Oeuvres choisies de Descartes |
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... particuliers pour les faire servir à l'ornement du public , on connaîtra bien qu'il est malaisé , en ne travaillant que ... particulier , vu que plusieurs étoient fort étranges et mêmes contraires aux bonnes mœurs ; mais à cause que , n ...
... particuliers pour les faire servir à l'ornement du public , on connaîtra bien qu'il est malaisé , en ne travaillant que ... particulier , vu que plusieurs étoient fort étranges et mêmes contraires aux bonnes mœurs ; mais à cause que , n ...
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... particulier fit dessein de réformer un État en y changeant tout dès les fon- dements et en le renversant pour le redresser ; ni même aussi de réformer le corps des sciences ou l'ordre établi dans les écoles pour les enseigner ; mais que ...
... particulier fit dessein de réformer un État en y changeant tout dès les fon- dements et en le renversant pour le redresser ; ni même aussi de réformer le corps des sciences ou l'ordre établi dans les écoles pour les enseigner ; mais que ...
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... particulier , et quelquefois seulement de les retenir ou de les comprendre plu- sieurs ensemble , je pensai que , pour les considérer mieux en particulier , je les devois supposer en des lignes , à cause que je ne trouvois rien de plus ...
... particulier , et quelquefois seulement de les retenir ou de les comprendre plu- sieurs ensemble , je pensai que , pour les considérer mieux en particulier , je les devois supposer en des lignes , à cause que je ne trouvois rien de plus ...
Page 18
... particulier , je me promettois de perfectionner de plus en plus mes jugements , et non point de les rendre pires , j'eusse pensé commettre une grande faute contre le bon sens , si , pour ce que j'approuvois alors quelque chose , je me ...
... particulier , je me promettois de perfectionner de plus en plus mes jugements , et non point de les rendre pires , j'eusse pensé commettre une grande faute contre le bon sens , si , pour ce que j'approuvois alors quelque chose , je me ...
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... particulier ne sauroit faire . Même je remarquois , touchant les expériences , ' qu'elles sont d'autant plus nécessaires qu'on est plus avancé en connoissance : car , pour le commencement , il vaut mieux ne se servir que de celles qui ...
... particulier ne sauroit faire . Même je remarquois , touchant les expériences , ' qu'elles sont d'autant plus nécessaires qu'on est plus avancé en connoissance : car , pour le commencement , il vaut mieux ne se servir que de celles qui ...
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Common terms and phrases
actions âme angles d'incidence artères assez avoit avons besoin c'est-à-dire cause cerveau chaleur chose qui pense clairement et distinctement cœur concevoir conçois connoissance connoître conséquent considérer contraire corporelle corps coutume d'autres démontrer dépend dépendent Descartes dire diverses doute effet esprit étoient étoit excite exemple existe façon faculté figure géométrie glande grandeur haine hommes humain idées illas imagination infinité j'ai j'avois jamais joie jointe jugement l'âme l'esprit l'étendue l'existence de Dieu l'idée l'imagination l'irrésolution libre arbitre lorsqu'il lorsqu'on mathématiques Méditations Méditations métaphysiques ment méthode moi-même mouvement moyen muscles nature néanmoins nécessaire nerfs nerfs optiques objets opinions paroît passions perfection persuader peuvent philosophie Poliandre poumon pourroit pouvoir pouvons première principe puisse qu'une quelquefois question raison règle remarquer RENÉ DESCARTES sang sauroit savoir sciences semblables semble sens sentir seroit seulement simples sion soient sorte souvent substance sujet syllogisme tence tion toutefois triangle tristesse trouve veines vérité vois volonté vrai
Popular passages
Page 25 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle, en sorte que ce moi, c'est-à-dire l'âme, par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même qu'elle est plus aisée à connaître que lui, et qu'encore qu'il ne fût point, elle ne laisserait pas d'être tout ce qu'elle est.
Page 14 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu, comme par degrés...
Page 7 - Car il me semblait que je pourrais rencontrer beaucoup plus de vérité dans les raisonnements que chacun fait touchant les affaires qui lui importent, et dont l'événement le doit punir bientôt après s'il a mal jugé, que dans ceux que fait un homme de lettres dans son cabinet, touchant des spéculations qui ne produisent aucun effet...
Page 6 - Je me plaisais surtout aux mathématiques à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons, mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce . que, leurs fondements étant si fermes et si solides, on ' n'avait rien bâti dessus de plus relevé.
Page 28 - ... revenant à examiner l'idée que j'avais d'un Être parfait, je trouvais que l'existence y était comprise en même façon qu'il est compris en celle d'un triangle que ses trois angles sont égaux à deux droits, ou, en celle d'une sphère, que toutes ses parties sont également distantes de son centre...
Page 4 - ... la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés , qui en ont été les auteurs...
Page 19 - Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde, et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'ya rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées...
Page 29 - Et que les meilleurs esprits y étudient tant qu'il leur plaira ; je ne crois pas qu'ils puissent donner aucune raison qui soit suffisante pour ôter ce doute, s'ils ne présupposent l'existence de Dieu.
Page 14 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle : c'est-à-dire, d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention ; et de ne comprendre rien do plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 9 - ... il n'ya pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces et faits de la main de divers maîtres qu'en ceux auxquels un seul a travaillé.