Œuvres de Voltaire, Volume 37Lefèvre, 1829 |
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... nations . Ce dont tombe - t - il sur l'infidèle nuit ou sur les nations ? encore une équivoque . L'auteur ne les épar- gne pas . Pôles glacés , brûlants .... Lorsqu'on nous lut cet endroit du poëme , on trouva que pour dire poles glacés ...
... nations . Ce dont tombe - t - il sur l'infidèle nuit ou sur les nations ? encore une équivoque . L'auteur ne les épar- gne pas . Pôles glacés , brûlants .... Lorsqu'on nous lut cet endroit du poëme , on trouva que pour dire poles glacés ...
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... nation bien ridicule ! etc. N'allez pas vous imaginer que tous les Anglais pensent comme ce monsieur Dennis , ni que j'aie la moindre envie de l'imiter en vous parlant , comme vous me l'ordonnez , de la nation anglaise . Vous voulez que ...
... nation bien ridicule ! etc. N'allez pas vous imaginer que tous les Anglais pensent comme ce monsieur Dennis , ni que j'aie la moindre envie de l'imiter en vous parlant , comme vous me l'ordonnez , de la nation anglaise . Vous voulez que ...
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... nation que par interprète ; il n'a pas la moindre idée des ouvrages faits dans la langue ; il ne peut voir les spectacles , où les mœurs de la nation sont représentées . Le très petit nombre de sociétés où il peut être admis sont d'un ...
... nation que par interprète ; il n'a pas la moindre idée des ouvrages faits dans la langue ; il ne peut voir les spectacles , où les mœurs de la nation sont représentées . Le très petit nombre de sociétés où il peut être admis sont d'un ...
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... nation qu'il ne connaît point du tout . Il semble que vous pourriez tirer plus de lumières d'un particulier qui aurait assez de loisir et d'opiniâ- treté pour apprendre à parler la langue anglaise ; qui converserait librement avec les ...
... nation qu'il ne connaît point du tout . Il semble que vous pourriez tirer plus de lumières d'un particulier qui aurait assez de loisir et d'opiniâ- treté pour apprendre à parler la langue anglaise ; qui converserait librement avec les ...
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... nation était toujours gaie ; que toutes les femmes étaient belles et vives , et que le ciel d'Angleterre était toujours pur et serein ; qu'on ne songeait jamais qu'au plaisir ; que tous les jours étaient comme le jour qu'il voyait ; et ...
... nation était toujours gaie ; que toutes les femmes étaient belles et vives , et que le ciel d'Angleterre était toujours pur et serein ; qu'on ne songeait jamais qu'au plaisir ; que tous les jours étaient comme le jour qu'il voyait ; et ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 75 - Mais les parties du monde ont toutes un tel rapport et un tel enchaînement l'une avec l'autre que je crois impossible de connaître l'une sans l'autre et sans le Tout.
Page 54 - La distance infinie des corps aux esprits figure la distance infiniment plus infinie des esprits à la charité, car elle est surnaturelle. Tout l'éclat des grandeurs n'a point de lustre pour les gens qui sont dans les recherches de l'esprit. La grandeur des gens d'esprit est invisible aux rois, aux riches, aux capitaines, à tous ces grands de chair.
Page 61 - Qu'on s'imagine un nombre d'hommes dans les chaînes, et tous condamnés à la mort , dont les uns étant chaque jour égorgés à la vue des autres , ceux qui restent voient leur propre condition dans celle de leurs semblables , et , se regardant les uns les autres avec douleur et sans espérance , attendent leur tour : c'est l'image de la condition des hommes.
Page 80 - Qu'on en fasse l'épreuve; qu'on laisse un roi tout seul, sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin dans l'esprit, sans compagnie, penser à lui tout à loisir; et l'on verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères.
Page 83 - S'il ya un Dieu, il est infiniment incompréhensible, puisque, n'ayant ni parties ni bornes, il n'a nul rapport à nous. Nous sommes donc incapables de connaître ni ce qu'il est, ni s'il est.
Page 72 - A mesure qu'on a plus d'esprit , on trouve qu'il ya plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes.
Page 230 - Le génie poétique des Anglais ressemble, jusqu'à présent, à un arbre touffu planté par la nature, jetant au hasard mille rameaux, et croissant inégalement avec force. Il meurt, si vous voulez forcer sa nature, et le tailler en arbre des jardins de Marli.
Page 79 - ... L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 56 - Que chacun examine ses pensées, il les trouvera toutes occupées au passé et à l'avenir. Nous ne pensons presque point au présent; et, si nous y pensons, ce n'est que pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir.
Page 40 - Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.