blesses, II, 125, 74. Crispins (les), orgueilleux parvenus qui se cotisent, II, 192194, 9-10. CRITIQUE (de la), II, 31, 20; 35-36, 26-28; 60, 63; III, 234, 27. Criton, avec qui il ne faut pas Croix (François Petis de la), Cydias, bel esprit, II, 153, 75. CYZIQUE (la ville de), I, 44. D DAIM (Olivier le), II, 381, 11. Dancourt (Mme), femme de l'auteur comique, III, 315. DANEMARCK (le), III, 477: Dangeau (marquis de), II, 416; 441; 445; 461-465. Dangeau (l'abbé de), de l'Académie française, II, 324; 328. Effet qu'il produit, - II, 147, 60. Ce qui rassure contre les dédains, II, 232, 58. DÉFAUTS. Les seuls que nous voyions en amitié et en amour, II, 114, 27. Ceux dont on aime à être raillé, II, 147, 55. Ceux qu'on doit pardonner aux amis, II, 148, 62. De ceux qu'on avoue, III, 32, 67. On est lent à pénétrer ses défauts, III, 39, 83. Seul défaut dont il coûte à certains hommes de se corriger, III, 45, 98. Origine des défauts, III, 97, 47. Lourds chez autrui, légers chez nous, III, 109, 72. — On ne fait ni vœux ni pèlerinages pour en être guéri, III, 172, 20. Voyez ENFANTS, HOMMES. DÉFIANCE. Les défiances dans l'intérieur des familles, II, 142-143, 40. DÉLICATESSE. Dans l'amour, II, 115, 127, 4. 29. III, 67, 144. De l'esprit, II, Fausse délicatesse, Delpech, partisan, II, 393; III; 316. DELPHES, I, 73. Delrieux, qui se fait nommer Démocrite, écrivain, III, 86, note 3; 88, notes 1-2; 128, 119. DEMOISELLE, titre que prenaient les bourgeoises de quelque importance, II, 217, 20. Démophile, le nouvelliste pessimiste, II, 280-282 et 284, II. DEMOSTHENE, III, 230, 25. Denonville (de), sous-gouverneur du duc de Bourgogne, III, 409 DESCARTES (René), I, LXXXILXXXII, 12, note 1; II, 176, 56; III, 66, 142, note 2; 76, 10, note 2; 96, 42; 116, 94, note 1; 242, 15, note 1; 477; 483; IV, 133, 155. Deschiens, partisan, II, 442. Descôteaux, flutiste et fleuriste, III, 355-356; IV, 123. Deshoulières (Mme), III, 447. DESIRS, II, 121, 61; 174, 49; III, 18, 19; 19, 20; 22, 29. DESMARAIS (Regnier), III, 465. Desmarest de Saint-Sorlin, II, 322. DESPORTES, poëte, III, 216, 73. DESPOTIQUE (gouvernement) Les fêtes préparent au despo- DESPRÉAUX. Voyez BOILEAU. Elle est trop négligée, II, 294, 24. DEVINS. Leurs prédictions, III, 201, 69. DEVOIR. Il a sa récompense en soi, II, 67, 15. Devoirs réciproques du souverain et de Nos ses sujets, II, 296, 28. devoirs seuls nous coûtent, III, 48, 104. De l'homme qui revient à ses devoirs, III, 114, Voyez HOMMES, VA DÉVOT. Dévot après longue négligence, III, 114, 89. Pourquoi le courtisan se fait dévot, III, 150, 16; 151, 18. · Courtisan dévot devenu à la mode, III, 151, 17. Difficulté de peindre le dévot par mode, III, 151, 19. Le (faux) dévot, III, 152, 21; 154, 24. Les dehors de l'incontinence seul crime pour les dévots, III, 152, 22. Le vrai dévot, III, 153, 23. Pourquoi on ne paye pas de pension à l'homme dévot, III, 161, 28. Dévot par esprit de singularité, III, 239, 5. Le faux dévot se moque-t-il de Dieu ? III, 247, 27. DÉVOTE. Coquette et dévote, c'est trop, II, 94, 41. La dévote comparée aux femmes atteintes d'autres vices, II, 96, 44. - Voyez Zélie. DEVOTION. Comment elle vient, II, 95, 43. De celle des gens qui ont fait fortune, II, 172, 46. Dévotion à la cour, III, 151, 20. La dévotion a ses termes de l'art comme la géométrie, III, 160, 26. La vraie est la source du repos, III, 161, 30. Dialogues des morts par Fontenelle, II, 321. DIANE, I, 54. - DIANE (une), III, 149, 15. DIANE (nom de baptême), II, 258. 23. Dictionnaire de l'Académie, II, 319-320; III, 47; 305; IV, 132; 133. DIEU, II, 73; 75; 84; 93; 94; 96; 136; 160; 165; 175; 240; 241; 254; 257; 299; III, 46; 446. De ceux qui ne savent point percer jusqu'à Dieu, III, 238, 3. - Influence de notre santé sur la croyance en Dieu, III, 239, 6. De ceux qui nient Dieu, III, 241, 11-12; 242, 15-16: 252, 36. Preuves de l'existence de Dieu, III, 241-242, 13-15; 252-255, 36. Nous pensons à Dieu trop tard, III, 242, 17. Pourquoi nous disons que Dieu existe, III, 243, 19. On se rend compte de Dieu sans profonde métaphysique, III, 246, 23. Il est inconcevable que Dieu soit matière, III, 255, 37. Dieu principe du mouvement, III, 267, 43. Justice, durée, immensité de Dieu, III, 273-274, 47. DIU, le père, III, 568. DIEUX (les), I, 17; 52; 64; 65; 75; 82; II, 75, 32; 110, 81; 160, 12; III, 68, 145. Les saletés des Dieux reproduites au palais Farnèse, III, 170, 17. DIEUX (enfants des). Leur perfection anticipée, II, 75, 33. DIGNITÉ, DIGNITÉS. Les dignités sont, après le mérite personnel, la distinction des hommes, II, 71, 26. Les hommes dissimulent leurs désirs de dignités, II, 226, 44. Deux chemins pour y arriver, II, Influence d'une 229, 49. - dignité sur celui qui en est revêtu, III, 114, 92. DIJON (siége de), II, 280, 10 et note 1; IV, 153-154. DIOGENE LAERCE, I, 13; 21; 28; III, 509-510; 520; IV, 120. Diognète, le curieux de médailles, III, 137, 3. DIONYSIAQUES (les), III, 507-508, Dioscore, mauvais écrivain, III, 229, 23. Diphile, le curieux d'oiseaux, III, 141, 2. 91, Dracon, joueur de flûte, II, 33. Drance, qui veut passer pour gou verner son maître, II, 124, 71. DRAP D'OR, espèce de tulipe, III, 136, 2. Drubec (François Mallet de Graville, abbé de), II, 380381; III, 316; 348. Ducherré ou Decherré (la), II, 370; IV, 150. DUEL (du), II, 302, 35; III, 142, 3. DUHAMEL (George), avocat, II, 191, 6; 422. DUPE. On peut l'être avec de l'esprit, II, 77, 36; 245, 88. On feint de l'être quelquefois, II, 147, 58. Les dupes font les fourbes, II, 21, 26. Duras (maréchal de), III, 408 409. EAU (vase d'), chez les chiro- Écossais, III, 132, note 4. ÉCOSSE STUART (maison d'), III, 481. ÉCHIRE. A quelle condition on écrit naturellement ou nettement, II, 29, 14; 57, 56. Ceux qui écrivent par humeur, II, 30, 17. Comment écrivent un esprit médiocre et un bon esprit, II, 31, 18. — Il ne faut écrire que pour faire entendre de belles choses, II, 5758, 57 Bien écrire et n'écrire point sont deux mérites différents, II, 59, 59. - Écrire régulièrement conduit à mettre de l'esprit dans le discours, II, 59, 60. Il faut écrire pour la postérité et non pour le goût du siècle, II, 62, 67. Écrire par jeu, par oisiveté, III, 88, 21. Écrivons-nous mieux que nos ancêtres ? III, 215-216, 73. ÉCRITS. Gens qui ne les approuvent qu'après l'impression et le succès, II, 31, 21. Profondeur et finesse dans certains écrits, II, 58, 57. mettons pas trop d'imagination dans nos écrits, II, 135, 17. Voyez OUVRAGES. ÉCRITURES des procès, III, 185, 42. - Ne ÉDIT DE NANTES. Sa révoca tion, II, 293, 21 et note 4; 302, 35 et note 2. ÉDUCATION. Effets d'une bonne éducation, II, 156, 79; III, 113, 84-85. EFFRONTERIE, vice naturel, II, 225, 41. Égésippe, propre à tout, II, 65, 10. ÉGISTHE, fils de Thyeste, III, 126, 118. ÉGLISE (1), II, 158; 228, 46; 302; III, 170; 171; 173; 226; 244; 460; 463. Pères de l'Église, éloge de leur génie, III, 244, 21. ÉGOÏSME. Égoïsme chez les princes, II, 260, 29. Egoïsme de certains titulaires de charges ou bénéfices, III, 50, 106. Voyez Gnathon. ÉGYPTE (1), I, 19; II, 153, 74. ÉGYPTIENS (les), I, 10; II, 152, 74. Élamire, à qui André donne des fêtes, II, 195, 11. ÉLÉVATION. Surfaire les gens après leur élévation, chose vulgaire, III, 74, 5. ÉLEVER (S'). Deux manières de s'élever, II, 174, 52. Élise, refusant d'épouser Nicandre, II, 157, 82. ÉLOGES. Mobiles de nos actions, III, 48, 104. Accordés pour le seul mérite de n'être plus, III, 111, 78. Eloges qui décréditent le genre humain, III, 112, 79. Voyez LOUANGES. ÉLOQUENCE (en général), II, 55, 55. Voyez CHAIRE. 144. Émire, femme insensible, II, 107110, 81. EMPEREUR (1) d'Allemagne, II, 153, 74; 282-284, 11. Voyez CÉSAR, Léopold. EMPHASE. Elle gâte les plus grandes choses, II, 155, 77. EMPIRE (1'), III, 488; 499; 500. EMPIRIQUES, III, 198, 68. EMPLOIS. Il faut s'en rendre digne avant de les solliciter, II, 65, 10; 227, 44. A quelle condition, en France, l'on s'en passe, II, 66, 12. EMPRESSEMENT.-Gens trop empressés à Chantilly, II, 46-48, 48. ÉMULATION. Comparée à la jalousie, dans les arts libéraux, III, 40, 85. ÉNÉIDE (1'), II, 28, 9. III, ENFANTS. Des enfants des rois, II, 75, 33. Par leurs défauts les enfants sont déjà des hommes, III, 26, 50; 70, 154. Jouissent du présent, III, 27, 51. Sont assez semblables les uns aux autres, Ont l'imagi27, 52. nation et la mémoire et sont les arbitres de leur fortune, III, 27, 53. Saisissent les défauts des autres à première vue et recherchent l'endroit faible de leur maître, III, 28, 54. Vifs et exacts dans leurs jeux, III, 28, 55. Tout leur paraît grand, III, 29, 56. Commencent entre eux par l'état populaire et passent au monarchique, III, 29, 57. Sont conséquents dans LA BRUYÈRE. IV 16 |