Pierre Corneille: auteurs dramatiques qui l'ont précédé : règne de Louis XIII : vie, famille, de CorneilleChez divers librairies, 1883 - 226 pages |
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... porte à tous les sentiments généreux , à toutes les actions vertueuses . On doit dédaigner ce qui abaisse le cœur , mépriser ce qui le dégrade ; que dis - je , il faut ignorer même toutes les productions de ce génie du mal , que les ...
... porte à tous les sentiments généreux , à toutes les actions vertueuses . On doit dédaigner ce qui abaisse le cœur , mépriser ce qui le dégrade ; que dis - je , il faut ignorer même toutes les productions de ce génie du mal , que les ...
Page 12
... Le trône armait le bras de ce couple ennemi ; La terre ouvre à tous deux leur dernière demeure ... PREMIER CHEUR Aux portes de la ville , au pied de nos remparts , Até , menaçante , inflexible , Vint asseoir son trophée ww - 12.
... Le trône armait le bras de ce couple ennemi ; La terre ouvre à tous deux leur dernière demeure ... PREMIER CHEUR Aux portes de la ville , au pied de nos remparts , Até , menaçante , inflexible , Vint asseoir son trophée ww - 12.
Page 14
... porte encore la foudre au déclin de ses ans . Et Jupiter versant le nectar sur son aile , Repose encore sur lui des regards complaisants . O mon jeune rival ! je pardonne à ta gloire ... La Sicile était une colonie de la Grèce elle ...
... porte encore la foudre au déclin de ses ans . Et Jupiter versant le nectar sur son aile , Repose encore sur lui des regards complaisants . O mon jeune rival ! je pardonne à ta gloire ... La Sicile était une colonie de la Grèce elle ...
Page 21
... porte à ta sœur , Dans une urne vulgaire , enfermés sans honneur ! O malheureuse Electre ! ô frivoles tendresses ! Inutiles travaux et trompeuses caresses ! Soigner tes premiers ans fut mon plus doux plaisir , Et de mes propres mains j ...
... porte à ta sœur , Dans une urne vulgaire , enfermés sans honneur ! O malheureuse Electre ! ô frivoles tendresses ! Inutiles travaux et trompeuses caresses ! Soigner tes premiers ans fut mon plus doux plaisir , Et de mes propres mains j ...
Page 72
... porte Saint- Denis ; elle acheta en 1545 le terrain des anciens ducs de Bourgogne , et y construisit un théâtre , mais trois ans après , le Parlement défendit d'y représenter les mystères du christianisme , et l'on n'y joua plus que des ...
... porte Saint- Denis ; elle acheta en 1545 le terrain des anciens ducs de Bourgogne , et y construisit un théâtre , mais trois ans après , le Parlement défendit d'y représenter les mystères du christianisme , et l'on n'y joua plus que des ...
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Pierre Corneille: Auteurs Dramatiques Qui l'Ont Précédé; Règne de Louis XIII ... C. L. R No preview available - 2018 |
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Popular passages
Page 143 - Marquise , si mon visage A quelques traits un peu vieux , Souvenez-vous qu'à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux. . \ . Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront , Et saura faner vos rosés Comme il a ridé mon front.
Page 182 - Encor qu'à mon devoir je coure sans terreur, Mon cœur s'en effarouche, et j'en frémis d'horreur; J'ai pitié de moi-même, et jette un œil d'envie Sur ceux dont notre guerre a consumé la vie; Sans souhait toutefois de pouvoir reculer.
Page 189 - Ciel, à qui voulez-vous désormais que je fie Les secrets de mon âme et le soin de ma vie? Reprenez le pouvoir que vous m'avez commis, Si donnant des sujets il ôte les amis ; Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines.
Page 206 - Il ment quand il le dit et ne le fut jamais. Est.il vice plus bas? est-il tache plus noire, Plus indigne d'un homme élevé pour la gloire...
Page 170 - Sire, mon père est mort : mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles, Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles, Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux De se voir répandu pour d'autres que pour vous, Qu'au milieu des hasards n'osait verser la guerre, Rodrigue en votre cour vient d'en couvrir la terre.
Page 90 - Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler ; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Avec cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 202 - César, car le destin, que dans tes fers je brave, Me fait ta prisonnière et non pas ton esclave, Et tu ne prétends pas qu'il m'abatte le cœur Jusqu'à te rendre hommage, et te nommer seigneur...
Page 216 - D'un astre impérieux doit suivre les caprices, Et Delphes *, malgré nous, conduit nos actions Au plus bizarre effet de ses prédictions? L'âme est donc toute esclave : une loi souveraine Vers le bien ou le mal incessamment l'entraîne, Et nous ne recevons ni crainte ni désir De cette liberté qui n'a rien à choisir? Attachés sans relâche à cet ordre sublime, Vertueux sans mérite et vicieux...
Page 127 - J'ai fait Pompée pour satisfaire à ceux qui ne trouvaient pas les vers de Polyeucte si puissants que ceux de Cinna, et leur montrer que j'en saurais bien retrouver la pompe quand le sujet le pourrait souffrir...
Page 200 - Ses fleuves teints de sang, et rendus plus rapides Par le débordement de tant de parricides, Cet horrible débris d'aigles, d'armes, de chars, Sur ses champs empestés confusément épars, Ces montagnes de morts...