Théodicée: études sur Dieu, la création et la providence |
From inside the book
Results 1-5 of 31
Page 10
... positives , par conséquent de uts divins . La même méthode nous conduit re en Dieu l'attribut de la puissance . En soi , ce , c'est - à - dire la force active , la vertu de u dehors , par une fécondité spirituelle , des mandant l ...
... positives , par conséquent de uts divins . La même méthode nous conduit re en Dieu l'attribut de la puissance . En soi , ce , c'est - à - dire la force active , la vertu de u dehors , par une fécondité spirituelle , des mandant l ...
Page 11
... positives , par conséquent de deux attributs divins . La même méthode nous conduit à reconnaître en Dieu l'attribut de la puissance . En soi , la puissance , c'est - à - dire la force active , la vertu de produire au dehors , par une ...
... positives , par conséquent de deux attributs divins . La même méthode nous conduit à reconnaître en Dieu l'attribut de la puissance . En soi , la puissance , c'est - à - dire la force active , la vertu de produire au dehors , par une ...
Page 65
... positive . Au fond , le dieu des Stoïciens reste ce qu'ils l'ont conçu tout d'abord , la vie universelle et impersonnelle , fatalement répandue et fatalement développée dans la nature . La loi éternelle que célèbre l'hymne de Cléanthe n ...
... positive . Au fond , le dieu des Stoïciens reste ce qu'ils l'ont conçu tout d'abord , la vie universelle et impersonnelle , fatalement répandue et fatalement développée dans la nature . La loi éternelle que célèbre l'hymne de Cléanthe n ...
Page 82
... positives est vain ; que , quelque soin qu'on prenne de ne rien attribuer à Dieu qui ne s'accorde avec l'idée de la perfection absolue , de concevoir en lui l'être sans limite , la pensée sans ténèbres , sans travail et sans succession ...
... positives est vain ; que , quelque soin qu'on prenne de ne rien attribuer à Dieu qui ne s'accorde avec l'idée de la perfection absolue , de concevoir en lui l'être sans limite , la pensée sans ténèbres , sans travail et sans succession ...
Page 142
... positive ; d'où il conclut avec raison que la réalité d'un être est proportionnelle à sa détermination plus ou moins parfaite , et que l'être absolument indéterminé est un non - être . Le lecteur candide n'aperçoit pas que le même mot ...
... positive ; d'où il conclut avec raison que la réalité d'un être est proportionnelle à sa détermination plus ou moins parfaite , et que l'être absolument indéterminé est un non - être . Le lecteur candide n'aperçoit pas que le même mot ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolument âmes athéisme attributs besoin bon sens c'est-à-dire caractère cause causes finales choses Christianisme conditions conscience conséquent contingent contradiction créateur création créer Darwin démontrer développement Dieu dire distinction divine doctrine dogme elle-même enfin enseigne Épictète espèces esprit essence éternellement Fénelon Fichte fini force Hégel hérésies hypothèse idées infini intel intelligence l'absolu l'âme l'élection naturelle l'esprit l'essence l'être l'existence l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'infini l'ordre l'origine des espèces l'univers libre limites lois loppement lui-même manifeste ment métaphysique miracle monde morale mystère nature nécessaire négation non-seulement notion objections organes panthéisme parfait pensée perfection phénomènes philo philosophie chrétienne physique Platon Plotin polythéisme positive positivisme possible premier prière principe produit Providence puissance puisse pure qu'un question raison humaine rationaliste réalité réel religieuse rerum natura reste rien s'il sagesse saint Augustin saurait science scientifique sentiment serait seul Spinoza spiritualiste Stoïciens stoïcisme substance système tantôt théodicée théorie tion universel Vacherot vérité vertu vrai
Popular passages
Page 150 - ... c'est un Dieu à la fois vrai et réel , à la fois substance et cause , toujours substance et toujours cause , n'étant substance qu'en tant que cause , et cause qu'en tant que substance ; c'est-à-dire, étant cause absolue , un et plusieurs , éternité...
Page 154 - On ne voit ordinairement dans le succès que le triomphe de la force, et une sorte de sympathie sentimentale nous entraîne vers le vaincu ; j'espère avoir démontré que puisqu'il faut bien qu'il y ait toujours un vaincu, et que le vaincu est toujours celui qui doit l'être, accuser le vainqueur et prendre parti contre la victoire, c'est prendre parti contre l'humanité et se plaindre du progrès de la civilisation.
Page 154 - ... un vaincu, et que le vaincu est toujours celui qui doit l'être, accuser le vainqueur et prendre parti contre la victoire, c'est prendre parti contre l'humanité et se plaindre du progrès de la civilisation. Il faut aller plus loin, il faut prouver que le vaincu doit être vaincu et a mérité de l'être; il faut prouver que le vainqueur non seulement sert la civilisation, mais qu'il est meilleur , plus moral , et que c'est pour cela qu'il est vainqueur.
Page 163 - ... l'abandonner. Dites aux simples de vivre d'aspiration à la vérité, à la beauté, à la bonté morale, ces mots n'auront pour eux aucun sens. Dites-leur d'aimer Dieu, de ne pas offenser Dieu, ils vous comprendronj à merveille.
Page 144 - II est un principe qui s'est emparé avec force de « l'esprit moderne et que nous devons à Hegel. Je veux « parler du principe en vertu duquel une assertion « n'est pas plus vraie que l'assertion opposée.
Page 207 - Cette loi consiste en ce que chacune de nos conceptions principales, chaque branche de nos connaissances passe successivement par trois états théoriques différents : l'état théologique ou fictif, l'état métaphysique ou abstrait, l'état scientifique ou positif. En d'autres...
Page 163 - Providence, immortalité, autant de bons vieux mots, un peu lourds peut-être, que la philosophie interprétera dans des sens de plus en plus raffinés, mais qu'elle ne remplacera jamais avec avantage. Sous une forme ou sous une autre, Dieu sera toujours le résumé de nos besoins supra-sensibles, la catégorie de l'idéal, c'est-à-dire la forme sous laquelle nous concevons l'idéal, comme l'espace et le temps sont les catégories des corps, c'est-à-dire les formes sous lesquelles nous concevons...
Page 212 - L'explication des faits, réduite alors à ses termes réels, n'est plus désormais que la liaison établie entre les divers phénomènes particuliers et quelques faits généraux, dont les progrès de la science tendent de plus en plus à diminuer le nombre.
Page 207 - De là, trois sortes de philosophies, ou de systèmes généraux de conceptions sur l'ensemble des phénomènes, qui s'excluent mutuellement; la première est le point de départ nécessaire de l'intelligence humaine; la troisième, son état fixe et définitif : la seconde est uniquement destinée à servir de transition.
Page 207 - Dans l'état métaphysique, qui n'est au fond qu'une simple modification générale du premier, les agents surnaturels sont remplacés par des forces abstraites, véritables entités (abstractions personnifiées) inhérentes aux divers êtres du monde, et conçues comme capables d'engendrer par ellesmêmes tous les phénomènes observés, dont l'explication consiste alors à assigner pour chacun l'entité correspondante.