Cours de littérature française, Volume 1Didier, 1838 - French literature |
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... choses survinrent alors , qui dérangeaient les recherches paisibles , et laissaient peu d'attention pour y songer . De graves devoirs me furent imposés , et à plu- sieurs reprises m'occupèrent tout entier , sans célébrité , mais avec ...
... choses survinrent alors , qui dérangeaient les recherches paisibles , et laissaient peu d'attention pour y songer . De graves devoirs me furent imposés , et à plu- sieurs reprises m'occupèrent tout entier , sans célébrité , mais avec ...
Page ix
... choses même qu'il n'en avait fait , et qu'on lui imputait à faute ou à gloire , non - seulement ses écrits , mais les actes de son temps et du nôtre . A l'entrée du dix - neuvième siècle , la pro- testation indirecte d'une partie de la ...
... choses même qu'il n'en avait fait , et qu'on lui imputait à faute ou à gloire , non - seulement ses écrits , mais les actes de son temps et du nôtre . A l'entrée du dix - neuvième siècle , la pro- testation indirecte d'une partie de la ...
Page xi
... choses qui se ressemblent le moins , le scepticisme et la liberté . que Enfin , il restait à marquer l'influence la littérature du dix - huitième siècle avait exercée sur l'Europe et sur le monde . Dans la gloire de l'empire , on ...
... choses qui se ressemblent le moins , le scepticisme et la liberté . que Enfin , il restait à marquer l'influence la littérature du dix - huitième siècle avait exercée sur l'Europe et sur le monde . Dans la gloire de l'empire , on ...
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... cette influence , et la rendait irrésistible . Je fais voir combien l'esprit français , au commencement du dix- huitième siècle , emprunta lui - même à l'é- tranger , et que de choses il rendit puissantes , XII PRÉFACE .
... cette influence , et la rendait irrésistible . Je fais voir combien l'esprit français , au commencement du dix- huitième siècle , emprunta lui - même à l'é- tranger , et que de choses il rendit puissantes , XII PRÉFACE .
Page xiii
Villemain (M.) tranger , et que de choses il rendit puissantes , en les répétant . J'ai à décrire l'essor du génie dans la décadence sociale , le mélange d'er- reurs hardies et de vérités fécondes qui se produisirent tout à coup , sous ...
Villemain (M.) tranger , et que de choses il rendit puissantes , en les répétant . J'ai à décrire l'essor du génie dans la décadence sociale , le mélange d'er- reurs hardies et de vérités fécondes qui se produisirent tout à coup , sous ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 201 - Hoc erat in votis : modus agri non ita magnus, Hortus ubi et tecto vicinus jugis aquae fons Et paulum silvae super his foret. Auctius atque Di melius fecere. Bene est. Nil amplius oro, Maia nate, nisi ut propria haec mihi munera faxis.
Page 64 - II reçoit cette force heureuse Qui l'élève au plus haut degré. Telle , dans des canaux pressée , Avec plus de force élancée, L'onde s'élève dans les airs; Et la règle , qui semble austère , N'est qu'un art plus certain de plaire, Inséparable des beaux vers.
Page 80 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 321 - C'est le cœur qui parle au cœur; on sent une secrète satisfaction d'entendre parler la vertu : c'est l'abeille de la France.
Page 267 - Arrêter un Romain sur de simples soupçons, C'est agir en tyrans, nous qui les punissons.
Page 401 - J'admirais, et je n'étais pas le seul, cette espèce de prostitution du roi, si avare de ses paroles, à un homme de l'espèce de Bernard. Je ne fus pas longtemps sans en apprendre la cause, et j'admirai alors où les plus grands rois se trouvent quelquefois réduits.
Page 12 - Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire : les grands sujets lui sont défendus ; il les entame quelquefois , et se détourne ensuite sur de petites choses, qu'il relève par la beauté de son génie et de son style.
Page 433 - Ce sont les gens scrupuleux, qui pourront s'imaginer qu'il ya du danger par rapport à la religion à mettre des habitans ailleurs que sur la Terre.
Page 353 - La malheureuse fin d'un engagement trop * tendre me conduisit enfin au tombeau : c'est « le nom que je donne à l'ordre respectable où « j'allai m'ensevelir, et où je demeurai quelque « temps si bien mort, que mes parents et mes « amis ignorèrent ce que j'étais devenu.
Page 329 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies : Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE. Hé quoi ! vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.