Œuvres philosophiques de Descartes, pub. d'après les textes originaux avee notices, sommaires et éclaircissemens, Volume 1 |
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Contents
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Common terms and phrases
Addition au texte aisément assez assuré attribue aurait avons besoin c'est-à-dire cause change choses clairement composé concevoir connais connaissance connaître considérer contraire corporelles corps croire d'autres d'être dépend Descartes Dieu différence dire distinctement diverses doit donner douleur doute écrits effet enfin entièrement esprit étendue évident exemple existe expliquer façon faculté figure formes fort général grandeur hommes idées imaginer infinie j'ai juger l'ame l'esprit l'existence l'idée l'une lettre lieu lumière maintenant Méditation ment Méthode mieux monde mouvement moyen n'ai n'en nature naturelle néanmoins nécessaire nombre notions Objections parfaite parler particulier passer passions pensée perfection personnes persuader peut-être peuvent philosophie porte pourrait pouvoir pouvons première présent principalement propre puisse qu'en qu'une raison remarqué rencontre reste rien s'il saurait savoir sciences seconde semblables semble sens sentir serait servir seulement soient sorte souvent substance sujet tellement terre texte latin touchant toutefois traité trouve vérité vois volonté Voyez vrai
Popular passages
Page 16 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 28 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle...
Page 29 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.
Page 1 - En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes...
Page 53 - ... par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page 20 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance, et me gouvernant en toute autre chose suivant les opinions les plus modérées et les plus éloignées de l'excès qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 5 - Il est bon de savoir quelque chose des mœurs de divers peuples, afin de juger des nôtres plus sainement et que nous ne pensions pas que tout ce qui est contre nos modes soit ridicule et contre raison, ainsi qu'ont coutume de faire ceux qui n'ont rien vu.
Page 10 - ... je demeurais tout le jour enfermé seul dans un poêle, où j'avais tout le loisir de m'entretenir de mes pensées. Entre lesquelles l'une des premières fut que je m'avisai de considérer que souvent il n'ya pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces, et faits de la main de divers maîtres , qu'en ceux auxquels un seul a travaillé.
Page 28 - Et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées que 20 nous avons étant éveillés nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.
Page 22 - Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde, et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'ya rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées, en sorte qu'après que nous avons fait notre mieux touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est au regard de nous absolument impossible.