| Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1719 - 420 pages
...derniere fyllabe, elle me le porta prefque au vifage, en ajoutant: Et ceux qui .... Le Cardinal q«i ne douta point qu'elle ne m'allât dire tout ce que la rage peut infpirer , s'avança & lui parla à l'oreille. Elle fe compofa à un point, que fi je ne l'eufle connue... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1817 - 542 pages
...Broussel » je l'étranglerois plutôt avec les deux mains; » et achevant cette dernière syllabe , elle me les porta presque au visage , en ajoutant...qui.. .Le Cardinal, qui ne douta point qu'elle ne m' allât dire tout ce que la rage peut inspirer, s'avança et lui parla à l'oreille. Elle se composa... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1820 - 598 pages
...Broussel ; je l'étranglerais plutôt avec les deux » mains ; » et achevant cette dernière syllabe, elle me les porta presque au visage, en ajoutant:...à l'oreille. Elle se composa à un point que , si je ne l'eusse connue , elle m'eût paru bien radoucie. Le lieutenant civil entra en ce moment dans... | |
| France - 1825 - 464 pages
...Broussel. Je l'étranglerois « plutôt avec les deux mains. » Et achevant cette dernière syllabe , elle me les porta presque au visage , en ajoutant...à l'oreille. Elle se composa à un point que , si je ne l'eusse connue , elle m'eût paru bien radoucie. Le lieutenant civil entra en ce moment dans... | |
| Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825 - 458 pages
...Broussel. Je l'étranglerois « plutôt avec les deux mains. » Et achevant cette dernière syllabe, elle me les porta presque au visage, en ajoutant :...à l'oreille. Elle se composa à un point que , si je ne l'eusse connue , elle m'eût paru bien radoucie. Le lieutenant civil entra en ce moment dans... | |
| Jean Vatout - Palaces - 1830 - 346 pages
...cette dernière syllabe , elle me les a porta presqu'au visage, en ajoutant: Et ceux « qui., (i). »Le cardinal, qui ne douta point qu'elle « ne m'allât...l'oreille. Elle se composa « à . un point que , si je ne l'eusse connue , elle « m'eût paru bien radoucie Enfin le maréchal « m'en traîna, et tous... | |
| Auguste Jean F. Arnould - 1844 - 716 pages
...à Broussel; je l'étranglerai plutôt avec les deux mains. « Et achevant cette dernière syllabe, elle me les porta presque au visage en ajoutant :...ceux qui « Le cardinal, qui ne douta point qu'elle n'allât dire tout ce que la rage peut inspirer, s'avança et lui parla à l'oreille ; elle se composa... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1844 - 684 pages
...Broussel ; je l'étranglerois plutôt avec « les deux mains. Et achevant cette dernière syl« labe , elle me les porta presque au visage , en «-ajoutant : Et ceux qui » Mazarin, qui étoit présent, ne la laissa point terminer. Elle se radoucit tout-à-coup, et quelques... | |
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