| Art and literature - 1819 - 636 pages
...faîto , Elle vit ce bûcher qui Fallait dévorer , Les bourreaux en suspens , la flamme déjà prête , Sentant son cœur faillir, elle baissa la tête, . Et se prit à pleurer. Là , commence un hymne de douleur. Ah ! pleure , fille infortunée , Ta jeunesse va se flétrir ,... | |
| 1819 - 640 pages
...fattc , Elle vit ce bûcher qui Fallait dévorer , Les bourreaux en suspens , la flamme déjà prête , Sentant son cœur faillir, elle baissa la tête, Et se prit à pleurer. Là , commence un hymne de douleur. Ah ! pleure , Glle infortunée . Ta jeunesse va se flétrir , Par... | |
| Casimir Delavigne - 1823 - 220 pages
...faîte, Elle vit ce bûcher qui fallait dévorer , Les bourreaux en suspens , la flamme déja prête , Sentant son cœur faillir , elle baissa la tête , Et se prit à pleurer. Ah ! pleure , fille infortunée ! Ta jeunesse va se flétrir Dans sa fleur trop tôt moisonnée ! .... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 460 pages
...bleste'e , n'est point une phrase de marquis; mais nos laboureurs chantent :feru de ton amour, je ne dort nuit ni jour. C'est la même expression. L'autre qui..., elle baissa la tête Et se prit à pleurer (i). (i) Casimir Delavigne. n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète : pou... | |
| M. J. Janin - French poetry - 1829 - 326 pages
...faite Elle vit le bûcher qui Fallait dévorer, Les bourreaux en suspens , la flamme déjà pri"tc , Sentant son cœur faillir, elle baissa la tête , Et se prit à pleurer. Ah! pleure, fille infortunée, Ta jeunesse va se flétrir Dans sa fleur trop tôt moissonnée ! Adieu... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1831 - 754 pages
...blessée, n'est point une phrase de marquis; mais HOs laboureurs chantent -.feru de ton amour, je ne don nuit ni jour. C'est la même expression. L'autre, qui dit de Jeanne : Sentant s0u cœur faillir, elle baissa ta IêU; JîI se prit à pleurer *, n'a point trouvé cela certes dans... | |
| Memoires de la Societe D'Emulation de Cambrai - 1833 - 550 pages
...facile, etc. Je trouve encore la simplicité et l'habile contexture du grec, dans cette phrase. L'auteur qui dit de Jeanne : Sentant son cœur faillir , elle baissa la tête Et se prit à pleurer. n'a point trouvé cela, certes, dans les salons; il s'exprime en poète , pouvait-il mieux, jamais,... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 898 pages
...sœur, de quel amour blessée , n'est poinl une phrase de marquis ; mais nos laboureurs chantent : féru de ton amour, je ne dors nuit ni jour. C'est la même...faillir, elle baissa la tête Et se prit à pleurer '. n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète : pouvait-il mieux ? jamais... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 446 pages
...antichambres de Pitti. Ariane , ma sœur, de quel amour blessée , n'est point une phrase de marquis ; mais nos laboureurs chantent : feru de ton amour, je. ne...Jeanne : Sentant son cœur faillir , elle baissa la télé Et se prit à pleurer '. n'a point trouvé cela certes dans les salons ; il s'exprime en poète... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 448 pages
...saur, de quel amour blessée , n'est point une phrase de marquis ; mais nos laboureurs chantent : féru de ton amour, je ne dors nuit ni jour. C'est la même...expression. L'autre qui dit de Jeanne : Sentant son coeur faillir , elle baissa la télé Et se prit à pleurer '. n'a point trouvé cela certes dans les... | |
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