A New Method of Learning the French Language: Embracing Both the Analytic and Synthetic Modes of Instruction : Being a Plain and Practical Way of Acquiring the Art of Reading, Speaking, and Composing French : on the Plan of Woodbury's Method with German |
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Page 484
Toi qu'on ne nomme qu'à genoux , Toi dont le nom terrible et doux , Fait courber le front de ma mère ; On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance ; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil .
Toi qu'on ne nomme qu'à genoux , Toi dont le nom terrible et doux , Fait courber le front de ma mère ; On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance ; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil .
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Popular passages
Page 305 - Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.
Page 474 - ... le berger, soigneux et attentif, est debout auprès de ses brebis; il ne les perd pas de vue, il les suit...
Page 474 - ... depuis la mort du roi votre époux, ne diminuent rien de votre magnificence. Vous avez préféré à toute autre contrée les rives de l'Euphrate pour y élever un superbe édifice : l'air y est sain et tempéré, la situation en est riante, un bois sacré l'ombrage du côté du couchant ; les dieux de Syrie qui habitent quelquefois la terre, n'y auraient pu choisir une plus belle demeure; la campagne autour est couverte d'hommes qui taillent et qui coupent, qui vont...
Page 473 - Pluton accorda donc à celui-ci qu'il irait dans le corps d'un homme. Mais, comme le dieu eut honte de l'envoyer dans le corps d'un homme...
Page 482 - Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau Si beau?
Page 480 - Et qui donne aux petits enfants Une âme aussi pour te connaître. On dit que c'est toi qui produis Les fleurs dont le jardin se pare , Et que sans toi, toujours avare, Le verger n'aurait point de fruits. Aux dons que ta bonté mesure Tout l'univers est convié ; Nul insecte n'est oublié A ce festin de la nature.
Page 483 - L'autre meurt enivré par l'écho d'un vain nom. Avec nos passions formant sa vaste trame, Celui-là fonde un trône, et monte pour tomber; Dans des pièges plus doux aimant à succomber, Celui-ci lit son sort dans les yeux d'une femme. Le paresseux s'endort dans les bras de la faim ; Le laboureur conduit sa fertile charrue; Le savant pense et lit ; le guerrier frappe et tue ; Le mendiant s'assied sur le bord du chemin. Où vont-ils cependant? Ils vont où va la feuille Que chasse devant lui le souffle...
Page 480 - DE L'ENFANT A SON RÉVEIL O père qu'adore mon père ! Toi qu'on ne nomme qu'à genoux! Toi, dont le nom terrible et doux Fait courber le front de ma mère! On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil. On dit que c'est toi qui fais naître Les petits oiseaux dans les champs, Et qui...
Page 428 - N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux : L'Éternel est son nom ; le monde est son ouvrage ; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois.
Page 486 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre...