| Jean Baptiste S. Saint Mihiel - 1790 - 256 pages
...étoit pour le linge d'une finesse extraordinaire , et pour les dentelles. Il jouoit de la guittare. On lui faisoit la plus grande chère, et le gouverneur...maladies, a dit qu'il n'avoit jamais vu son visage, quoi qu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il étoit admirablement bien fait,... | |
| Louis Mayeul Chaudon - Biography - 1804 - 572 pages
...l'être. On ne lui refiiïoit rien de ce qu'il demandoit ; on lui donnoit les plus riches lutbits, on lui faisoit la plus grande chère , et le gouverneur s'asseyoit rarement devant lui. Le marquis de Loi/fois s'étant rendu à Sainte -Marguerite , pour le voir avant sa translation a Paris... | |
| Quintin Craufurd - France - 1809 - 724 pages
...le linge d'une finesse extraordi« naire (a) , et pour les dentelles. Il joUoit de «i la guitarre. On lui faisoit la plus grande « chère, et le gouverneur...la Bastille, « qui avoit souvent traité cet homme singu« lier dans ses maladies , a dit qu'il n'avoit (i) II n'etiste aucune trace du voyage de M. de... | |
| François Marie Arouet de [prose] Voltaire - 1809 - 528 pages
...médecin de la Bastille, qui avait so\t* Vent traite' cet homme dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vu son visage,, quoiqu'il eût souvent examiné sa langue -et . le reste de son corps. Il était admirable-, .tnent- bienfait , disait ce médecin; sa peau, était, un. peu brune. • II intéressait... | |
| Voltaire - France - 1810 - 574 pages
...la Bastille , qui avait souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement bien fait, disait ce médecin ; sa peau était un peu brune ; il intéressait... | |
| François Noel - Almanacs, French - 1812 - 630 pages
...étoit pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles. Il jouoit de la guitarre; on lui faisoit la plus grande chère , et le gouverneur...traité cet homme singulier dans ses maladies, a dit qu'il'n'avoit jamais vu son visage , quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps.... | |
| Voltaire - France - 1817 - 512 pages
...Bastille, qui avait souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais va son visage , quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement bien fait, dirait ce médecin; sa peau était un peu brune ; il intéressait par... | |
| François Marie Arouet de Voltaire, Voltaire - France - 1820 - 458 pages
...de la Bastille, qui avait souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement bien fait, disait ce médecin; sa peau était un peu brune ; il intéressait par... | |
| Voltaire - 1820 - 538 pages
...de la Bastille, qui avait souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement bien fait, disait ce médecin : sa peau était un peu brune; il intéressait par... | |
| Voltaire - 1829 - 614 pages
...la Bastille, qui avait souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, à dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il .eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement bien fait, disait ce médecin : sa peau était un peu brune ; il intéressait... | |
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