grand roi , ce foudre de la guerre , Dont le nom se fait craindre aux deux bouts de la terre, Le front ceint de lauriers , daigne bien quelquefois Prêter l'œil et l'oreille au Théâtre francois : C'est là que le Parnasse étale ses merveilles...
Page 264 - Corneille tiendra sa place parmi toutes ces merveilles. La France se souviendra avec plaisir que sous le règne du plus grand de ses rois a fleuri le plus grand de ses poètes. On croira même ajouter quelque chose à la gloire de notre auguste monarque, lorsqu'on dira qu'il a estimé, qu'il...
Page 363 - En matière d'amour je suis fort inégal ; J'en écris assez bien, et le fais assez mal; J'ai la plume féconde, et la bouche stérile, Bon galant au théâtre, et fort mauvais en ville; Et l'on peut rarement m'écouter sans ennui, Que quand je me produis par la bouche d'autrui.
Page 12 - Cette pièce fut mon coup d'essai, et elle n'a garde d'être dans les règles, puisque je ne savais pas alors qu'il y en eût. Je n'avais pour guide qu'un peu de sens commun, avec les exemples de feu Hardy...
Page 316 - J'envie , en écrivant , le sort de Pelletier ' . Bienheureux Scudéri 3, dont la fertile plume Peut tous les mois sans peine enfanter un volume ! Tes écrits , il est vrai , sans art et languissants , Semblent être formés en dépit du bon sens ; Mais ils trouvent pourtant, quoi qu'on en puisse dire, Un marchand pour les vendre , et des sots pour les lire...
Page 72 - J'arrache quelquefois leurs applaudissemens ; Là , content du succès que le mérite donne , Par d'illustres avis je n'éblouis personne ; Je satisfais ensemble et peuple et courtisans, Et mes vers en tous lieux sont mes seuls partisans : Par leur seule beauté ma plume est estimée , Je ne dois qu'à moi seul toute ma renommée, Et pense toutefois n'avoir point de rival A qui je fasse tort en le traitant d'égal.