--Beginners ̕French Reader

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World book Company, 1919 - French language - 181 pages
 

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Popular passages

Page 134 - Français! pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes...
Page 134 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros, La France en produit de nouveaux Contre vous tout prêts à se battre ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 117 - Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile ; Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau, Si beau?
Page 123 - Rappelle-toi, lorsque les destinées M'auront de toi pour jamais séparé. Quand le chagrin, l'exil et les années Auront flétri ce cœur désespéré ; Songe à mon triste amour, songe à l'adieu suprême ! L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon cœur battra, Toujours il te dira: Rappelle-toi.
Page 123 - M'auront de toi pour jamais séparé, Quand le chagrin, l'exil et les années Auront flétri ce cœur désespéré; Songe à mon triste amour, songe à l'adieu suprême! L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon cœur battra, Toujours il te dira : Rappelle-toi. Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon cœur brisé pour toujours dormira; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s'ouvrira. Je ne te verrai plus; mais mon âme immortelle Reviendra près...
Page 128 - ENFANT De Barra, De Viala le sort nous fait envie ; Ils sont morts, mais ils ont vaincu. Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie ! Qui meurt pour le peuple a vécu.
Page 128 - C'est aux rois à verser des pleurs. Nous vous avons donné la vie, Guerriers, elle n'est plus à vous ; Tous vos jours sont à la patrie : Elle est votre mère avant nous.
Page 135 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons ! Marchons ! qu'un sang impur abreuve nos sillons ! 1794 M.-J.
Page 57 - L'aîné lui bâtit un tombeau, le second augmenta d'une partie de son héritage la dot de sa sœur; chacun disait : C'est...
Page 73 - L'EMPLOYÉ, brusquement. — Ce n'est pas ouvert ! Dans un quart d'heure ! PERRICHON, à l'employé. — Ah! pardon! c'est la première fois que je voyage... (Revenant à sa femme.) Nous sommes en avance. MADAME PERRICHON. — Là ! quand je te disais que nous avions le temps...

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