Fables de J. La Fontaine, Volume 1Lefévre, 1824 - Fables, French |
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Page vii
... ami , nommé Poignan , capitaine de cavalerie retiré à Château - Thierry . Quelqu'un s'avisa de lui demander pourquoi il souffroit que ce Poignan vînt tous les jours chez lui . « Eh ! pourquoi , répondit - il , n'y viendroit - il pas ? c ...
... ami , nommé Poignan , capitaine de cavalerie retiré à Château - Thierry . Quelqu'un s'avisa de lui demander pourquoi il souffroit que ce Poignan vînt tous les jours chez lui . « Eh ! pourquoi , répondit - il , n'y viendroit - il pas ? c ...
Page viii
... ami , je ne t'aurois pas soupçonné d'une pareille inquiétude ; je te pro- teste que je ne mettrai plus les pieds chez toi . -Au contraire , reprend vivement La Fontaine , << en lui serrant la main , j'ai fait ce que le public vouloit ...
... ami , je ne t'aurois pas soupçonné d'une pareille inquiétude ; je te pro- teste que je ne mettrai plus les pieds chez toi . -Au contraire , reprend vivement La Fontaine , << en lui serrant la main , j'ai fait ce que le public vouloit ...
Page x
... amis , l'accompagnoient ordinairement dans ces petits voyages . Il lui arriva une fois de mal quitter sa femme , et ... ami , qui lui donne à X ...
... amis , l'accompagnoient ordinairement dans ces petits voyages . Il lui arriva une fois de mal quitter sa femme , et ... ami , qui lui donne à X ...
Page xi
Jean de La Fontaine. de là chez un ami , qui lui donne à souper , puis à coucher , et enfin le régale pendant deux jours . La voiture repart pour Paris , il y reprend sa place . Quand ses amis le revoient , ils lui deman- dent s'il est ...
Jean de La Fontaine. de là chez un ami , qui lui donne à souper , puis à coucher , et enfin le régale pendant deux jours . La voiture repart pour Paris , il y reprend sa place . Quand ses amis le revoient , ils lui deman- dent s'il est ...
Page xiii
... ami Bernier , qu'il pouvoit voir à toute heure , les principes de la philosophie naturelle d'Épi- cure et de Descartes , il enrichissoit le trésor de ses idées et de ses images poétiques . Il demeu- ra près de vingt ans chez madame de ...
... ami Bernier , qu'il pouvoit voir à toute heure , les principes de la philosophie naturelle d'Épi- cure et de Descartes , il enrichissoit le trésor de ses idées et de ses images poétiques . Il demeu- ra près de vingt ans chez madame de ...
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Common terms and phrases
Adieu âne animal Apollon arcs-boutants assez auroit avoient avoit ayant baudet beau belette bête Boileau brebis c'étoit cerf chat Château-Thierry cheval chien chose cicogne connoissance conte corbeau coup Crésus d'Ésope DAUPHIN déja Delphiens demande dents devoit Dieu dire disoit disoit-il dit-il donne Égypte enfants enfin esclave Ésope étoient étoit eût FABLE IV FABLE PREMIÈRE FABLE VII FABLE XV FABLE XVII faisoit falloit femme Fontaine fourmi Furetière galant gens grace grenouille homme J'ai jamais jour Jupiter l'aigle l'alouette l'âne l'autre l'escarbot L'oiseau l'ours L'un là-dessus laissa liévre lion logis loup Lycérus mainte maître malheureux meunier Molière monarque des dieux MONSEIGNEUR mort n'avoit n'en Necténabo passer pauvre peine père Phedre philosophe Phrygien pieds plaisir poëte pouvoit prince prit qu'à qu'Ésope queue Racan raison renard repartit rien s'en s'il sage Samiens seroit seul singe Socrate sœur sorte tête trésor trouva trouvoit veux voilà vouloit Xantus
Popular passages
Page 53 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 183 - Quelle maison pour lui ! l'on y tournait à peine. « Plût au ciel que de vrais amis, Telle qu'elle est, dit-il, elle pût être pleine ! » Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fou qui s'y repose : Rien n'est plus commun que ce nom, Rien n'est plus rare que la chose.
Page 209 - Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. » Le père mort, les fils vous retournent le champ, Deçà, delà, partout; si bien qu'au bout de l'an II en rapporta davantage.
Page 54 - A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie Et, pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 76 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde? En est-il un plus pauvre en la machine ronde? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 86 - Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 58 - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 158 - Là croissait à plaisir l'oseille et la laitue, De quoi faire à Margot pour sa fête un bouquet, Peu de Jasmin d'Espagne, et force serpolet.
Page 100 - L'Insecte du combat se retire avec gloire. Comme il sonna la charge, il sonne la victoire, Va partout l'annoncer, et rencontre en chemin L'embuscade d'une Araignée : II y rencontre aussi sa fin. Quelle chose par là nous peut être enseignée?
Page 86 - ... romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.