Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1; Volume 69De Imprimerie de la Société littéraire-typographique., 1785 |
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Common terms and phrases
Adieu adreffe affez affurément ainfi auffi avez befoin Belleguier Bertrand c'eft c'eſt Catau cauſe cher ami cher et illuftre cher maître cher philofophe Childebrand chofe choſe cœur Condorcet confeils confolation confrère Corneille Correfp crois D'ALEM BERT d'augufte d'Etallonde DIEU difait difcours dire efprit embraffe envoyé eſpèce eſt fage fans doute fanté favez favoir feconde fecrétaire fefait femble fentiment fera Ferney fervir feul fiècle foit font fophe fottifes fous fouvent françaiſe Fréron ftyle fuccès fuis fujet fupérieur furtout gloire grand-homme Harpe Henriade homme illuftre maître j'ai jufqu'à jufte juſtice l'abbé l'académie l'archevêque l'efprit l'hiftoire laiffer long-temps Madame Denis madame Geoffrin mande marons marquis de Condorcet meffieurs Minos monfieur n'eft n'eſt néceffaire ouvrage paffer parlement pattes penfer perfécuté perfonne philo philoſophe plaifir poëte préfent preffe Pruffe puiffe Racine raiſon Raton refpectable refte réponſe s'eft ſes ſon Toulouſe tragédie très-cher philofophe Velches Voilà Voltaire Zaïre
Popular passages
Page 209 - Quel homme ! il réunit tout, la plaisanterie, le sérieux, la raison, la gaieté, la force, le touchant, tous les genres d'éloquence, et il n'en recherche aucun, et il confond tous ses adversaires, et il donne des leçons à ses juges. Sa naïveté m'enchante; je lui pardonne ses imprudences et ses pétulances.
Page 86 - Il a eu un procédé bien vilain avec moi, et j'ai encore la lettre dans laquelle il m'écrit en mots couverts que, si je le poursuis, il pourra me dénoncer comme auteur d'ouvrages suspects, que je n'ai certainement point faits. Je puis produire ces belles choses à l'Académie...
Page 93 - Nous avons en lui un très-bon confrère , qui sera certainement utile aux lettres et à la philosophie , pourvu que la philosophie ne lui lie pas les mains par un excès de licence , ou que le cri général ne l'oblige d'agir contre son gré.
Page 367 - Ces lois viennent des dieux, le reste est des humains; est-ce là le faste des sentences qui appartient à un rhéteur, ou le cri de la nature qui s'échappe d'un cœur maternel? Ces vers seraient beaux sans doute dans une épître morale; mais combien est-il plus beau de les avoir fait sortir pour ainsi dire des entrailles d'une mère ! et quel ordre de beautés neuves que de. faire naître de la situation la plus pathétique ces traits de la plus haute...
Page 366 - La nature et l'hymen, voilà les lois premières, Les devoirs, les liens des nations entières : Ces lois viennent des dieux; le reste est des humains.
Page 58 - L'auteur, quel qu'il foit, me paraît reflembler à le Clerc de Montmerci; il a de la force, mais il fait trop de profe, comme l'autre fait trop de vers.
Page 269 - Il faudrait mettre au pilori du Parnasse un faquin qui nous donne d'un ton de maître des Gilles anglais pour mettre à la place de Corneille et de Racine et qui nous traite comme tout le monde doit le traiter.