Pierre Corneille: auteurs dramatiques qui l'ont précédé : règne de Louis XIII : vie, famille, de CorneilleChez divers librairies, 1883 - 226 pages |
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... devoir en lutte avec les passions de la nature hu- maine . Homère fait passer sous nos yeux une action forte et simple à la fois , soumise dans sa marche aux règles de cette unité , qui est la loi réelle de toutes les productions de l ...
... devoir en lutte avec les passions de la nature hu- maine . Homère fait passer sous nos yeux une action forte et simple à la fois , soumise dans sa marche aux règles de cette unité , qui est la loi réelle de toutes les productions de l ...
Page 82
... devoir , il se rendit au milieu du fléau , et il en fut la victime . Cette mort héroïque fut proposée par l'Ins- titut , pour sujet du prix de poésie , et en 1811 , il fut remporté par Millevoye . COMMENCEMENT DU XVII SIÈCLE . RICHELIEU ...
... devoir , il se rendit au milieu du fléau , et il en fut la victime . Cette mort héroïque fut proposée par l'Ins- titut , pour sujet du prix de poésie , et en 1811 , il fut remporté par Millevoye . COMMENCEMENT DU XVII SIÈCLE . RICHELIEU ...
Page 89
... devoir , et laissez faire aux dieux ! Ce vers d'un vieux Romain fut la devise de Corneille , qui à trente - trois ans ( 1639-1640 ) , donna les Horaces , Cinna , Polyeucte , sous le souffle de l'antique grandeur de Rome ; et de la ...
... devoir , et laissez faire aux dieux ! Ce vers d'un vieux Romain fut la devise de Corneille , qui à trente - trois ans ( 1639-1640 ) , donna les Horaces , Cinna , Polyeucte , sous le souffle de l'antique grandeur de Rome ; et de la ...
Page 96
... devoirs , et le sentiment des sacrifices véritables . Pierre Corneille a une physionomie sérieuse , austère même , et toute martiale : cette forte nature , semble créée pour ranimer dans les âmes la fermeté , le courage avec l'amour de ...
... devoirs , et le sentiment des sacrifices véritables . Pierre Corneille a une physionomie sérieuse , austère même , et toute martiale : cette forte nature , semble créée pour ranimer dans les âmes la fermeté , le courage avec l'amour de ...
Page 102
... La paroisse de Fréville , qui dépendait du prieur du Mont - aux Malades , n'avait que quatre - vingt - sept feux , et rapportait sept cents livres , représentant 3,000 francs de la monnaie actuelle ; Antoine esclave de son devoir 102.
... La paroisse de Fréville , qui dépendait du prieur du Mont - aux Malades , n'avait que quatre - vingt - sept feux , et rapportait sept cents livres , représentant 3,000 francs de la monnaie actuelle ; Antoine esclave de son devoir 102.
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Pierre Corneille: Auteurs Dramatiques Qui l'Ont Précédé; Règne de Louis XIII ... C. L. R No preview available - 2018 |
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Popular passages
Page 143 - Marquise , si mon visage A quelques traits un peu vieux , Souvenez-vous qu'à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux. . \ . Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront , Et saura faner vos rosés Comme il a ridé mon front.
Page 182 - Encor qu'à mon devoir je coure sans terreur, Mon cœur s'en effarouche, et j'en frémis d'horreur; J'ai pitié de moi-même, et jette un œil d'envie Sur ceux dont notre guerre a consumé la vie; Sans souhait toutefois de pouvoir reculer.
Page 189 - Ciel, à qui voulez-vous désormais que je fie Les secrets de mon âme et le soin de ma vie? Reprenez le pouvoir que vous m'avez commis, Si donnant des sujets il ôte les amis ; Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines.
Page 206 - Il ment quand il le dit et ne le fut jamais. Est.il vice plus bas? est-il tache plus noire, Plus indigne d'un homme élevé pour la gloire...
Page 170 - Sire, mon père est mort : mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles, Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles, Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux De se voir répandu pour d'autres que pour vous, Qu'au milieu des hasards n'osait verser la guerre, Rodrigue en votre cour vient d'en couvrir la terre.
Page 90 - Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler ; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Avec cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 202 - César, car le destin, que dans tes fers je brave, Me fait ta prisonnière et non pas ton esclave, Et tu ne prétends pas qu'il m'abatte le cœur Jusqu'à te rendre hommage, et te nommer seigneur...
Page 216 - D'un astre impérieux doit suivre les caprices, Et Delphes *, malgré nous, conduit nos actions Au plus bizarre effet de ses prédictions? L'âme est donc toute esclave : une loi souveraine Vers le bien ou le mal incessamment l'entraîne, Et nous ne recevons ni crainte ni désir De cette liberté qui n'a rien à choisir? Attachés sans relâche à cet ordre sublime, Vertueux sans mérite et vicieux...
Page 127 - J'ai fait Pompée pour satisfaire à ceux qui ne trouvaient pas les vers de Polyeucte si puissants que ceux de Cinna, et leur montrer que j'en saurais bien retrouver la pompe quand le sujet le pourrait souffrir...
Page 200 - Ses fleuves teints de sang, et rendus plus rapides Par le débordement de tant de parricides, Cet horrible débris d'aigles, d'armes, de chars, Sur ses champs empestés confusément épars, Ces montagnes de morts...