Concerning French Verse |
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Alexandrine âme amour assonance bien bruit C'est century cesura ciel cieux Classic verse cœur d'une Dieu diphthongs douleur effect eight syllables elided elision Enfants sans souci enjambement éternelle fait faut feminine rhymes final consonant final syllable French poetry French verse French words give Gustave Kahn heard hiatus instance j'ai jour l'air L'eau l'on language Latin léger length lengthening liaison line-end pause long syllables Malherbe masculine and feminine masculine rhyme monde mort movement nasal nasal vowel natural neigeait noir nuit number of syllables overflow Parnassians Paul Passy pleure poem poets pronounced pronunciation prose prosodic qu'il qu'on qu'une reader of French reading regularity rêve rhythm rhythmic rien Romantic rouet rule S'il seul silence soir soleil souci Sous speech stanzas stress accent stressed syllables strophes supporting vowel syllable count terre tion tout trigraphs utterance vent Vers Libre versifier voix vowel sound yeux
Popular passages
Page 45 - seem to be pursuing," as you say, I have not meant to leave any one in doubt. I would save the Union. I would save it the shortest way under the Constitution. The sooner the National authority can be restored, the nearer the Union will be "the Union as it was." If there be those who would not save the Union unless they could at the same time save Slavery, I do not agree with them. If there be those who would not save the Union unless they could at the same time destroy Slavery, I do not agree with...
Page 129 - O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Page 161 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 157 - Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 169 - Homme libre, toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Page 64 - MIDI, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ; La terre est assoupie en sa robe de feu.
Page 58 - Que le Seigneur est bon! que son joug est aimable! Heureux qui dès l'enfance en connaît la douceur! Jeune peuple, courez à ce maître adorable : Les biens les plus charmants n'ont rien de comparable Aux torrents de plaisirs qu'il répand dans un cœur. Que le Seigneur est bon! que son joug est aimable! lieureux qui dès l'enfance en connaît la douceur!
Page 95 - C'est Dieu qui nous fait vivre. C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux ; Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont ce que nous sommes : Véritablement hommes. Et meurent comme nous.
Page 97 - J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaîté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté . Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu...
Page 149 - LA MORT DES PAUVRES C'est la Mort qui console, hélas! et qui fait vivre; C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre, Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir...