Mémoires de la Société d'agriculture, sciences, belles-lettres et arts d'Orléans, Volume 19 |
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... Dieu , sa communauté , sa bibliothèque et ses amis : il est un de ces hommes avec les- quels il plaît beaucoup de vivre et dont la mort est une vraie tristesse . Pataud nous dit qu'il fut aussi sage reli- gieux que bon ami et laborieux ...
... Dieu , sa communauté , sa bibliothèque et ses amis : il est un de ces hommes avec les- quels il plaît beaucoup de vivre et dont la mort est une vraie tristesse . Pataud nous dit qu'il fut aussi sage reli- gieux que bon ami et laborieux ...
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... Dieu , ce qu'elle était au xviR siècle . Ses nobles habitants brillent par la pureté de la foi et le dé- vouement aux grandes et saintes causes et si la mémoire des aïeux leur est encore chère , c'est qu'ils y ont trouvé les habitudes ...
... Dieu , ce qu'elle était au xviR siècle . Ses nobles habitants brillent par la pureté de la foi et le dé- vouement aux grandes et saintes causes et si la mémoire des aïeux leur est encore chère , c'est qu'ils y ont trouvé les habitudes ...
Page 37
... Dieu , rien de ce qui est grand , noble et pur ne s'altère et ne saurait périr . Notre bénédictin aimait donc et , je puis le dire , aimait beaucoup sa France , car je trouve dans une lettre du 3 août 1778 ces phrases que je n'ai pu ...
... Dieu , rien de ce qui est grand , noble et pur ne s'altère et ne saurait périr . Notre bénédictin aimait donc et , je puis le dire , aimait beaucoup sa France , car je trouve dans une lettre du 3 août 1778 ces phrases que je n'ai pu ...
Page 38
... Dieu de leur jeunesse . Le ciel épargna à Dom Fabre l'immense douleur de cet exil d'une maison qui durant quarante années avait abrité ses travaux et ses vertus , il mourut le 11 février 1788 , deux années avant l'anéantissement de son ...
... Dieu de leur jeunesse . Le ciel épargna à Dom Fabre l'immense douleur de cet exil d'une maison qui durant quarante années avait abrité ses travaux et ses vertus , il mourut le 11 février 1788 , deux années avant l'anéantissement de son ...
Page 80
... du deuil la revanche était prête . Après Poitiers le ciel lui gardait Duguesclin ; Jeanne , après Azincourt , releva son destin . De la honte peut - on conserver les stigmates ? Nous avions , grâce à Dieu , d'habiles diplomates ,
... du deuil la revanche était prête . Après Poitiers le ciel lui gardait Duguesclin ; Jeanne , après Azincourt , releva son destin . De la honte peut - on conserver les stigmates ? Nous avions , grâce à Dieu , d'habiles diplomates ,
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Common terms and phrases
Ammon aquafortistes artistes Asari BAGUENAULT DE VIÉVILLE Bedel Bimbenet Boilève bois bronze canopes Charpignon chêne rouvre CHÊNES PÉDONCULÉS Chênes Sessilés chênes tauzins chirurgiens Cinna collection Corneille corps enseignant couleur Cupules Czajewski déesse défunt Delacroix Desnoyers dict arrest dieux divin docteurs duc d'Orléans dynastie écoliers égyptienne espèces Fabre faict feuilles fistules forme funéraire Gilbert d'Hercourt glands gravure guérisons Hathor Horace Horus Ibid j'ai Jehan jour l'eau forte l'Hôtel-Dieu l'opération l'osiris l'Université d'Orléans Laage Leblanc lecture lettres LIEBLEIN lithotomiste Loiret membres mémoire ment Messieurs momie Montaigne monuments Morogues mort Musée Musée de Boulaq nervures Noël nombre œuvre opérés Orléans Osiris ovales Papyrus parole est donnée paysage pierre planches Président procureur Ptah Quercus recouvertes d'écailles reste royale s'esu Sainct scarabées science Séance section de Médecine seigneur sera sessiles seule siècle Société Sologne statuettes stèle suivant tête texte Tigy tion Todtb travail trouve variétés vases vert XVIII
Popular passages
Page 168 - Et puis ose accuser le destin d'injustice Quand tu vois que les tiens s'arment pour ton supplice, Et que, par ton exemple à ta perte guidés, Ils violent des droits que tu n'as pas gardés!
Page 176 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire : Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna; c'est moi qui t'en convie...
Page 174 - D'un étrange malheur son destin le menace, Si, pour monter au trône et lui donner la loi, Tu ne trouves dans Rome autre obstacle que moi ; Si jusques à ce point son sort est déplorable, Que tu sois, après moi, le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l'empire romain Ne puisse, après ma mort, tomber mieux qu'en ta main. Apprends à...
Page 168 - Punissons l'assassin, proscrivons les complices. Mais quoi ! toujours du sang, et toujours des supplices! Ma cruauté se lasse, et ne peut s'arrêter ; Je veux me faire craindre, et ne fais qu'irriter.
Page 170 - Prends un siège, Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t'impose : Prête, sans me troubler, l'oreille à mes discours; D'aucun mot, d'aucun cri, n'en interromps le cours; Tiens ta langue captive; et si ce grand silence A ton émotion fait quelque violence, Tu pourras me répondre après tout à loisir : Sur ce point seulement, contente mon désir.
Page 172 - Écoute cependant, et tiens mieux ta parole. Tu veux m'assassiner, demain, au Capitole, Pendant le sacrifice, et ta main pour signal Me doit, au lieu d'encens, donner le coup fatal ; La moitié de tes gens doit occuper la porte, 1485 L'autre moitié te suivre et te prêter main-forte.
Page 164 - La vostre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant receu de moy aucune offencé, et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous estes de m'avoir voulu homicider sans raison.
Page 174 - Mais tu ferais pitié, môme à ceux qu'elle irrite, Si je t'abandonnais à ton peu de mérite. Ose me démentir, dis-moi ce que tu vaux ; Conte-moi tes vertus, tes glorieux travaux, Les rares qualités par où tu m'as dû plaire, Et tout ce qui t'élève au-dessus du vulgaire.
Page 163 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 174 - C'est elle qu'on adore, et non pas ta personne; Tu n'as crédit ni rang qu'autant qu'elle t'en donne ; Et pour te faire choir je n'aurais aujourd'hui Qu'à retirer la main qui seule est ton appui. J'aime mieux toutefois céder à ton envie : Règne, si tu le peux , aux dépens de ma vie...