Le docteur mystérieux, Volume 1, Issues 1-2M. Lévy Frères, Éditeurs, 1875 |
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Common terms and phrases
allait Argenton arrivé Autrichiens avaient avez bataille bataille de Jemmapes bataille de Valmy Beaurepaire Beurnonville braconnier bras c'était Camille Chazelet cheval chien chose citoyen cœur Convention coup Croix-aux-Bois d'Éva demanda Jacques devant Dieu dire dit-il docteur duc de Chartres Dumouriez enfants eût Éva faisait femme fenêtre général Gironde girondins heures j'ai jacobins Jacques Mérey Jemmapes jeta jeune fille jour Kellermann l'armée l'Assemblée l'avait l'enfant l'ennemi l'homme laisser lettre Longwy Louis XVI madame Danton madame Roland mademoiselle main maison Marat Marthe médecin ment mille hommes monsieur mort n'avait n'était non-seulement nuit parole passer patrie pauvre peuple porte pouvait première prit Prusse Prussiens regard répondit République reste révolution rien Robespierre Roland royauté s'écria s'était Sainte-Menehould sang Sanson sauver savait science Scipion seigneur de Chazelay serait seul soldats sortit terrible tête Thévenot tion traître tribune Valmy venait Verdun Vergniaud voilà voiture voix voté voulait yeux
Popular passages
Page 227 - Eh ! que m'importe ma réputation ! que la France soit libre, et que mon nom soit flétri! que m'importe d'être appelé buveur de sang! Eh bien, buvons le sang des ennemis de l'humanité, s'il le faut; combattons, conquérons la liberté!
Page 15 - J'ai été obligé d'abandonner le camp de Grand-Pré. La retraite était faite, lorsqu'une terreur panique s'est mise dans l'armée; dix mille hommes ont fui devant quinze cents hussards prussiens. La perte ne monte pas à plus de cinquante hommes et quelques bagages. TOUT EST RÉPARÉ, ET JE RÉPONDS DE TOUT...
Page 227 - Je mets de côté toutes les passions, elles me sont toutes parfaitement étrangères, excepté celle du bien public. Dans des circonstances plus difficiles, quand l'ennemi était aux portes de Paris, j'ai dit à ceux qui gouvernaient alors: Vos discussions sont misérables, je ne connais que l'ennemi.
Page 226 - ... l'Angleterre ne vivra que pour la liberté. Le parti de la liberté n'est pas mort en Angleterre, il se montrera... Tendez la main à tous ceux qui appellent la délivrance, la patrie est sauvée, et le monde est libre. » Faites partir vos commissaires ; qu'ils partent ce soir, cette nuit. Qu'ils disent à la classe opulente : « II faut que l'aristocratie de l'Europe succombe « sous nos efforts, paye notre dette, ou que vous la « payiez; le peuple n'a que du sang, il le prodigue. « Allons,...
Page 290 - Paris , leur dit le général ; et sûrement il ne s'est pas calmé depuis, surtout après des revers. Je sais, par vos papiers les plus authentiques, que la convention est dominée par le monstre Marat, par les jacobins et par les indécentes tribunes , toujours remplies de leurs émissaires. La convention ne pourrait pas me sauver de leur fureur; et si je pouvais prendre sur ma fierté de comparaître devant de pareils juges , si je faisais cette démarche, ma contenance elle-même m'attirerait...
Page 5 - Tuileries, qui avait épousé, en mars 1777, une des femmes les plus célèbres par leur beauté à la fin du règne de Louis XV et au commencement du règne de Louis...
Page 229 - ... l'Assemblée législative : soyons terribles pour dispenser le peuple de l'être ; organisons un tribunal, non pas bien, cela est impossible, mais le moins mal qu'il se pourra, afin que le glaive de la loi pèse sur la tête de tous ses ennemis.
Page 29 - DANTON : ,Avant d'exprimer mon opinion sur le premier acte que doit faire l'Assemblée nationale, qu'il me soit permis de résigner dans son sein les fonctions qui m'avaient été déléguées par l'Assemblée législative. Je les ai reçues au bruit du canon dont les citoyens de la capitale foudroyèrent le despotisme. Maintenant que la jonction des armées est faite, que la jonction des représentants du...
Page 32 - Il faut détruire ce talisman dont li force magique serait propre à stupéfier encore bien des hommes. Je demande donc que par une loi solennelle vous consacriez l'abolition de la royauté.
Page 283 - ... circonstance. Beaurepaire, ancien officier des carabiniers, avait formé, commandé, depuis 89, l'intrépide bataillon des volontaires de Maine-et-Loire. Au moment de l'invasion, ces braves eurent peur de n'arriver pas assez vite. Ils ne s'amusèrent pas à parler en route, traversèrent toute la France au pas de charge, et se jetèrent dans Verdun. Ils avaient un pressentiment qu'au milieu des trahisons dont ils étaient environnés, ils devaient périr. Ils chargèrent un député patriote...