French lyrics, selected and edited with an introduction and notes |
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Page 16
... mourir , fin d'une fausse vie : Vie de nostre vie , et mort de nostre mort . Qui hait la seureté pour aimer le naufrage ? Qui a jamais esté si friand de voyage , Que la longueur en soit plus douce que le port ? JEAN BERTAUT CHANSON LES ...
... mourir , fin d'une fausse vie : Vie de nostre vie , et mort de nostre mort . Qui hait la seureté pour aimer le naufrage ? Qui a jamais esté si friand de voyage , Que la longueur en soit plus douce que le port ? JEAN BERTAUT CHANSON LES ...
Page 33
... mourir encore . " Qu'un stoïque aux yeux secs vôle embrasser la mort , Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête . S'il est des jours amers , il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé ...
... mourir encore . " Qu'un stoïque aux yeux secs vôle embrasser la mort , Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête . S'il est des jours amers , il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé ...
Page 34
... mourir encore . " Ainsi , triste et captif , ma lyre toutefois S'éveillait , écoutant ces plaintes , cette voix , Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le joug de mes jours languissants , Aux douces lois des vers je pliais les ...
... mourir encore . " Ainsi , triste et captif , ma lyre toutefois S'éveillait , écoutant ces plaintes , cette voix , Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le joug de mes jours languissants , Aux douces lois des vers je pliais les ...
Page 36
... mourir . UNE MÈRE DE FAMILLE . De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes : Loin de nous de lâches douleurs ! Nous devons triompher quand vous prenez les armes ; C'est aux rois à verser des pleurs . Nous vous avons donné la vie ...
... mourir . UNE MÈRE DE FAMILLE . De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes : Loin de nous de lâches douleurs ! Nous devons triompher quand vous prenez les armes ; C'est aux rois à verser des pleurs . Nous vous avons donné la vie ...
Page 69
... mourir ! et tes larmes divines , Dans cette nuit terrible où tu prias en vain , De l'olivier sacré baignèrent les racines Du soir jusqu'au matin . De la croix , où ton œil sonda ce grand mystère , Tu vis ta mère en pleurs et la nature ...
... mourir ! et tes larmes divines , Dans cette nuit terrible où tu prias en vain , De l'olivier sacré baignèrent les racines Du soir jusqu'au matin . De la croix , où ton œil sonda ce grand mystère , Tu vis ta mère en pleurs et la nature ...
Contents
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Common terms and phrases
Adieu aime âme amour ANDRÉ THEURIET BALLADE beau belle blanche bleu bois bruit century CHANSON chante charmant ciel cieux Clément Marot cœur congnois d'or Dieu dormir douce doux Émaux et Camées ÉMILE BERGERAT enfant especially éternelle étoiles étoiles vives Euvres famous feuilles first flamme fleurs flots found FRANÇOIS COPPÉE French front given gloire great Hélas Hugo Iliad j'ai j'aime JOACHIM DU BELLAY jour joyeux known l'air l'âme l'amour l'aube l'aurore l'homme l'ombre Leconte de Lisle lèvres life lines literary lointain lyric main Méditations poétiques monte morne mort mourir murmure name noir nuit Odes oiseaux ombre pâle parfums passé pensées personal plaine pleurs poems Poésies poet poetry qu'un reference regard rêve rhyme rien rose Sainte-Beuve seul soir soleil sombre songe sourire SULLY PRUDHOMME syllables terre thym tombe tombeau tremble triste used vent verse veux Victor Hugo vieux voix vowel word Works yeux
Popular passages
Page 279 - O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie, O le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure.
Page 58 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 34 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encore pleine.
Page 329 - I thought of Chatterton, the marvellous Boy, The sleepless Soul that perished in his pride; Of Him who walked in glory and in joy Following his plough, along the mountain-side: By our own spirits are we deified : We Poets in our youth begin in gladness; But thereof come in the end despondency and madness.
Page 284 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 65 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 43 - LE ROI D'YVETOT. IL était un roi d'Yvetot, Peu connu dans l'histoire ; Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bien sans gloire, Et couronné par Jeanneton D'un simple bonnet de coton, Dit-on.
Page 39 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 33 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 108 - OH ! combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Combien ont disparu, dure et triste fortune ! Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sous l'aveugle océan à jamais enfouis...