Œuvres complètes de Ch. Rollin: Histoire ancienneLedoux et Tenré, 1817 |
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... porter trop loin leur autorité . I Lycurgue ayant ainsi tempéré le gouvernement , ceux qui vinrent après lui trouvèrent la puissance des trente , qui composoient le sénat , encore trop forte et trop absolue ; c'est pourquoi ils lui ...
... porter trop loin leur autorité . I Lycurgue ayant ainsi tempéré le gouvernement , ceux qui vinrent après lui trouvèrent la puissance des trente , qui composoient le sénat , encore trop forte et trop absolue ; c'est pourquoi ils lui ...
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... porter une somme de dix mines * , et une chambre entière Cinq cents pour la serrer . De plus , il chassa de Sparte tous les arts inutiles et su- perflus ; mais , quand il ne les auroit pas chassés , la plupart seroient tombés d'eux ...
... porter une somme de dix mines * , et une chambre entière Cinq cents pour la serrer . De plus , il chassa de Sparte tous les arts inutiles et su- perflus ; mais , quand il ne les auroit pas chassés , la plupart seroient tombés d'eux ...
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... porter le même habit en hiver et en été , pour s'endurcir contre le froid et le chaud . Plut . in A l'âge de sept ans , on les distribuoit dans les classes , Lyc . p . 50. où ils étoient élevés tous ensemble sous la même disci- pline ...
... porter le même habit en hiver et en été , pour s'endurcir contre le froid et le chaud . Plut . in A l'âge de sept ans , on les distribuoit dans les classes , Lyc . p . 50. où ils étoient élevés tous ensemble sous la même disci- pline ...
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... porter plus loin leurs vues ni leurs prétentions . En effet , le gou- vernement qu'il avoit établi suffisoit pour défendre les fron- tières de Sparte , mais il ne suffisoit pas pour la rendre maîtresse des autres villes . ribus Laced ...
... porter plus loin leurs vues ni leurs prétentions . En effet , le gou- vernement qu'il avoit établi suffisoit pour défendre les fron- tières de Sparte , mais il ne suffisoit pas pour la rendre maîtresse des autres villes . ribus Laced ...
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... porter cette épreuve jusqu'au traitement inhu- main dont nous avons parlé ? et n'étoit - ce pas une bru- talité et une barbarie dans des pères et des mères de voir de sang - froid couler le sang des plaies de leurs en- fans , et de les ...
... porter cette épreuve jusqu'au traitement inhu- main dont nous avons parlé ? et n'étoit - ce pas une bru- talité et une barbarie dans des pères et des mères de voir de sang - froid couler le sang des plaies de leurs en- fans , et de les ...
Common terms and phrases
Agésilas Alcibiade alliés Aristagore Aristide armée armes arriva Artaxerxe Athènes Athéniens auroit avoient avoit ayant barbares bataille c'étoit cents chose Cimon citoyens combat commandement côté courage Cyrus d'Athènes Darius Démocède dessein devoir dieux Diod donner enfans ennemis envoya établit étoient étoit Évagore faisoient faisoit falloit fils firent flotte force frère fût galères gloire gouvernement Grèce guerre Gylippe habitans Herod Hérodote HIST Ioniens jour l'armée l'Attique l'histoire Lacédé Lacédémone Lacédémoniens laisser liberté lois long-temps Lycurgue Lysandre maître ment Messéniens mille hommes Miltiade mort n'avoient n'avoit n'y avoit Nicias niens nombre paroissoit paroître passer patrie Pausanias pays Péloponèse père Périclès Perses personne peuple Pharnabaze Pisistrate Plut Plutarque poëte porter pouvoit premier prince puissance règne rendre république révolte rien rois s'étoient sage Sardes Scythes secours seroit seul Sicile soldats Solon sorte Sparte Spartiates Syracusains Syracuse temple terre Thémistocle Thrace Thucyd Tissapherne troupes tyran vaisseaux victoire villes vouloit Xerxès
Popular passages
Page 409 - Le rempart le plus sûr d'un état est la justice, la modération, la bonne foi, et l'assurance où sont vos voisins que vous êtes incapable d'usurper leurs terres.
Page 80 - C'est la mère de tous les débats, la nourrice des procès, la source des divisions et des guerres. Si l'on dit qu'elle est l'organe de la vérité, c'est aussi celui de l'erreur, et, qui pis est, de la calomnie. Par elle on détruit les villes, on persuade de méchantes choses. Si d'un côté elle loue les dieux, de l'autre elle profère des blasphèmes contre leur puissance.
Page 293 - ... en public sans avoir prié les dieux de ne pas permettre qu'il lui échappât aucune expression qui ne fût propre à son sujet , ou qui pût choqiicr le peuple.
Page 535 - ... et assez aveugles pour croire qu'il suffisait de placer comme en sentinelle à la porte des maisons la loi et la crainte du supplice , pour empêcher l'or et l'argent d'y entrer , pendant qu'ils laissaient le cœur de leurs citoyens ouvert à l'admiration et au desir des richesses , et qu'ils y introduisaient eux-mêmes une violente passion d'en amasser , en faisant regarder comme une chose grande et honorable de devenir riche.
Page 483 - République une vie que la loi commune de la nature leur aurait tôt ou tard enlevée ; mais je ne puis aussi ne pas sentir la plaie cruelle que leur mort a faite à mon cœur, et ne point haïr et détester les Athéniens, auteurs de cette malheureuse guerre, comme les homicides et les meurtriers de mes...
Page 169 - ... bien que toutes les galères qu'on avait prises, étant pleines d'habits et de meubles magnifiques , et de toutes sortes de richesses sans nombre, nonseulement il ne fut pas tenté d'y toucher, mais il empêcha que les autres n'y touchassent. Dès que le jour de la pleine lune fut passé , les Lacédémoniens se mirent en chemin avec deux mille hommes, et, ayant , fait toute la diligence possible, ils arrivèrent dans l'Attique après une marche forcée de trois jours 4, où ils firent I200 stades...
Page 161 - ... liants ; et aujourd'hui que je les ai abandonnées à tous « ces voleurs publics, je suis un homme admirable et « le meilleur des citoyens! Je vous déclare donc que j'ai « plus de honte de l'honneur que vous me faites en ce «jour, que je n'en eus l'an passé de la condamnation « que vous prononçâtes contre moi ; et je vois avec « douleur qu'il est plus glorieux ici d'user de complai« sance envers les méchants, que de ménager et de con« server les biens de la république.
Page 34 - ... que Sparte a subsisté dans cet état pendant plusieurs siècles. En mettant au rang des choses louables dans les lois de Lycurgue l'établissement dont je parle ici , je ne prétends pas le donner comme absolument irrépréhensible. Car j'ai peine à le concilier avec cette loi naturelle qui défend d'ôter à l'un ce qui lui appartient pour le donner à un autre ! et c'est pourtant ce qui arriva pour lors.
Page 173 - L'éloquence impétueuse de Thémistocle l'emporta sur la justice d'Aristide. Il vint à bout de le faire bannir. Dans cette sorte de jugement, les citoyens donnaient leur suffrage en écrivant le nom de l'accusé sur une coquille.
Page 184 - Cet aveu, bien loin de paraître une faiblesse dans un roi, fut regardé par tous les Salentins comme l'effort d'une grande âme qui s'élève au-dessus de ses propres fautes, en les avouant avec courage pour les réparer.