Œuvres choisies du comte de Tressan, avec figures: Roland furieux, poëme héroïque de l'AriosteRue et Hôtel Serpente., 1788 - Romances |
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affez Aftolphe Agramant ainfi Amant Argie Arles auffi avoient avoit Balifarde bientôt Biferte Bradamante Brandimart brave brife Bulgares c'eft c'eſt cafque Chant Charlemagne Charles cher Chevalier combat coups cruel d'Agramant defire déja devoit Duc Aymon Dudon Durandal épouſe époux eſpèce eſt étoient étoit eût faifant faifoit faint fang fans ceffe feconde fecours fein femble fent feroit Ferragus fervir fes armes fes yeux feul fienne fils de Trojan Fleur-de-Lys fœur foit foleil fon ame fon cheval fon cœur fon épée fon père fous fouvent Frontin fuis fuivant fujets fur fon fur le champ fureur Gradaffe guerrière illuftre jour jufqu'à jufqu'aux laiffer Léon long-tems lorfqu'il lorfque main malheureuſe Mantoue Marganor Marphife Marphiſe Méliffe mort n'avoit n'eft Nubie paffer Paladin penfer plufieurs porte portoit pouvoit préfent prefque prifonnier Prince promptement puiffe raifon refte Renaud Rodomont Roger Roland s'étoit Sarrafins Seigneur ſes Sobrin ſon tems tendre vaiffeau voyoit
Popular passages
Page 349 - Ah! vraiment, dit-il à la nourrice, quand vous auriez autant de trésors qu'en pourrait desirer une femme intéressée , vous n'auriez pas de quoi payer seulement une des petites pattes de mon chien ; et, pour vous prouver que je vous dis la vérité, venez au moins avec moi, dit-il à la nourrice, en la tirant à part. Il pria l'épagneul de faire présent d'une belle pièce d'or à cette bonne dame. Le petit chien ne fit que se secouer, la pièce tomba sur-le-champ; le pèlerin la lui fit accepter,...
Page 152 - ... de vous célébrer. Et vous, fexe enchanteur, concluez donc par tout ce ,que je viens de dire , que j'ai voulu prouver combien vous avez été digne d'être célébré dans tous les âges, & qu'il ne vous a manqué que des Hiftoriens plus...
Page 137 - La plus noire des trahisons menace tes jours chez les chrétiens; il n'est rien que je n'aie fait pour te dérober à la maligne influence des astres qui présidèrent à ta naissance; tous mes efforts ont été vains : ton courage, en t'arrachant de mes bras, te livre à tout ce que je crains pour toi. Cher Roger! le malheureux Atlant, accablé par ta perte, a succombé...
Page 51 - ... tous trois un peu plus rudement que la veille; et, paraissant dédaigner ce léger triomphe, elle leur tourna le dos, et s'éloigna d'eux au grand galop. Les trois rois du Nord, ayant perdu la parole avec le courage , se relevèrent...
Page 266 - ... serment, qu'il sentit ses forces s'accroître, et que son corps lui sembla se soulever de lui-même sur les ondes : son courage augmente avec ses forces; il suit avec ses bras le mouvement des vagues qui l'élèvent et le font descendre tour-àtour; il atteint enfin le rivage, et bientôt il arrive sur celui que forme le penchant de la montagne en s'étendant vers la mer. Entre tous ceux qui s'étaient embarqués avec Roger , il fut le seul qui se sauva du naufrage. Il descendit sur cet écueil...
Page 76 - Ton bras ayant détruit tous les ennemis de mon pere, je levai le mafque; je lui dis ouvertement que je le déteftois, & que je défirois fa mort : cependant , voyant qu'on m'accuferoit de la plus lâche ingratitude fi je la lui faifois donner, je me contentai de lui dire de ne paroître jamais à mes yeux , & que je ne voulois plus en aucune façon entendre parler de lui. Alcefte ne put réfifter à ce dernier trait de cruauté : ce héros , que rien...
Page 73 - Non, tu ne m'as jamais aimée, puif. que ta main cruelle a pu former l'obftacle éternel qui s'oppofe à préfent à notre bonheur : vas, quoique je vienne ici par les ordres de mon père me livrer moi-même en tes mains...
Page 156 - Seigneur, vous nous voyez ici sans aucun homme avec nous, et vous sentez combien il nous doit être cruel de ne pouvoir prendre soin de nos pères, de coucher seules, et de ne plus caresser nos enfants; c'est l'ordre absolu de notre cruel tyran qui nous prive de remplir les devoirs les plus doux de la vie. Nous sommes nées sur ses terres qui ne sont qu'à deux lieues d'ici : le méchant homme nous en a bannies...
Page 132 - Tu voudrais déja me voir bien loin de toi; mais ne crois pas que je remplisse ta vaine espérance; je vais mourir, ingrat! mais, avant que d'expirer, je vais entraîner mon odieuse rivale dans ma chute.
Page 134 - Jamais aucun spectacle ne put enchanter les Athéniens , jamais le peuple vainqueur de la terre ne put voir les grandes fêtes remplir ses cirques de...