Par ce que c'estoit luy ; par ce que c'estoit moy. » II ya, au delà de tout mon discours, et de ce que j'en puis dire particulièrement, ne sçay quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous... L'esprit de Montaigne - Page 109by Michel de Montaigne - 1829 - 326 pagesFull view - About this book
| Michel de Montaigne - French essays - 1818 - 438 pages
...dire particulierement , ie ne sçais quelle force inexplicable et fatale , mediatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus , et par des rapports que nous oyions l'un de l'aultre , qui faisoient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports ; ie... | |
| Michel de Montaigne - 1820 - 488 pages
...Far un je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer. CORNEILLE. LIVRE I, CHAPITRE XXVII. 333 cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus...plus d'effort que ne porte la raison des rapports ; ie crois par quelque ordonnance du ciel. NOUSJXOJJS embrassions par nos noms : et à nostre premiere... | |
| Michel de Montaigne - French essays - 1823 - 484 pages
...dire particulierement , ie ne scais quelle force inexplicable et fatale, mediatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus , et par des rapports que nous oyions l'un de l'aultre , qui faisoient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports ; ie... | |
| Michel de Montaigne - French essays - 1826 - 506 pages
...nous cherchions avant que de nous eslre veus , et par des rapports que nous oyions l'un de l'aultre, qui faisoient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports" ; ie croys par quelque ordonnance du ciel. Nous nous embrassions par nos noms : et à nostre premiere... | |
| Michel de Montaigne - 1827 - 492 pages
...l'autre , et se laissent piquer Par un je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer. CORNEILLE. cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus...plus d'effort que ne porte la raison des rapports ; ie crois par quelque ordonnance du ciel. Nous nous embrassions par nos noms : et à nostre premiere... | |
| Perse - 1841 - 362 pages
...dire particulièrement, je ne sçay quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus , et par des rapports que nous oyons l'un de l'autre : qui faisaient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des... | |
| Michel de Montaigne - 1842 - 862 pages
...de l'âge et de l'esprit. Cic., de AmlcU.,c. SO. inexplicable et fatale, médiatrice de ceste union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus, et par des rapports que nous oyions l'un de l'aultre, qui faisoient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports; je croys... | |
| Michel de Montaigne - French essays - 1844 - 920 pages
...dire particulierement, ie ne sçais quelle force inexplicable et fatale , mediatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus, et par des rapports que nous oyions l'on de l'aultre, qui faisoient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...dire particulièrement, je ne sçais quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous estre veus, et par des rapports que nous oyions l'un de l'aultre, qui faisoient en nostre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports; je croys... | |
| Ed Mennechet - European literature - 1846 - 514 pages
...que cela ne se peult exprimer qu'en respondanl : parceque c'estoit luy, parceque c'estoit moy. — Nous nous cherchions avant que de nous estre veus, et par des rapports que nous oyons l'un de l'aultrc— je crois par quelque ordonnance du Ciel. Nous nous embrassions par nos noms;... | |
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