| Paul-Louis Courier - 1828 - 460 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malh'erbe, homme de cour, disait : J'apprends tout...Peretola , il ne vous dira pas un mot qui ne semble pris dans Pétrarque , tandis qu'un cavalier de San-Stephano parle l'italien francisé (infrancetalo... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1831 - 754 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert; et Platon , poëte s'il en fut , Platon, qui n'aimait pas le peuple,...Peretola , il ne vous dira pas un mot qui ne semble pris dans Pétrarque, tandis qu'un cavalier de San-Stephano parle l'italien francisé (infrancesato... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1831 - 532 pages
...convaincre. Or, la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple , en est tirée du moins. Malherbe , homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert; et Platon , poëte s'il en fut , Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maitre de langue. Demandez... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 448 pages
...s'en convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout...Peretola , il ne vous dira pas un, mot qui ne semble pris dans Pétrarque , tandis qu'un cavalier de San • Stefano parle l'italien francisé ( infrancesàio... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 446 pages
...n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mou français à la place Maubert ; et Platon, poète...paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas uu mot qui ne semble pris dans Pétrarque, tandis qu'un cavalier de San-Stefano parle l'italien francisé... | |
| Amédée Duquesnel - Literature - 1836 - 426 pages
...convaincre. Or la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple , en est tirée au moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Haubert; et 'Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le petiple, l'appelle son maître... | |
| France - 1842 - 1068 pages
...peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de coar, disait : « J'apprends tout mon francois h la place Maubert; » et Platon, poète s'il en fut, Platon qui n'aimait pas le peuple, l'appeMe son maître de langue. » te pense, avec P.-L. Courier, que le langage populaire renferme... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1845 - 482 pages
...de cour, disait : J'apprends tout mon francais à la place Maubert ; et Platon, poëte s'il en fût, Platon, qui n'aimait pas le peuple , l'appelle son...Peretola , il ne vous dira pas un mot qui ne semble pris dans Pétrarque, tandis qu'un cavalier de San-Stefano parle l'italien francisé (infrancesato,... | |
| Amédée Duquesnel - 1845 - 830 pages
...s'en convaincre. Or la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple, en est tirée au moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout...n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. » Le style d'Hérodote est quelque chose de naïf et de primitif comme le vers homérique. Aux fêtes... | |
| M. AMEDEE DUQUESNEL - 1845 - 434 pages
...s'en convaincre. Or la langue poétique partout , si ce n'est celle du peuple, en est tirée au moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Haubert ; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître... | |
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