Fables de J. La Fontaine, Volume 1Lefévre, 1824 - Fables, French |
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Page viii
... veux que tu viennes chez « moi tous les jours , sans quoi je me battrai en- « core avec toi . » « - " Il faut que je dise tout de suite que La Fon- taine eut un fils de son mariage : autrement je pourrois bien faire comme on prétend qu ...
... veux que tu viennes chez « moi tous les jours , sans quoi je me battrai en- « core avec toi . » « - " Il faut que je dise tout de suite que La Fon- taine eut un fils de son mariage : autrement je pourrois bien faire comme on prétend qu ...
Page xxxiv
... qui composoient son bon- heur , je ne dois pas omettre l'objet d'une de ses passions les plus fortes et les plus constantes , je veux dire le sommeil . Il en parle par - tout avec l'accent de la reconnoissance et de la ten- dresse xxxiv.
... qui composoient son bon- heur , je ne dois pas omettre l'objet d'une de ses passions les plus fortes et les plus constantes , je veux dire le sommeil . Il en parle par - tout avec l'accent de la reconnoissance et de la ten- dresse xxxiv.
Page 5
... veux pour témoignage que ces nobles in- quiétudes , cette vivacité , cette ardeur , ces marques d'esprit , de courage , et de gran- deur d'ame , que vous faites paroître à tous les moments . Certainement c'est une joie bien sensible à ...
... veux pour témoignage que ces nobles in- quiétudes , cette vivacité , cette ardeur , ces marques d'esprit , de courage , et de gran- deur d'ame , que vous faites paroître à tous les moments . Certainement c'est une joie bien sensible à ...
Page 8
... veux pas dire des anciens , qui ne tire point à conséquence pour moi , mais sur celui des modernes . C'est de tout temps , et chez tous les peuples qui font profession de poésie , que le Parnasse a jugé ceci de son apanage . A peine les ...
... veux pas dire des anciens , qui ne tire point à conséquence pour moi , mais sur celui des modernes . C'est de tout temps , et chez tous les peuples qui font profession de poésie , que le Parnasse a jugé ceci de son apanage . A peine les ...
Page 23
... veux . Cette merveille fut cause qu'il changea de maître . Car , comme un certain Zénas , qui étoit là en qualité d'économe et qui avoit l'œil sar les esclaves , en avoit battu un outrageusement . pour une faute qui ne le méritoit pas ...
... veux . Cette merveille fut cause qu'il changea de maître . Car , comme un certain Zénas , qui étoit là en qualité d'économe et qui avoit l'œil sar les esclaves , en avoit battu un outrageusement . pour une faute qui ne le méritoit pas ...
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Common terms and phrases
Adieu âne animal Apollon arcs-boutants assez auroit avoient avoit ayant baudet beau belette bête Boileau brebis c'étoit cerf chat Château-Thierry cheval chien chose cicogne connoissance conte corbeau coup Crésus d'Ésope DAUPHIN déja Delphiens demande dents devoit Dieu dire disoit disoit-il dit-il donne Égypte enfants enfin esclave Ésope étoient étoit eût FABLE IV FABLE PREMIÈRE FABLE VII FABLE XV FABLE XVII faisoit falloit femme Fontaine fourmi Furetière galant gens grace grenouille homme J'ai jamais jour Jupiter l'aigle l'alouette l'âne l'autre l'escarbot L'oiseau l'ours L'un là-dessus laissa liévre lion logis loup Lycérus mainte maître malheureux meunier Molière monarque des dieux MONSEIGNEUR mort n'avoit n'en Necténabo passer pauvre peine père Phedre philosophe Phrygien pieds plaisir poëte pouvoit prince prit qu'à qu'Ésope queue Racan raison renard repartit rien s'en s'il sage Samiens seroit seul singe Socrate sœur sorte tête trésor trouva trouvoit veux voilà vouloit Xantus
Popular passages
Page 53 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 183 - Quelle maison pour lui ! l'on y tournait à peine. « Plût au ciel que de vrais amis, Telle qu'elle est, dit-il, elle pût être pleine ! » Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fou qui s'y repose : Rien n'est plus commun que ce nom, Rien n'est plus rare que la chose.
Page 209 - Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. » Le père mort, les fils vous retournent le champ, Deçà, delà, partout; si bien qu'au bout de l'an II en rapporta davantage.
Page 54 - A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie Et, pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 76 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde? En est-il un plus pauvre en la machine ronde? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 86 - Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 58 - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 158 - Là croissait à plaisir l'oseille et la laitue, De quoi faire à Margot pour sa fête un bouquet, Peu de Jasmin d'Espagne, et force serpolet.
Page 100 - L'Insecte du combat se retire avec gloire. Comme il sonna la charge, il sonne la victoire, Va partout l'annoncer, et rencontre en chemin L'embuscade d'une Araignée : II y rencontre aussi sa fin. Quelle chose par là nous peut être enseignée?
Page 86 - ... romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.