 | André Morellet - French literature - 1818 - 428 pages
...force. « J'aime, dit Montaigne , entre les galans » hommes , qu'on s'exprime courageusement , » que les mots aillent où va la pensée. Il nous « faut fortifier l'oreille, et la durcir contre cette. » tendreur du son céremonieux des paroles. » Liv. III, chap.... | |
 | Michel de Montaigne - Authors, French - 1875 - 444 pages
...mes amis : Tu es un sot, tu resves. J'ayme entre les galans hommes qu'on s'exprime courageusement, que les mots aillent où va la pensée : il nous faut fortifier l'ouie et la durcir contre cette tandreur du son ceremonieux des parolles. J'ayme une societé et familiarité... | |
 | Grace Norton - 1908 - 258 pages
...mes amis : " Tu es un sot, tu resves." J'ayme entre les galans hommes qu'on s'exprime courageusement, que les mots aillent où va la pensée : il nous faut fortifier l'ouie et la durcir contre cette tandreur du son ceremonieux des parolles. MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696)... | |
 | P. Gonneau, Christian Sénéchal - France - 1920 - 488 pages
...« tu es un sot, tu rêves ». J'aime, entre les galants hommes, qu'on s.'exprime courageusement ; que les mots aillent où va la pensée : il nous faut...l'ouïe, et la durcir, contre cette tendreur du son cérémonieux des paroles. Je festoie et caresse la vérité en quelque main que je la trouve, et m'y... | |
 | Michel de Montaigne - 1927 - 374 pages
...amis : Tu es un sot, tu 20 resves. J'nyme, entre les galans hommes, qu'on s'exprime courageusement, que les mots aillent où va la pensée. Il nous faut fortifier l'ouie et la durcir contre cette tandreur* du son cérémonieux des parolles. 25 J'ayme une société... | |
 | Pierre-Étienne Martel (pseud.) - 1927 - 256 pages
...amis : « Tu es un sot, tu rêves ». J'aime entre les galants hommes qu'on s'exprime courageusement, que les mots aillent où va la pensée : il nous faut...l'ouïe et la durcir contre cette tendreur du son cérémonieux des paroles. J'aime une société et familiarité forte et virile, une amitié qui se... | |
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J'ayme, entre les galans hommes, qu'on s'exprime courageusement, que les mots aillent où va la pensée. Il nous faut fortifier l'ouie et la durcir contre cette tandreur du son cérémonieux des parolles. 